Viols et actes de barbarie… Un abbé intégriste renvoyé aux assises

Un abbé, soupçonné d’avoir violé trois enseignantes d’une école privée dont il était le directeur, comparaîtra en mai devant les assises de Versailles.

Un abbé intégriste a été renvoyé jeudi devant les assises pour « viols » et « viols avec actes de barbarie » présumés sur des enseignantes d’une école privée des Yvelines. Le religieux avait été mis en examen et écroué en avril 2014 pour ces actes présumés commis au sein del’école Notre-Dame de la Sablonnière à Goussonville, près de Mantes-la-Jolie, un établissement proche de la Fraternité Saint-Pie X, mouvement en rupture avec l’Eglise catholique.

20 Minutes

Ludovic condamné a 17 ans de prison pour avoir tué sa femme à coups de marteau

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Le parquet avait requis 25 ans. La cour d’assises a jugé moins sévèrement l’assureur niçois qui avait tué sa femme lors d’une dispute en 2014. Ludovic Haziza, 56 ans, a plaidé un coup de folie. Le couple devait se séparer.

Le contexte du drame a pesé dans ce procès. Ludovic Haziza et son épouse Gabrielle étaient dans une démarche de libertinage depuis un certain temps, une situation qui leur a échappé. Lorsque Gabrielle Haziza a souhaité quitter son mari pour un homme que le couple fréquentait, Ludovic Haziza, qui avait lui-même fait la même démarche en se mettant en couple avec une autre femme, n’a pas accepté.

Les démarches de divorce étaient engagées. Lors d’une dispute, au cabinet d’assurance, le 1er septembre 2014, il est allé chercher un marteau et a frappé une vingtaine de fois le crâne de Gabrielle.

France 3

Macron évoque «des éléments de civilisation» et des effets positifs dans la colonisation de l’Algérie

C’est une petite phrase qui ne passe pas. Interrogé par « Le Point » sur « les pages moins glorieuses de notre histoire », Emmanuel Macron évoque dans sa réponse « des éléments de civilisation » dans la colonisation de l’Algérie.

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« Oui, en Algérie, il y a eu la torture, mais aussi l’émergence d’un Etat, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation. Il y a eu des éléments de civilisation et des éléments de barbarie. »

Bien que nuancés par la phrase précédente (« Je place pour ma part aux côtés des soldats de l’An II, les tirailleurs sénégalais, les résistants étrangers, tous ceux qui ont fait la France sans être nés français, voire sans être français du tout »), les propos de l’ancien ministre ont choqué beaucoup d’internautes, qui ont rapidement établi un lien avec les propos de François Fillon pour qui la colonisation visait à « partager sa culture ». Certains notent tout de même une vraie différence : « Comparer Fillon à Macron c’est dire que Macron cautionne l’idée du ‘partage de culture à travers la colonisation’ de Fillon. Faux », souligne ainsi une internaute.

L’Obs

Afrique du sud : des «racistes blancs» tentent d’enfermer un Noir dans un cercueil en menaçant de le brûler vivant

Afrique du Sud. Deux fermiers racistes ont maltraité un jeune homme et diffusé la vidéo sur les réseaux sociaux. Ils vont être jugés.

Deux Blancs sont poursuivis en Afrique du Sud pour avoir tenté d’enfermer dans un cercueil un jeune Noir et menacé de le brûler vivant, un incident enregistré sur une vidéo qui suscite une vive indignation dans un pays meurtri par des années de ségrégation raciale.

Willem O. et Theo J. doivent comparaître mercredi à Middelburg, dans la province du Mpumalanga (nord-est), pour agression et tentative de coups et blessures, a-t-on appris de source judiciaire. Sur une vidéo de 20 secondes, on voit un jeune homme Noir vivant allongé dans un cercueil, qui est posé à même un sol poussiéreux et rocailleux. Un homme Blanc tente alors de refermer le cercueil, tandis que la victime gémit et essaie coûte que coûte de l’en empêcher.

«Tu veux parler ? Allez, allez. On va jeter de l’essence», menace l’un des hommes Blancs en afrikaans, la langue natale de nombreux fermiers sud-africains Blancs. La vidéo, qui n’est pas datée, a été diffusée sur les médias sociaux. Les deux hommes poursuivis sont également accusés d’avoir voulu introduire un serpent dans le cercueil.

«Une humiliation pour tout le peuple noir»

Le parti de gauche radicale des Combattants pour la liberté économique (EFF) s’est emparé de l’affaire. Il organise un rassemblement mercredi devant le tribunal de Middelburg pour protester contre le racisme en Afrique du Sud. «Les deux hommes Blancs (…) ont frappé un type Noir, Victor Rethabile Mlotshwa, et l’ont mis dans un cercueil», selon un communiqué de l’EFF.

«Ces racistes Blancs ont ensuite filmé une vidéo et l’ont mise sur les médias sociaux pour s’amuser (…). Cette humiliation n’est basée sur rien d’autre que sur la couleur de peau. C’est une humiliation pour tout le peuple noir», a estimé l’EFF.

Vingt-deux ans après la fin officielle du régime raciste de l’apartheid et l’élection de son premier président noir, Nelson Mandela, l’Afrique du Sud se débat toujours avec les démons du passé. Les relations entre la majorité noire et les Blancs restent extrêmement compliquées et les controverses raciales – largement exploitées par la classe politique – fréquentes.

TDG

Amandine écope de 12 ans de réclusion pour avoir brûlé et torturé son bébé de 3 mois

Les juges et jurés de la Cour d’Assises d’Angoulême ont tranché. Amandine Artige est coupable. Ils la condamnent à 12 ans de réclusion et lui retirent l’autorité parentale.

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Fidèle à l’attitude qu’elle a eue tout au long de son procès, Amandine Artige n’a eu aucune réaction quand le président de la Cour d’Assises d’Angoulême a prononcé le verdict ce vendredi vers 14 h 30. «12 ans de réclusion de réclusion criminelle» pour acte de tortures et de barbarie sur son nourrisson de 3 mois.

À l’heure de requérir hier soir devant la cour d’assises de la Charente à Angoulême, Catherine Corvaisier, l’avocate générale, a manqué de circonstances atténuantes face à Amandine Artige, 22 ans, accusée d’avoir frappé, secoué, mordu et brûlé sa fille de 3 mois dans la nuit du 20 au 21 mars 2014 à Ruffec.

Charente Libre

Allemagne: Le «policier cannibale» à nouveau jugé pour meurtre

Detlev Günzel, surnommé « le commissaire sans tabou » par la presse allemande, est rejugé depuis ce mardi par un tribunal de Dresde (est) pour avoir tué et dépecé, manifestement à sa demande, un homme rencontré sur un site dédié au cannibalisme.

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« Reconnu coupable d’avoir porté atteinte au repos des morts »

En avril 2015, cet ex-policier allemand de 58 ans, avait été condamné à huit ans et demi de prison pour avoir tué en novembre 2013, Wojciech Stempniewicz, un consultant de 59 ans d’origine polonaise. La Cour de Dresde l’avait « reconnu coupable de meurtre motivé par le désir sexuel et d’avoir porté atteinte au repos des morts », avant que le jugement ne soit cassé.

Les juges avaient conclu au meurtre mais retenu comme « circonstance atténuante » le fait que la victime avait fait part de son désir de mourir lors de leurs échanges sur Internet, mais le parquet et l’accusé avaient fait appel du verdict.

Il avait enterré les morceaux de sa victime dans son jardin

Policier durant trente ans, ce père de trois enfants déjà adultes, décrit comme sympathique, généreux et d’une grande politesse par ses voisins, avait ouvert un « bed and breakfast » à Hartmannsdorf-Reichenau, près de la frontière tchèque.

>> A lire aussi : Le «cannibale» des Pyrénées pourrait ne jamais être jugé

C’est là, dans sa cave transformée en studio pour ses pratiques sadomasos, qu’il avait découpé avec un couteau et une scie le corps de sa victime, avant d’enterrer les morceaux dans son jardin. L’accusé a toujours reconnu avoir dépecé le corps mais nié avoir tué le consultant, affirmant qu’il s’était pendu dans la cave.

20 Minutes

Lorraine : Émeline jugée en appel pour avoir permis le viol de sa fille de 5 ans par Franck, son amant

En première instance l’année passée, la mère avait écopé de 25 ans de prison, son amant de 30, dont 20 années de sûreté. Jugés en appel cette semaine à Nancy d’après Direct FM, les deux Lorrains sont accusés de faits particulièrement sordides.

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Franck Passarello, 38 ans, ouvrier sidérurgiste de Talange, et Émeline, Vosgienne de 33 ans, livreuse en boulangerie, ont eu une enfance paisible, tranquille, lisse comme une toile cirée. L’homme est poursuivi pour le viol de Lila, la fille d’Emeline, alors âgée de 5 ans. Un abus de dix minutes, d’une violence telle que la qualification d’actes de torture et de barbarie a été retenue à son encontre.

Une rencontre sur Internet, l’agression six mois plus tard

Pendant l’été 2012, l’homme avait violé la fille de la femme, avec l’aide de cette dernière, six mois après leur rencontre sur Internet. Alors âgée de 5 ans, l’enfant aurait été alcoolisée, bâillonnée et en partie tenue par sa mère, accusée également d’attouchements sexuels, ajoute L’Est Républicain.

Les faits auraient été particulièrement violents, puisque le parquet a aussi ajouté des « actes de torture et barbarie » aux chefs d’accusation à l’encontre de l’homme. Entendus mercredi à la barre de la cour d’appel du tribunal d’instance de Nancy, les deux individus risquent des peines allant jusqu’à la perpétuité.

20 Minutes

Michelle a assisté au viol et au meurtre de sa fillette de 10 ans, car «elle aimait ça»

L’horreur sans nom: une fillette de 10 ans suppliait sa mère de l’aider pendant qu’elle se faisait violer par son compagnon et son cousin sous les yeux de la maman 

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Le DailyMail rapporte un sordide fait divers ayant eu lieu dans le Nouveau-Mexique, aux États-Unis. Michelle Martens a assisté au viol et au meurtre de sa fillette de 10 ans, Victoria. La petite fille a été abusée sexuellement et tuée par deux hommes, le compagnon et le cousin de sa mère. Après les faits, la mère a admis avoir eu des rapports sexuels avec son compagnon, Fabian Gonzales, 31 ans, 20 minutes après le meurtre de sa fille.

La vérité sur les terribles conditions infligées à la petite Victoria a émergé grâce aux très nombreuses contradictions dans la version des faits rapportée par la maman, Michelle Martens.

Le 23 août dernier, la petite Victoria a été droguée, violée et battue à mort par le compagnon, Fabian Gonzales, 31 ans, et le cousin de sa maman. Le corps démembré de la petite fille, tuée le lendemain de son 10 ème  anniversaire, a été retrouvé dans l’appartement de la maman.

Après avoir été auditionnée à trois reprises, la maman de Victoria, qui avait nié toute implication dans le meurtre de sa fille, a admis avoir assisté à son viol et à son meurtre. Comble de l’horreur, Michelle Martens a non seulement assisté à cette scène d’horreur mais a avoué à la police avoir eu des rapports sexuels avec son compagnon, 20 minutes après le meurtre de sa fille.

Michelle a avoué aux policiers qu’elle avait assisté au viol de sa fille, car elle aimait ça. Elle avait permis à deux hommes d’avoir des relations sexuelles avec sa fille, 6 mois avant le meurtre. Elle utilisait des sites de dating pour rencontrer des hommes prêts à avoir des relations sexuelles avec sa fille Victoria.

Martens doit faire face à des accusations d’enlèvement et de la maltraitance d’enfants ayant entraîné la mort. Son compagnon Fabian Gonzales et le cousin font face aux mêmes accusations et seront jugés pour le viol de Victoria.

Leurs procès devraient avoir lieu l’année prochaine. Michelle Martens est mère d’un petit garçon. L’enfant a été confié à des services compétents.

Il viole une fillette de 10 mois et elle décède à la suite de ses blessures

Cette semaine, un homme de la Virginie-Occidentale a été accusé du viol et du meurtre de l’enfant de 10 mois de sa conjointe, rapporte le New York Post.

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La mère a fait l’horrible découverte de sa fille ensanglantée sur le plancher du sous-sol. La fillette était encore en vie à ce moment, mais elle est malheureusement décédée dans les bras de sa mère avant l’arrivée des ambulanciers. Elle portait des marques d’agression sexuelle en plus d’avoir été lourdement blessée.

Rendus sur place, les policiers ont remarqué que le conjoint de la mère, Benjamin Ryan Taylor, tentait d’essuyer une tache sur son pantalon. Les policiers ont déterminé que c’était le sang de la victime.

Des vêtements et couvertures tachés de sang ont été retrouvés près de l’endroit où l’enfant aurait été attaquée.

Taylor a initialement nié savoir comment le bébé a subi de telles blessures pour ensuite changer son histoire. Il aurait affirmé avoir eu une perte de conscience momentanée (black-out) pendant qu’il faisait la lessive.

Dans une vidéo, la cousine de la mère, furieuse et inconsolable, déclare que le présumé violeur et meurtrier agissait comme un prince charmant. Il se montrait aidant avec sa conjointe et passait du temps avec les enfants.

Le shérif Tony Boggs a déclaré aux médias locaux qu’il n’avait jamais rien vu de tel.

3 autres enfants étaient sur les lieux lors du crime, mais aucun d’entre eux ne semble avoir été victime d’une agression.

Taylor, âgé de 32 ans, est détenu avec une caution de 2 millions de dollars.

Journal De Montreal