Alain tire et blesse les gendarmes venus l’expulser, 2 voisins également touchés

Une expulsion judiciaire a mal tourné, ce mercredi matin, au village de Langledure, sur la commune de Bussière-Dunoise. Un homme âgé de 59 ans a tiré sur deux des gendarmes, qui accompagnaient les huissiers chargés d’appliquer la procédure. Deux voisins ont aussi été touchés. L’état des quatre victimes n’inspire cependant pas d’inquiétude.
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Il est 8h30 ce mercredi matin quand deux huissiers de justice, accompagnés de huit gendarmes, se sont présentés au domicile d’Alain Volatron afin de procéder à son expulsion judiciaire forcée.

En 2010, l’homme avait été condamné pour violences volontaires à verser des dommages et intérêts à deux voisins. « Il n’avait jamais coopéré, et de procédure judiciaire en procédure judiciaire, on est arrivé au plus grave : l’expulsion, pour dédommager légitimement les victimes », explique le procureur de la République Sébastien Farges.
Prévenu depuis des mois, Alain Volatron, vivant seul dans sa maison, attendait de pied ferme les huissiers et les forces publiques. Et les gendarmes s’attendaient à une expulsion pouvant dégénérer. Cinq d’entre eux venaient du PSIG (pelotons de surveillance et d’intervention de la gendarmerie) pour épauler trois de leurs collègues de la brigade de Sainte-Feyre. Équipés de casques et de gilets par balles, ils ont toqué à la porte d’Alain Volatron. L’homme a ouvert la porte et leur a tiré dessus avec son fusil.

« Les gendarmes n’ont dû leur salut qu’à leurs réflexes. Il a tiré une huitaine de coups de feu contre les militaires, sans qu’à aucun moment, ils ne répliquent. Et c’est tout à leur honneur », ajoute Sébastien Farges.

Deux gendarmes gradés ont été blessés : l’un légèrement à l’épaule, l’autre assez sérieusement à une jambe. Deux voisins, qui n’étaient, a priori, pas visés, ont aussi été touchés, à l’épaule et au flanc, et l’autre dans l’aine. Hospitalisés hier à Guéret, ils ont été transférés plus tard au CHU de Limoges.

La Montagne

George Zimmerman a vendu 250.000 $ le pistolet qu’il avait utilisé pour tuer Trayvon Martin

L’ancien vigile George Zimmerman a vendu 250.000 dollars le pistolet qu’il avait utilisé pour tuer Trayvon Martin, un adolescent noir qui n’était pas armé, en 2012 en Floride, selon plusieurs sources concordantes.

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Le site United Gun Group, qui a accueilli la vente aux enchères de ce pistolet Kel-Tec PF-9, a posté samedi un message sur son compte Twitter indiquant que l’arme avait été vendue un quart de million de dollars. Vendredi, la station de télévision locale de Las Vegas (sud-ouest) KTNV avait assuré, sans produire le témoignage, avoir appris de George Zimmerman directement qu’il avait cédé son arme pour 250.000 dollars.

La vente met fin à dix jours d’un long processus, qui a vu George Zimmerman mettre une première fois l’arme aux enchères sur un site, GunBroker, avant d’en être exclu puis de se reporter sur United Gun Group, un site communautaire. Plusieurs internautes outrés par cette vente ont ensuite réussi à y faire échec, en soumettant des enchères farfelues, jusqu’à 65 millions de dollars.

RTBF

Le militant identitaire Antoine Denevi inculpé pour trafic d’armes, sera extradé d’Espagne

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Antoine Denevi, présumé trafiquant d’armes français de 27 ans, impliqué dans l’affaire Hermant et arrêté mercredi dans le sud de l’Espagne, sera remis à la France d’ici dix jours, a annoncé la justice espagnole lundi.

Antoine Denevi, 27 ans, originaire du Pas-de-Calais avait été arrêté mercredi dernier en Andalousie. Il était recherché par la France qui avait émis un mandat d’arrêt international. Né à Saint-Catherine, près d’Arras, il est lié à une enquête sur un trafic d’armes visant le Lillois Claude Hermant depuis plusieurs mois.

Membre d’un groupe d’extrême droite dans le Nord

Cette enquête, menée par la Police judiciaire de Lille, comporte une partie liée au terrorisme, avec une suspicion de livraisons d’armes de Claude Hermant à Amedy Coulibaly (abattu lors de la prise d’otages de l’hyper-Casher en janvier 2015 à Paris).

Cependant, selon nos informations, Antoine Denevi, ancien employé de friterie de Claude Hermant rue de Solférino à Lille, et membre d’un groupe d’extrême droite dans le Nord, n’est pas soupçonné d’avoir été en lien avec Amedy Coulibaly. «  Antoine Denevi apparaît dans une branche de l’affaire Hermant, mais qui n’est pas liée au terrorisme  », souligne un proche de l’enquête.

La justice espagnole a confirmé ce lundi qu’Antoine Denevi serait ramené France « d’ici 10 jours ». L’enquête est dirigée par la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lille.

Nord Éclair

Aux États-Unis, les jeunes enfants tuent davantage de monde que les terroristes

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Vous avez probablement vu passer l’histoire de cette militante pro-armes à feu blessée par une balle tirée par son fils de quatre ans. L’histoire a beaucoup circulé et a été tournée en ridicule, notamment en raison des déclarations de cette femme par le passé:

«Jamie Gilt, qui a 31 ans, gère un compte Facebook pro-armes –qui n’est actuellement plus public– sur lequel elle avait posté une photo d’elle avec son fils et un fusil. Elle y déclarait: “Même mon fils de 4 ans est tout content de s’entraîner à tirer avec un calibre 22.”»

Quelques jours après l’incident Lindy West, qui défend la régulation des armes à feu a expliqué, dans une tribune sur le site du Guardian, à quel point il pouvait être effrayant «d’élever des enfants dans un pays obsédé par les armes à feu». Le tout avant de publier une statistique assez surprenante: aux États-Unis, les jeunes enfants tuent davantage de monde avec des armes que les terroristes.

Surpris par cette affirmation, nous avons suivi la source. Le lien renvoie vers Snopes.com, un site qui vérifie la véracité des différentes rumeurs qui circulent sur internet. À l’origine de cette vérification, se trouve cette publication d’une page progressiste sur Facebook:
Snopes est donc allé creuser, pour en savoir plus, et il se trouve que Lindy West a bien raison. En 2015: plus de personnes ont été tuées par des jeunes enfants que par des terroristes.

Entre les tueries de Chattanooga et de San Bernardino, dix-neuf personnes ont été tuées (vingt si l’on ajoute la victime américaine des attentats de Paris), souligne Snopes, alors que vingt-et-un jeunes enfants ont tué quelqu’un aux États-Unis, en 2015, selon le décompte d’un journaliste du Washington Post.

Ce qui fait dire à Lindy West:

«Et je dois croire que des réfugiés syriens apeurés sont la vraie menace pour mes enfants? […] L’incident qui s’est produit avec Jamie Gilt est la leçon que mon pays mérite. Quand même des experts n’arrivent pas à se protéger de leurs propres enfants, on devrait envisager cela comme le rappel que les armes sont fondamentalement dangereuses.

Ce sont des machines qui expulsent un projectile créé pour tuer. […] Les États-Unis n’ont pas le droit de faire des leçons de morale alors qu’ils abritent –législativement et culturellement– un système dans lequel des incidents comme celui auquel a eu affaire Jamie Gilt ne sont pas seulement possibles, mais inévitables.»

Slate

Aulnay-sous-Bois : un migrant Russe armé interpellé faisait l’objet d’une fiche S

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Repérés alors qu’ils venaient de commettre plusieurs infractions au Code de la route, trois hommes de nationalité russe, ont été interpellés, dans la nuit de lundi à mardi, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) par des policiers de la Direction territoriale de la sécurité de proximité (DTSP).

Très vite, les fonctionnaires se sont rendu compte qu’une arme de poing était partiellement cachée sous le tapis de sol du véhicule des contrevenants. Aussitôt, les policiers ont récupéré ce pistolet automatique, chargé, avant d’interpeller les trois suspects. Après vérification, un d’entre eux faisait l’objet d’une fiche S, pour Sûreté de l’Etat, pour son appartenance à une organisation mafieuse russophone.

Déjà bien connus des service de police, ces trois ressortissants russes ont été placés en garde à vue dans les locaux du service départemental de police judiciaire (SDPJ) de Seine-Saint-Denis.

Le Parisien

Irrité par le bruit, Jean-Paul avait canardé une fête avec sa carabine

Un an de prison avec sursis et l’interdiction d’avoir une arme pendant 10 ans : le tribunal n’a pas apprécié les exploits de Jean-Paul S.

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Jean-Paul S., prévenu au blouson noir et aux tempes grisonnantes qui trahissent ses 54 ans, est « spécial ». Habitant la campagne d’Yvetot, à Saint-Clair-sur-les-Monts, il réclame le « calme », brandit le code civil quand il y a des nuisances et sort sa carabine quand elles se prolongent.

C’est ce qui est arrivé le 26 juillet 2014. Ses voisins d’en face avaient organisé une fête d’anniversaire, avaient installé un barnum dans le jardin, avaient mis de la musique bien après 23 heures.

Sortant de son placard une carabine à plombs puissante (plus de 10 joules), il a multiplié les tirs. « Je visais des ampoules », se défend à la barre du tribunal correctionnel de Rouen le prévenu. Las : ni voisin complaisant ni bon tireur. Ses plombs ont percé de nombreux trous dans la toile du barnum, on atteint au moins trois personnes en divers endroits du corps.

Le procureur de la République souligne que le prévenu minimise les conséquences de son geste et réclame six mois de prison avec sursis. Le tribunal est allé bien plus loin.

Paris Normandie

Jonathan tire sur son voisin « pour des broutilles »

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Debout dans le box du tribunal correctionnel du Havre, Jonathan ne sait plus « exactement » pourquoi il a un différend avec son voisin d’immeuble. « C’est juste pour des broutilles », promet-il. Il n’en reste pas moins que le Havrais de 29 ans, récidiviste, a tiré avec un pistolet à gaz sur l’homme et un ami se trouvant à ses côtés.

Dans la nuit du 25 au 26 janvier dernier, les policiers sont accueillis par le plaignant et son camarade lors de leur intervention rue Louis-Blanc. Le premier relate être régulièrement importuné par Jonathan pour une « histoire de cannabis ».

L’odeur de lacrymogène

Cette fois, le voisin lui demande de ne pas rester sur le palier, devant chez lui. Le prévenu part, pour revenir muni d’une arme. Selon les premières déclarations de la victime, deux tirs sont effectués. Dans les parties communes de l’immeuble, les policiers sentent une odeur de lacrymogène. Le plaignant répond avoir fait usage d’une gazeuse pour riposter.

Malgré tout, du haut de ses dix-huit mentions au casier judiciaire, le Havrais admet avoir utilisé son arme la nuit reprochée. Il s’en est débarrassé par la suite.

Paris Normandie

 

Cache d’armes découverte chez un militant d’extrême droite, kalachnikov, fusil à pompe, drapeau Nazi…

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Alors que Genève reste en alerte, le procureur général genevois Olivier Jornot a indiqué avoir saisi jeudi « un arsenal impressionnant » composé de nombreux fusils d’assaut.

Selon Olivier Jornot, la personne qui possédait cet « arsenal invraisemblable » était adepte du survivalisme. Des fusils d’assaut kalachnikov et M16, un fusil à pompe, une mitraillette, deux armes de poing, une hache et plusieurs dizaines de mousquets ont été saisis.

De nationalité suisse et établie à Genève, elle serait « radicalisée » et proche de l’extrême-droite, un drapeau du IIIe Reich ayant notamment été découvert dans son domicile.

Le procureur général a précisé que cette perquisition n’a pas de lien avec la menace terroriste actuelle.

RTS

Incitation à la haine des musulmans : l’homme arrêté avec 17 armes a été libéré

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Malgré la gravité des faits l’homme a été libéré, ce qui scandalise beaucoup d’internautes

Tu trouves 17 armes dans le domicile d’un musulman qui appelle à tuer les cathos. Tu le relâches en attendant son procès ? Je crois pas.

— NON (@VotezNon) 10 Décembre 2015


Perquisition chez un individu incitant a la haine des musulmans, 17 armes saisies et 4,9 kg de poudre noire

La brigade criminelle de la Sûreté départementale, assistée du Raid 06 a interpellé ce mardi un homme de 59 ans à son domicile de Cagnes-sur-Mer.

L’individu tenait des propos anti-musulmans inquiétants sur son compte Facebook. La  justice les a considérés comme une incitation à la haine raciale.

Lors de la perquisition, il a été saisi 4,9 kg de poudre noire, plus de 3 500 cartouches, et dix-sept armes, le suspect devra répondre de ses actes en juin prochain devant le tribunal.

Nice Matin

Cache d’armes découverte, Julien, Thomas, Marie-Pierre et Aurélie condamnés

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La DPIJ de Lille a procédé à la saisie d’une vingtaine d’armes, mercredi dernier à Wavrechain-sous-Denain. Les personnes interpellées ne sont pas en lien avec les mouvements islamistes.

Neuf fusils dont un datant de 1874, deux carabines, trois revolvers de défense, un revolver, diverses armes blanches ainsi qu’une grenade à plâtre (inoffensive) ont été trouvés la semaine dernière dans une maison de Wavrechain-sous-Denain occupée par deux frères, Julien et Thomas B.. La police a procédé à cette perquisition suite à un renseignement anonyme.

Les deux jeunes hommes et deux autres personnes ont été placés en garde à vue immédiatement.

Julien B, 26 ans, qui était le détenteur du stock d’armes a indiqué que ces armes provenaient d’un héritage. Il savait qu’il était impossible de détenir ces armes ; Thomas B., 23 ans, a aidé son frère à transporter les armes ; Marie-Pierre B., 42 ans, voisine de l’un de frères, avait accepté de cacher les armes à son domicile ; Aurélie M., 29 ans, proche des frères, a également accepté de cacher un temps les armes chez elle.

Ces quatre personnes ont été déférées au parquet le 20 novembre en vue d’une CRPC (procédure dite du plaider coupable). Les condamnations suivantes ont été acceptées par les prévenus et homologuées par le juge : Julien B., 8 mois d’emprisonnement avec sursis ; Thomas B., 6 mois d’emprisonnement avec sursis ; Marie-Pierre B., 2 mois d’emprisonnement avec sursis ; Aurélie M., 2 mois d’emprisonnement avec sursis.

La Voix du Nord

Jerôme, le Français arrêté avec une arme et un couteau à l’aéroport londonien

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Jérôme Chauris a été arrêté samedi 14 novembre à l’aéroport londonien de Gatwick en possession d’une arme et d’un couteau, a annoncé la police locale. « Ce qui semble être une arme à feu a été récupéré dans les effets de l’homme », a ajouté la police, en précisant qu’elle vérifiait « l’état de fonctionnement de l’arme ».

Soupçonné d’infraction liée à une arme à feu, cet homme de 41 ans originaire de Vendôme (Loir-et-Cher) a été arrêté dans la zone de l’aéroport située avant les contrôles de sécurité, précise la police.

Il a été interpellé dans la matinée et le terminal nord avait alors été évacué, suite au comportement suspect de l’individu qui avait jeté un objet dans une poubelle.

Daily Mail

Philippe et 11 complices condamnés pour trafic d’armes et de cocaine

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Douze prévenus ont été condamnés, tous comparaissaient libres, huit ont été immédiatement placés sous mandat de dépôt, emprisonnés.

Les enquêteurs avaient mené plusieurs mois d’investigation, jusqu’à une perquisition le 20 mai 2014  dans le quartier de Baigne-Pied à Avignon

Les enquêteurs avaient retrouvé sur place, mais aussi au Puy-Sainte-Réparade dans les Bouches-du-Rhône de l‘argent, des armes, du cannabis et de la cocaïne.Roland Marmillot, l’avocat de Philippe Cortez, condamné à trois ans de prison et mandat de dépôt, s’interroge sur ces peines.

France Bleu

Emmanuel, ex-instituteur a la tête d’un trafic d’arme condamné avec 4 complices

Emmanuel Toschi trafic  arme corse mafia nationalisme instituteurLa cour d’appel de Paris a condamné, ce vendredi, à six ans de prison et 20.000 euros d’amende Emmanuel Toschi, un ex-instituteur reconverti dans l’armurerie, jugé avec quatre autres prévenus et accusé d’avoir vendu des armes de guerre au grand banditisme. et au nationalisme corse.

La cour a également condamné à une peine de sept ans de prison assortie d’une mesure de sûreté des deux tiers et 10.000 euros d’amende Jean-Marie Secrettand, 70 ans, figure du milieu de la banlieue sud de Paris, accusé d’avoir joué un rôle d’intermédiaire entre Toschi et le grand banditisme.

Une peine de cinq ans de prison dont un an avec sursis et 10.000 euros d’amende a été prononcée à l’encontre d’un autre intermédiaire présumé de Toschi, Christian Joanec, gérant d’une supérette de Haute-Corse soupçonné d’être lié au nationalisme corse. L’homme avait été interpellé en possession de dix fusils d’assaut Kalachnikov, d’un pistolet mitrailleur Scorpio et d’un pistolet automatique Walther PPK qu’il venait d’acheter à Toschi.

Enfin, la cour a condamné, Jean-Marie Cordonnier, un ami de Toschi qui avait stocké pour lui et pour son propre compte des armes chez sa belle-mère, à 30 mois dont 24 avec sursis et 15.000 euros d’amende, et Franck Busalb, chez qui les enquêteurs avaient saisi douze armes non-déclarées, à un an de prison avec sursis et 3.000 euros d’amende.

Au total, quelque 3 à 7 millions d’armes illégales circuleraient sur le territoire, selon des spécialistes de l’armement.

L’Alsace

Le leader nationaliste Charles Pieri libéré après un couac judiciaire

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Il ne devait pas sortir si tôt mais un cafouillage judiciaire en a décidé autrement. Le leader nationaliste Charles Pieri a été libéré ce lundi matin de la maison d’arrêt de Borgo (Haute-Corse) ce lundi matin.

L’homme devait encore purger un an de détention pour plusieurs condamnations. En novembre 2013, notamment, Charles Pieri avait écopé de deux ans ferme pour «détention d’armes». Les avocats du leader nationaliste avaient demandé une libération conditionnelle mais le parquet avait fait appel.

Reste que les délais pour examiner sa demande de remise en liberté ont été dépassés, impliquant de fait sa libération.

Le Parisien

Home-jackings : Ludovic et Anthony condamné à 16 ans de prison

Ludovic Yorck  Anthony Paradescucuron home jacking ligote anglaisePeine confirmée pour Ludovic Yorck et Anthony Parades, les deux jeunes Vauclusiens, jugés en appel à Nîmes pour des home-jackings (braquage au domicile des victimes) commis à Cucuron et Cheval-Blanc, ont été condamnés hier soir à 16 ans de réclusion criminelle. 20 ans avaient été requis par l’accusation.

Ils avaient déjà écopé de 16 ans de prison en première instance, en décembre 2013 à Avignon, elles avaient été commises au préjudice de deux familles, l’une anglaise, avec une petite fille de 6 ans, l’autre belge, avec deux adolescentes de 12 et 18 ans.

Des membres de ces familles avaient été ligotés et frappés. Elles ont aujourd’hui abandonné leur maison en France et sont retournées vivre en Angleterre et en Belgique.

Le Dauphiné