Archives de Tag: vol
Un cuisinier tue un polonais qui a volé dans son café Kebab, son restaurant saccagé aux cris de slogans racistes
Prison ferme pour Floris Cordonnier qui a volé un demi-million d’euros de cuivre
Wilfried Lemaire agresse et vole le portable d’un passant pour un regard de travers
Éric et Bruno volaient les fleurs du cimetière pour les revendre, 6 mois de prison ferme
Déjà condamné 16 fois, Cédric écroué pour avoir volé le portefeuille d’une octogénaire
Pour faire un cadeau à sa mère, pour Noël, Emile attaque un couple de personnes âgées
Vichy : Cédric et son ami Allemand Daniel violent une femme croisée dans la rue
Bali : Arnaud, un français risque 7 ans de prison pour un vol de scooter
Un Corrézien est en prison à Bali en Indonésie. Arnaud Blazy, 22 ans, originaire de Cosnac près de Brive, a été interpellé à la mi-octobre pour le vol d’un scooter. Il risque 7 ans de prison et visiblement la justice indonésienne veut en faire un exemple.
Montrer que la justice indonésienne ne tolère pas ce genre de délinquance et faire d’Arnaud Blazy un exemple : c’est l’impression que donne une vidéo qu’on peut voir sur Youtube notamment, vidéo d’un reportage de la télé locale, où le jeune homme et le scooter volé sont exhibés par la police balinaise. Sur cette vidéo, le chef de cette police annonce que l’enquête se poursuit, alors que pourtant le propriétaire du vol aurait proposé de retirer sa plainte. Arnaud Blazy est étudiant à l’université de Bali dans le cadre d’un échange international.
Le jeune étudiant a reconnu avoir volé le scooter pour rentrer chez lui
Après une soirée arrosée, il aurait pris le deux roues devant un fastfood du sud de l’île pour rentrer chez lui. C’est d’ailleurs devant sa résidence que l’engin a été retrouvé. La police l’a interpellé trois jours après. Le jeune homme a reconnu les faits. Après sa garde à vue de 20 jours, il a été placé en détention provisoire, indique la justice locale. Sa famille en Corrèze a missionné un avocat sur place pour le défendre et a saisi le consulat français. Ses parents sont d’ailleurs partis en ce début de semaine à Bali pour soutenir leur fils.
Jeffrey et Ambre égorgent un homme pour commettre un vol
Le procès de Jeffrey Miermont (30 ans) et de Ambre Gravensteyn (22 ans) débutera jeudi devant la cour d’assises du Hainaut à Mons avec la constitution du jury. Ils sont accusés d’avoir commis un vol avec violence à Marcinelle, entre le 30 novembre et le 5 décembre 2014, avec la circonstance aggravante d’avoir commis un homicide sur la personne de Bernard Deswijsen (64 ans), afin de faciliter le vol ou d’en assurer l’impunité.
Le ministère public a retenu, à titre subsidiaire, deux questions: le meurtre et le vol avec effraction avec la circonstance que Jeffrey Miermont a commis les faits durant une période de probation car il avait écopé de deux peines de prison avec sursis prononcées par les tribunaux correctionnel de Dinant et Namur, en 2009 et 2011.
Découverte du corps
Interpellée deux jours plus tard par la police, la jeune femme a précisé que le corps de Bernard Deswijsen se trouvait dans son appartement situé le long de la rue Bierchamps à Marcinelle. Le corps baignait dans le sang et la victime avait été massacrée à coups de couteau et de ciseaux notamment. Une autopsie a été effectuée et de multiples plaies ont été constatées sur le corps de la victime, dont deux du côté temporal gauche avec une pénétration de plusieurs centimètres dans la boite crânienne.
Un SDF condamné à.. 3 mois ferme pour avoir volé des yaourts car il avait faim
En avril 2014, un quartier d’Elbeuf est la cible de nombreux cambriolages. Les forces de l’ordre sont sur le qui-vive. Quand on leur signale le 2 avril qu’un cambriolage est en train d’avoir lieu dans un salon de toilettage, ils font tout leur possible pour arriver à temps. Ils parviennent à leur objectif et découvrent Mohamed A. (55 ans) prostré dans le fond de la boutique.
Sur lui sont retrouvés un couteau, un tournevis, le petit fonds de caisse du commerce et près de lui, des yaourts, dérobés et consommés sur place. Le quinquagénaire, sans domicile fixe, a déjà un parcours pénal bien chargé. Sa carrière commence en 1984, 27 mentions sont déjà portées sur son casier judiciaire. Aucun élément ne permet de relier l’homme aux autres effractions commises dans les habitations et commerces du quartier. Ainsi, il est seulement entendu devant le tribunal pour celle du salon de toilettage.
« Je regrette, je me suis repris en main »
« Quelle est votre situation ces derniers temps ? », interroge la présidente du tribunal. « J’ai suivi un traitement contre la drogue, c’est fini. Je me sens mieux, j’ai fait des démarches pour trouver un travail et un hébergement. J’étais dans une période difficile à l’époque. Je n’étais pas moi-même. Je regrette, aujourd’hui je me suis repris en main », expose le prévenu.
« Il n’y a pas de difficulté concernant la qualification de l’infraction. La difficulté concerne surtout la situation de monsieur. Il a consommé ces yaourts parce qu’il avait faim, tout simplement. Il faut prendre en compte cette situation et ne pas trop en rajouter. Il se trouvait dans une grande difficulté », explique la procureure.
«Mon client est en phase de guérison et prend à bras-le-corps sa réinsertion », plaide l’avocate de la défense. « Au vu de votre casier judiciaire, on ne peut pas faire autrement que de prononcer de la prison ferme. En prison vous semblez cadré, j’espère que vous garderez cette image de vous à votre sortie. Je n’ai pas envie de vous revoir tous les ans pour vous coller trois mois », interpelle la présidente du tribunal après avoir prononcé une peine de trois mois de prison ferme. « Je ne veux pas retomber dans cet enfer », lui répond Mohamed A., les yeux brillants.
Mickaël et Christophe jugés pour avoir tué à coups de marteau un collégien pour son portable

Mickaël Baerhel risque la réclusion à perpétuité
Cinq ans après la découverte du corps démembré d’Alexandre Junca, collégien de 13 ans tué à coups de marteau pour le simple vol de son portable, quatre accusés vont devoir s’expliquer à partir de mardi aux assises de Pau sur ce meurtre sauvage qui avait traumatisé la ville.
Deux marginaux, Mickaël Baerhel, 30 ans, et Christophe Camy, 28 ans, seront jugés par la Cour d’assises des Pyrénées-Atlantiques pour «vol avec violences ayant entraîné la mort», des faits passibles de la réclusion à perpétuité.
Tony, un voleur récidiviste s’étonne de ne pas retourner en prison
« Je peux ressortir ? » s’étonne Tony après avoir entendu le délibéré du tribunal. « Wouah ! » lâchent des proches dans le public. La décision de ne pas réincarcérer le Havrais de 24 ans le surprend lui-même, tant son casier est épais et sa dernière sortie de prison récente. « Vous avez ma parole : je vais saisir la chance que vous me donnez », s’enivre Tony, sourire béat.
Le multirécidiviste croise samedi 21 mai vers 5 h son copain Jordan, second prévenu âgé de 19 ans. « Et par ennui, par bêtise, ils vont aller taper la supérette du quartier », se navre la procureure.
Deux ans de prison sont requis par le parquet. Le prévenu en reste bouche bée. Il ne sera condamné qu’à dix-huit mois, dont un an ferme dépourvu de mandat de dépôt. Quant à Jordan, plus discret, il écope de six mois avec sursis. Ensemble, les amis devront verser 3 306 € au commerçant partie civile.
Anthony Delon, les frasques d’un voyou de bonne famille
Le fils d’Alain Delon est visé par une plainte pour violence. Après une adolescence compliquée, et punie en son temps par la justice, l’acteur s’était amendé. Le voilà qui franchit à nouveau la ligne rouge. Retour sur une carrière en dents de scie.
Samedi soir dernier, vers 20h30 à l’hôtel Costes du Ier arrondissement de Paris, Anthony Delon aurait agressé l’entrepreneur Tahir Bhatti, selon L’Express. Le journal révèle que l’artiste aurait donné une gifle, puis un coup de poing sur la nuque, avant de renverser une bouteille de vin sur lui. Un triste épisode que l’on ne pensait plus possible, l’acteur n’ayant cessé de répéter qu’il avait «réglé tous ses problèmes existentiels».
Dès l’âge de 17 ans, date à laquelle il décide d’arrêter ses études, son père Alain Delon le met à la porte. Le futur acteur développe un indéniable talent pour se glisser dans d’improbables situations.
En février 1983, il est arrêté à 18 ans au volant d’une BMW volée, avec sous le siège du conducteur un Mac 50, l’arme de service dérobée à un gendarme lors de l’évasion de Bruno Sulak, son ami et voyou, surnommé le «gentleman cambrioleur».
Il passe un mois à l’ombre, au centre pour mineur de la prison de Bois d’Arcy. Il en retient une scène surréaliste qu’il raconte dans Le Premier Maillon, son autobiographie parue en 2008. Celle du parloir, où son père vient lui rendre visite: «J’avais l’impression d’être dans un polar de Jean-Pierre Melville. À chaque silence, je m’attendais à ce qu’il me dise: Sois prêt, demain 16 h, pendant la promenade, mur Est de la cour, un hélico viendra t’arracher… Je m’occupe de tout.»
Nicolas agresse violemment un bénévole pour 5€90 devant un commissariat
Lors de la première soirée du festival « Jazz sous les Pommiers », à Coutances (Manche), dimanche 1er mai 2016, un bénévole de l’organisation a été frappé pour de l’argent. Son agresseur présumé était jugé le mercredi 4 mai.
En fin de soirée du festival « Jazz sous les Pommiers », dimanche 1er mai 2016, un bénévole rentre tranquillement à sa voiture garée derrière le tribunal, quand il voit un homme se diriger vers lui. Sans méfiance, il l’accueille avec le sourire, mais déchante vite quand il entend : « Donne moi du fric ».
En face, Nicolas Bunout, 31 ans, semble déterminé. Terrorisé, le bénévole tente de le raisonner. Il sort la petite monnaie qui lui reste, 5,90 € et les donne. Le suspect lui aurait alors demandé sa carte bancaire.
Frappé devant le commissariat
Pour trouver subtilement de l’aide, le bénévole l’invite à le suivre vers le théâtre, où, dit-il, sa carte bleue est rangée dans un casier. En arrivant sur le trottoir du commissariat, la victime aperçoit une connaissance qui comprend tout de suite ce qui se trame. Elle préviend la police, mais la victime sera tout de même frappée à la tête. Un coup de poing si violent qu’elle tombe KO au sol, le crâne ensanglanté.
Quatre points de suture
L’agresseur présumé prend la fuite. Rapidement appréhendé, grâce à la caméra du commissariat, il est présenté en comparution immédiate le 4 mai. « J’ai peut-être halluciné », déclare-t-il devant le tribunal, en prétendant ne pas se souvenir des faits.
Présente à l’audience, la victime s’en est sortie avec quatre points de suture et une nuit à l’hôpital. Nicolas Bunout, avec 17 mentions au casier judiciaire, a été condamné à dix mois de prison ferme, avec mandat de dépôt. Il devra verser 150 euros à la partie civile.
Mauves : appel à témoin, un individu de « type européen recherché après un car-jacking
Un car-jacking a eu lieu ce samedi en début de matinée, sur la déviation de Mauves, sur la RD 86.
Un homme âgé d’une quarantaine d’années, accompagné d’un enfant d’une douzaine d’années, faisaient du stop en bordure de route. Prétextant une panne de voiture, l’homme a profité de l’arrêt d’un véhicule pour menacer son conducteur, vraisemblablement avec une arme, et lui prendre sa voiture, sans violence.
La brigade de gendarmerie de Tournon lance un appel à témoin. Le véhicule volé est une Peugeot 308 break de couleur grise. L’homme recherché est de type européen, vêtu d’une veste de couleur marron.
Toute personne ayant été témoin de ce car-jacking ou pouvant fournir de plus amples informations est invitée à contacter la brigade de gendarmerie de Tournon-sur-Rhône au 04 75 08 02 21.