Ludovic condamné a 17 ans de prison pour avoir tué sa femme à coups de marteau

marteau

Le parquet avait requis 25 ans. La cour d’assises a jugé moins sévèrement l’assureur niçois qui avait tué sa femme lors d’une dispute en 2014. Ludovic Haziza, 56 ans, a plaidé un coup de folie. Le couple devait se séparer.

Le contexte du drame a pesé dans ce procès. Ludovic Haziza et son épouse Gabrielle étaient dans une démarche de libertinage depuis un certain temps, une situation qui leur a échappé. Lorsque Gabrielle Haziza a souhaité quitter son mari pour un homme que le couple fréquentait, Ludovic Haziza, qui avait lui-même fait la même démarche en se mettant en couple avec une autre femme, n’a pas accepté.

Les démarches de divorce étaient engagées. Lors d’une dispute, au cabinet d’assurance, le 1er septembre 2014, il est allé chercher un marteau et a frappé une vingtaine de fois le crâne de Gabrielle.

France 3

La Russie dépénalise les violences conjugales au nom de la tradition

violence-conjugale1

La Chambre basse du parlement russe (Douma) a fait passer mercredi une loi qui dépénalise les violences domestiques, soit les violences commises au sein du couple ou de la famille, envers un parent, un conjoint ou un enfant. Cette loi votée en première lecture a fait l’objet d’une très claire unanimité, puisque sur 450 membres de la Douma, seul un député a voté contre et 368 ont voté pour, comme le rapportent le Moscow Times et Politico.

Cette loi a été portée par la députée ultra-conservatrice Yelena Mizulina, célèbre pour avoir fait pression en faveur d’une autre loi qui a fait polémique à l’étranger et en Russie parmi les défendeurs des droits des LGBT: celle condamnant la « propagande homosexuelle ».

Comme le rapporte Politico, lors d’un discours à la Douma, l’élue a déclaré que « les lois devaient soutenir les traditions familiales« . « Dans la culture familiale traditionnelle en Russie, les relations parents-enfants sont basées sur l’autorité du pouvoir des parents », a-t-elle fait valoir.

Malgré l’approbation unanime des députés, cette décision législative a provoqué un tollé parmi les défenseurs des droits des femmes, qui craignent que la loi rende les victimes de violences conjugales encore plus vulnérables. Une pétition contre cette loi a d’ailleurs réuni près de 175.000 signatures.

Comme le rapporte le Moscow Times, d’après les chiffres du gouvernement russe, 40% des crimes violents sont commis à l’intérieur de la famille dans le pays. Chaque jour, 36.000 femmes sont battues par leur conjoint, et chaque année, 26.000 enfants sont victimes de la violence de leurs parents.

BFM TV

Elle saute du premier étage et se brise les talons pour échapper aux coups son époux Anthony

Cinq ans de prison ferme ont été infligés mercredi à un Sanaryen de 35 ans qui a violemment frappé son épouse samedi dans le huis clos familial obligeant celle-ci à se jeter par la fenêtre pour fuir.

image-quay-33869245-e1472108555489

 

Quelques secondes avant son évasion du tribunal en pleine audience, Anthony F., un homme de 35 ans avait averti avec un regard vide et froid: «Je n’irai pas en prison. Vous aurez ma mort sur la conscience».

L’homme venait d’être jugé en comparution immédiate pour des violences commises sur son épouse samedi soir à leur domicile à Sanary.

Des violences telles que son épouse par crainte de mourir a sauté du premier étage, se brisant les deux talons lors de sa chute.

Mais cette nuit-là, le mis en cause ne s’en est pas arrêté là…

Il est venu chercher sa compagne choquée et gravement blessée à l’extérieur pour l’emmener à nouveau dans le logement dont il a fermé les volets. Et les coups ont continué à tomber sur la jeune femme. Il a porté ses mains autour du coup de la victime pour tenter de l’étrangler tout en lui criant qu’il allait la tuer, ainsi que sa fille âgée de neuf ans (1) avant de se suicider.

« Je l’ai douchée et je l’ai couché e», a-t-il déclaré mercredi aux magistrats. Il va finalement conduire sa femme quatre heures plus tard aux urgences en expliquant qu’elle s’était jetée sur lui, qu’il s’était défendu et qu’elle s’était défenestrée.

Une version impossible à soutenir au regard du certificat établi par un médecin. Transférée à l’hôpital Sainte-Musse où elle est toujours hospitalisée.

Une ITT de 45 jours lui a été accordée , faisant mention de ses talons fracturés et des multiples ecchymoses recensées sur le corps.

EN FURIE, IL SACCAGE LA CHAMBRE DE SA FILLE 

« On est allé en soirée et elle dansait trop près des garçons. Ça ne m’a pas plu. Je lui ai dit ce que je pensais à la maison et elle m’a sauté dessus. Je lui ai mis une gifle ». La présidente lui fait remarquer qu’il a totalement dévasté la chambre de sa fille. Les meubles ont été cassés. Les livres et les jouets éparpillés au sol. « J’étais énervé. C’est pas grave ça. Ça se rachète ».

UNE MARRE DE SANG 

C’est le père de la victime qui a donné l’alerte aux policiers, inquiets de ne pas voir cette dernière venir chercher son enfant qui avait passé la nuit chez eux. Les policiers du commissariat de Sanary ont découvert une mare de sang dans le salon, puis des traces dans l’escalier, à l’étage, dans les toilettes.

Interrogée, la jeune femme va, dans un premier temps, tenter de disculper son époux en expliquant qu’un individu s’est introduit chez elle.

Elle se ravisera ensuite pour mettre en cause le père de son enfant. «Ce qu’il a fait est monstrueux», a déclaré Me Barcelo, l’avocate de la victime. «Des faits extrêmement graves, pour Mme Liard, la représentante du parquet. Avec une absence totale de remise en cause pour un individu déjà condamné à deux reprises pour des violences sur son épouse».

CINQ ANS REQUIS 

Ont été requis cinq ans de prison (dont un an avec sursis) et le retrait de l’autorité parentale pendant cinq ans à titre complémentaire.

En défense, Me Ayral a avoué son impuissance face à de tels faits mettant en avant «certainement un trouble psychiatrique» pour un homme au casier noirci de neuf mentions.

Pendant la cavale du prévenu, la présidente a rendu son délibéré: cinq années d’emprisonnement ferme. Il a été décerné un mandat d’arrêt, avant qu’Anthony Freschi ne soit arrêté en début de soirée par les policiers toulonnais grâce à une collaboration inter-services.

Var Matin

Geoffrey la tabasse et la viole le jour de la demande en mariage, il écope d’un sursis

Le jeune homme a fait preuve d’un véritable acharnement envers sa compagne qui souffre de fibromyalgie.

57a99eb835709a31055ac5be

Geoffrey (prénom d’emprunt), 23 ans, a écopé d’une peine de deux ans de prison avec sursis probatoire pour avoir fait subir des coups et des viols qui ont été qualifiés par la juge du tribunal correctionnel de Liège de véritable « acharnement ».

Le pire, c’est que l’homme a fait subir des scènes atroces à sa compagne, malade, leur jour de sa demande en fiançailles. Les faits sont si graves, que le jeune homme a comparu détenu devant le tribunal.

Le 13 mars dernier, aurait dû être un jour idyllique pour le couple. Ce jour-là, Geoffrey avait demandé la main de la jeune femme et cette dernière a décidé d’accepter la demande. Ce jour-là, le couple s’est rendu dans un restaurant pour fêter l’événement. Alors qu’ils se trouvaient au restaurant, Geoffrey a fait part à sa compagne de son désir d’entretenir des relations sexuelles avec elle. La dame, atteinte de fibromyalgie, lui a expliqué qu’elle souffrait énormément. Mais Geoffrey n’était pas prêt à accepter un refus…

L’homme avait bu de l’alcool, mais pas suffisamment pour le rendre dans un état second. Une dispute a éclaté et Geoffrey s’est montré d’une violence inouïe. Il a tiré sa compagne par les cheveux, lui a frappé la tête sur un meuble. Il l’a contrainte à lui faire une fellation tout en l’insultant. Il lui a ensuite fait subir deux autres scènes de viol. Le jeune homme avait pris quelques médicaments, mais à des doses minimes.

Lorsque la police est intervenue sur les lieux, Geoffrey avait cassé tout le mobilier. Sa compagne était toujours particulièrement apeurée. « Je ne me souviens pas de tout, mais je regrette ce que j’ai fait », a expliqué le prévenu.

Le tribunal a accédé à la demande de l’avocat du prévenu, Me Adrien Croisier, d’accorder à son client un sursis probatoire pour ce qui excède la détention préventive.

Dh.Net

Didier, condamné a 23 ans de prison pour avoir jeté sa compagne du 6e étage

PrtScr2-630x0

Le verdict est tombé ce vendredi soir concernant la défenestration de Diana Porson à Melun. Malgré ses dénégations, Didier B. 49 ans, a été reconnu coupable du meurtre de sa conjointe. Il a été condamné à 23 ans de réclusion criminelle.

L’avocat général, Daniel Atzenhoffer, avait requis 25 ans de réclusion, arguant qu’il ne pouvait s’agir ni d’un suicide ni d’une chute accidentelle. La présence de la bombe lacrymogène à ses côtés prouve qu’elle se sentait en danger “, a-t-il relevé.

L’avocate des parties civiles, Me Anne-Catherine Le Squer, a rappelé que l’accusé niait l’évidence : Même avec des éléments incontestables, comme les photos du visage tuméfié de la victime montrées à l’audience, il ne reconnaît pas les violences conjugales et encore moins le meurtre “.

La République

Anthony agresse son ex à la barre de fer car elle a un nouveau copain

Le 30 mai 2012 à Amfreville-la-Mivoie, une jeune fille de 16 ans descend de son immeuble pour se rendre au restaurant avec son nouveau petit ami. La soirée s’annonce plutôt bien. Mais c’est sans compter sur la présence d’Anthony L., son ex de 25 ans qui l’attend, accompagné d’un ami, en bas de chez elle.

violence-conjugale

En voyant le couple dans une voiture, le jeune homme jaloux se serait précipité sur eux armé d’une barre de fer. Il aurait alors cogné sur la voiture, brisant les vitres et détériorant la carrosserie. Anthony L. aurait ensuite sauté sur le capot du véhicule avant de sortir ses deux victimes par la force. Ils déclarent tous deux avoir reçu des coups.

La jeune femme dit avoir reçu des débris de verre dans les yeux. L’ami qui accompagnait l’agresseur n’est pas poursuivi devant le tribunal correctionnel de Rouen, n’ayant pas été décrit comme ayant pris part aux violences. Anthony L. doit pour sa part répondre de ses actes.

Anthony L. est condamné à une peine de trois mois de détention avec sursis ainsi qu’à une amende de 700 euros.

Paris Normandie

Damien tabasse et séquestre sa compagne

La jalousie aurait poussé cet habitant de Cherbourg (Manche) à séquestrer sa compagne, vendredi 29 avril. Le prévenu effectuera une peine de prison.

2048x1536-fit_image-extraite-telefilm-emprise-diffuse-tf1

 

Le 29 avril, une jeune femme dépose plainte à l’encontre de son ex-compagnon en indiquant qu’elle avait été séquestrée la veille chez lui à Cherbourg. L’homme lui avait pris son téléphone avant de la tabasser pendant plus d’une heure. « ‘Il a regardé mes messages, il voulait que je lui avoue ma nouvelle liaison, et à chaque pause, il fumait un joint », indique la victime lors de son audition. Les coups ont entrainé 4 jours d’interruption temporaire de travail.

Condamné à un an ferme

Défavorablement connu de la justice, Damien Gillion, 33 ans, a écopé de deux ans de prison, dont un an avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans, avec obligation de soins et de travail. Un mandat de dépôt a été prononcé.

La Manche Libre