Une église noire datant de plus d’un siècle, incendiée par des pro Trump

La police du Mississippi a ouvert une enquête pour incendie volontaire, après la destruction d’une église dans le Mississippi, au sud des Etats-Unis. Cette église baptiste construite il y a plus d’un siècle a été entièrement détruite par les flammes, mardi 1er novembre au soir. Un slogan « Votez Trump » était tagué sur la façade du bâtiment. Ce n’est pas le premier incident raciste qui émaille la campagne du candidat républicain.

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Les associations de droits civiques du Mississippi attribuent cet incendie criminel au climat délétère de la campagne. Les responsables de l’église en sont persuadés, il s’agit d’un « crime de haine », d’une manœuvre d’intimidation envers la communauté noire. Le FBI est en charge de l’enquête.

La campagne Trump a exprimé sa tristesse et condamné cet acte criminel, mais la NAACP, la plus importante organisation de droits civiques aux Etats-Unis, ne se satisfait pas de ces déclarations. Son président estime que la rhétorique du candidat libère les plus bas instincts dans un pays où le problème de la discrimination raciale est à fleur de peau.

Car à cette affaire s’ajoute le soutien apporté par le journal du Ku Klux Klan au candidat républicain. « Notre pays a été fondé en tant que république blanche et chrétienne », peut-on lire sur le site du Croisé, qui vante le programme Trump : « Rendre sa grandeur à l’Amérique ». Encore une fois, la campagne Trump nie tout lien avec cette mouvance, comme avec des supporters antisémites filmés dans certains de ses meetings.

RFI

Incendie à Pantin : des jeunes de la cité volent au secours des résidents… puis se font contrôler par la police

Au lendemain de l’incendie dramatique de Pantin où un homme de 58 ans a péri dans son appartement, les habitants de la résidence du 8, rue Auger sont encore sous le choc. Le sinistre a fait d’autres victimes : une jeune femme de 23 ans est toujours dans un état critique après avoir respiré des fumées toxiques, une femme de 85 ans, qui a été évacuée par la grande échelle, est plus légèrement blessée.

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Les résidents de cette copropriété en parfait état ont tous le sentiment de l’avoir échappé belle. « Nous n’avons pas entendu de bruit ni senti d’odeur suspecte », indique Malik, un rescapé. Ils n’ont même pas perçu l’alarme. « C’est mon fils qui l’a déclenchée », explique Céleste Lopes, l’ancienne gardienne qui vit au rez-de-chaussée.

Les occupants de l’immeuble ne tarissent pas d’éloges sur le groupe de jeunes « de la cité d’en face » qui ont volé à leur secours. « Ils sont montés dans les étages en criant au feu, ils ont frappé aux portes et ont aidé les gens à sortir. Ils nous ont sauvés », martèle Malik.

« Sans eux, il y aurait eu plus de morts »

Dans la confusion, samedi après-midi, la police a d’abord cru que ces jeunes gens étaient venus mettre le feu. Des témoins les avaient vus escalader la grille d’enceinte et s’engouffrer dans l’immeuble, puis en ressortir à toute vitesse (en fait chassés par les fumées).

Ils se sont fait interpeller une cinquantaine de mètres plus loin. Malik qui venait d’être secouru par ces jeunes gens, a tenté d’expliquer la méprise. « Mais ils étaient déjà maîtrisés par la police qui me disait de ne pas m’en mêler », raconte-t-il. Finalement le quiproquo a été levé, et les garçons relâchés. Malik sait seulement que ses sauveurs habitent l’îlot Scandicci, une cité difficile de Pantin. « Ce sont des jeunes héroïques, sans eux il y aurait eu plus de morts », insiste-t-il.

L’origine de ce feu particulièrement violent est toujours inconnue, même si la piste accidentelle est privilégiée. Samedi à 17 heures, lorsque les pompiers interviennent, ils n’arrivent pas à ouvrir la porte du studio du 2e étage d’où sont parties les flammes. Quand enfin ils y parviennent, ils découvrent un corps complètement carbonisé appuyé contre la porte d’entrée.

Le Parisien

Corse : un incendie ravage une salle de prière musulmane, la piste criminelle privilégiée

Un incendie a eu lieu samedi à l’aube dans une salle de prière musulmane à Ajaccio, en Corse-du-Sud.

BFM

 

2 agents municipaux brulent un commerce roumain par « motivation raciste »

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Le jeudi 24 mars dernier, deux agents municipaux de la ville de Denain ont été « mis en examen pour incendie volontaire à visée raciste », indique le parquet de Valenciennes.

En effet, le DIPJ (Direction Interrégionale de la Police Judiciaire) de Lille enquête actuellement sur l’incendie d’un magasin – situé rue Bernard-Lazare – survenu dans la nuit du dimanche 20 au lundi 21 mars. Cette boutique – appelée « Romanesc-Yanis-Leo » – est tenue par un commerçant de nationalité roumaine.

Les deux agents municipaux mis en cause dans le cadre de cette affaire aurait agi de cette façon : l’un étant « le donneur d’ordre », a fourni « des gants et de l’essence » au second agent municipal, pour que celui-ci puisse passer à l’acte durant la nuit de dimanche à lundi.

Selon nos informations, les deux intéressés auraient dans un premier temps déclaré avoir agi « sur ordre de la mairie », avant de revenir sur leurs déclarations lors de leur garde à vue. En précisant finalement « avoir agi d’initiative », ajoute le procureur de la république François Pérain. Tous deux ont été placés sous contrôle judiciaire après avoir été « mis en examen pour incendie volontaire à visée raciste. »

Stoica, un Roumain de 24 ans arrivé à Denain il y a environ 5 ans, est le patron de cette supérette. Celle-ci est ouverte depuis environ deux mois et propose des produits d’épicerie roumaine, qu’il fait venir de Belgique. Stoica estime les pertes liées au sinistre à « 2 500 », voire « 3 000 euros ».

Apparemment, c’est un feu de poubelle qui aurait été à l’origine de cet incendie qui s’est propagé jusqu’au circuit électrique du bâtiment de 25 m2, détruisant ainsi tous les spots lumineux se trouvant à l’intérieur. Le patron du magasin – qui a porté plainte – a sollicité l’aide du consulat de Roumanie, afin de bénéficier de l’appui d’un avocat. Il espère pouvoir rouvrir dans « deux semaines ».

L’Observateur

Thierry condamné pour avoir incendié le manoir vendu par ses parents

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Son faux pas a causé 495 849 euros de dégâts. Entre la maison de Bretteville-du-Grand-Caux détruite par le feu et les biens mobiliers qu’elle contenait. À la barre du tribunal correctionnel du Havre, Thierry, 37 ans, n’offre guère d’explication.

Il a habité cette demeure durant vingt-quatre ans, avant que ses parents s’en séparent. Les nouveaux propriétaires ne sont pas présents le 26 mars 2014 lorsque l’homme y revient. Ils vivent à l’étranger. Thierry pénètre dans cet ancien presbytère après avoir brisé une fenêtre. Il met le feu notamment à des rideaux. Il peine à ressortir tant la fumée devient vite épaisse. Les flammes ont ravagé le toit quand les pompiers interviennent au petit matin.

IL ÉVITE LA PRISON

En garde à vue, le prévenu a confessé ne pas avoir accepté que les remplaçants aient rebaptisé « manoir » la maison.

Déjà connu avec deux mentions au casier, Thierry est condamné à deux ans de prison dont six mois ferme, sans mandat de dépôt.

Paris Normandie

Dylan jugé pour avoir incendié le palais de justice de Douai

Un homme de 20 ans est actuellement déféré devant le parquet d’Arras dans le cadre de l’enquête sur l’incendie crinimel qui avait ravagé le sous-sol du palais de justice de Douai, le 30 décembre dernier. Mis en examen, il devrait sans nul doute être placé en détention provisoire.

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Faute d’éléments matériels probants, il faisait partie des profils recherchés : des personnes du secteur connues pour avoir allumé des incendies en série. Le parquet de Douai avait fourni une liste de noms aux enquêteurs de la direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Lille. Celui de Dylan R., 20 ans, domicilié à Sin-le-Noble, y figurait car il avait été condamné à un an de prison, dont six mois avec sursis et mise à l’épreuve, pas plus tard que le 8 janvier dernier pour une quinzaine d’incendies allumés dans le quartier de la Sucrerie à Sin-le-Noble.

Les policiers l’ont donc extrait de la maison d’arrêt où il était détenu pour l’entendre une première fois la semaine dernière. Ses déclarations ont vite fait comprendre aux enquêteurs qu’il serait leur suspect n°1.

Ce mardi après-midi, à nouveau en garde à vue, le jeune homme, placé sous tutelle depuis le printemps, a reconnu avoir mis le feu dans le sous-sol du palais de justice. Selon le procureur de la République de Douai Frédéric Teillet, « il a reconnu être entré par effraction en escaladant un mur, avoir brisé une vitre avec une pierre trouvée sur son chemin et avoir mis le feu avec de l’essence ».

Déjà incarcéré dans le cadre de l’affaire jugée le 8 janvier, il devrait sans nul doute être également écroué après cette mise en examen.

La Voix Du Nord

Philippe incendiait sonnettes et paillassons des locataires, il écope d’un sursis

Au sein de deux immeubles de Fécamp, le concierge mettaitle feu aux sonnettes et paillassons des locataires qu’il n’aimait pas. Jugé, il ne décolère pas.

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«Bah je recherche du boulot… », marmonne le prévenu lorsque le président se renseigne sur ses activités actuelles. Depuis les faits de dégradations reprochés, le gardien d’immeuble de 49 ans a été renvoyé par le bailleur social qui l’employait à Fécamp.

Entre juillet et novembre 2014, Philippe a commis au minimum quatre incendies de sonnettes et de paillassons dans les tours Vienne et Bourdonnais dont il avait la charge. « Dans le quartier du Ramponneau, tristement célèbre », prend le soin d’articuler l’avocate du mis en cause, comme s’il s’agissait d’un élément à décharge.

Au cours du dernier méfait, en novembre, l’habitante à la sonnette visée entend un bruit dans les parties communes, puis elle sent une odeur de brûlé. Elle n’a pas aperçu l’incendiaire, mais elle a des soupçons sur Philippe en raison d’un différend avec lui.

Il avait même incendié sa propre sonnette

Placé en garde à vue au commissariat de Fécamp, le suspect admet quatre dégradations alors qu’il est également accusé de deux autres.

Malicieux, il a incendié sa propre sonnette pour éloigner des soupçons qui commençaient à peser sur lui. Une autre fois, maladroit, il s’est trompé de destinataire et a mis le feu à l’étage du dessus.

Le tribunal qui prononce six mois de prison avec sursis à l’encontre du quadragénaire au casier vierge.

Paris Normandie

Incendie volontaire d’une mosquée : un suédois condamné à 3 ans de prison

 


Suède : Une mosquée incendiée dans la nuit à Borås

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La police suédoise a annoncé aujourd’hui avoir ouvert une enquête pour incendie volontaire après un feu qui a touché dans la nuit une mosquée à Borås, dans le sud-ouest de la Suède, rapidement éteint.

« Les causes du départ du feu ne sont pas connues pour le moment. Une enquête préliminaire pour incendie volontaire a été ouverte et un périmètre a été établi autour des lieux en vue de relevés de la police technique et scientifique », selon un communiqué.

Les pompiers et la police ont été alertés peu après 3 heures (heure locale et de Paris) et n’ont trouvé personne sur place. « Il n’est plus possible d’utiliser le local. Toutes les activités sont annulées jusqu’à nouvel ordre », peut-on lire sur la page Facebook de la mosquée.

Le Figaro

Incendie de l’église de Fontainebleau : un proche de la paroisse en garde à vue

Dans la nuit de samedi à dimanche, l’église Saint-Denis de Fontainebleau avait été gravement endommagée par les flammes. Un incendie dont l’origine criminelle n’a rapidement pas fait de doute pour les enquêteurs. Un autel du XVIe siècle avait été entièrement détruit par le feu, le mobilier de la chapelle principale avait lui aussi été touché et un tabernacle avait été profané.

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Si la piste terroriste avait un temps été évoquée, les enquêteurs n’ont trouvé sur place aucun tag ou revendication. Il pourrait davantage s’agir d’un acte isolé et l’enquête s’oriente, comme l’expliquent nos confères du Parisien, vers un marginal, en conflit avec le personnel de la paroisse. Le suspect avait disparu depuis l’incendie mais il a été interpellé et placé en garde à vue. Il pourrait avoir agi par vengeance.

«Ce sans-abri, en conflit avec la paroisse, conteste toute implication», selon le procureur de Fontainebleau, Guillaume Lescaux.

Selon la police, le curé de la paroisse aurait eu une violente altercation le 19 décembre avec l’homme placé en garde à vue, qui l’avait menacé. Il était suivi en psychiatrie en consultations externes.

Le curé, José Antonini, affirme qu’il ne s’agit pas d’un sans-abri, «puisqu’il a un domicile», mais d’un «marginal avec des problèmes psychiatriques» et «d’alcool», proche de la communauté paroissiale depuis plusieurs années.

Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, qui s’est déplacé lundi sur les lieux, s’est dit «choqué» et a dénoncé un «acte abject».

«On peut parler de profanation car ils ont renversé des hosties par terre, et le ciboire a été volé», avait déclaré le curé en marge de cette visite.

Vosges Matin

Un individu de « type européen » interpellé après le jet d’un cocktail Molotov dans la mairie de Mamers

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Les gendarmes sarthois ont interpellé un homme ce mardi 8 décembre dans le cadre de l’enquête sur la bouteille incendiaire lancée dans la mairie de Mamers.

Placé en garde à vue, cet homme domicilié à Mamers est déjà connu par les services de gendarmerie pour des faits de délinquance. Il a été interpellé dans le cadre de l’affaire de la bouteille incendiaire jetée, mercredi 2 décembre vers 19 h, dans le hall du bâtiment qui abrite les services de la mairie et de la sous-préfecture.

Rappelons qu’une réunion se tenait dans la salle du conseil municipal au moment de l’incident. Les forces de l’ordre avaient alors découvert les restes d’une grande bouteille de bière flanqués à l’intérieur d’un torchon imbibé de carburant.

Un témoin avait vu un individu s’enfuir juste après. Il s’agissait d’un homme de type européen et de taille moyenne. Les gendarmes n’avaient alors pas réussi à mettre la main dessus.

Ouest France

Un local du Secours populaire incendié, des tags racistes et pro FN retrouvés sur place

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L’antenne du Secours populaire de Brive-la-Gaillarde, en Corrèze, a été la proie des flammes dans la nuit de mercredi à jeudi. Tout porte à croire qu’il s’agit d’un incendie criminel. Des inscriptions racistes ont été trouvées sur les lieux, appelant à voter Front national.

L’incendie s’est déclaré vers 1h30 sur le site de l’association caritative et a détruit entièrement un chapiteau de 160 m2 qui abritait des meubles et des appareils électroménagers. Trois véhicules appartenant à l’association caritative ont également été endommagés par les flammes.

Des inscriptions à caractère raciste, écrites au feutre noir, ont également été découvertes sur place. Sur une table, non loin de l’entrée du bâtiment qui abrite l’association, on peut notamment lire : « Voter Font National. Les étranger dehors de la France »

France 3

Màj, Succès de la journée de solidarité pour la mosquée incendiée d’Auch, le diocèse d’Auch fait don de 5000€

Dimanche 23 août 2015, les fidèles venant accomplir la prière d’Alfadjr découvrent avec un grand désarroi et stupeur que la mosquée est quasiment toute brûlée et sa toiture effondrée. Le feu s’est déclaré vers 3h30 du matin. Le choc est terrible et l’émotion est profonde au sein de la communauté musulmane d’Auch.

Trois semaines après l’émotion soulevée par l’incendie criminel de la mosquée d’Auch, le diocèse invite à ne pas oublier trop vite la communauté musulmane. Aussi, pour aider à la reconstruction de leur lieu de culte, le diocèse a fait un don de 5000€.

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L’association musulmane d’Auch a organisé ce dimanche une journée de solidarité pour recueillir des fonds supplémentaires pour la réfection de la mosquée incendiée mais aussi pour remercier les nombreux donateurs

En fin de journée, c’est près de 25 000 euros que devraient avoir recueilli les organisateurs ce qui amènera un total d’environ 70 000 euros pour restaurer la mosquée d’Auch détruite en partie par un incendie criminel. Une semaine après l’incendie, les dons sont arrivés de partout, de France mais aussi de l’étranger, notamment de l’Allemagne, de la Belgique, de l’Espagne mais aussi du Qatar.

Les organisateurs ont précisé que ces dons, de 3 euros à 2 000 euros, provenaient de musulmans mais aussi de nombreux non-musulmans. Les dons ont été envoyés par tous les moyens de paiement, espèces, chèques ou versement électronique. Pour l’instant, les prières ont lieu dans des locaux provisoires.

France 3

Adrien Desport, l’élu FN incendiaire, condamné à trois ans de prison ferme

Adrien desport marine le pen FN condamne voiture brule racaille insecurite pompier pyromaneAdrien Desport comparaissait aux côtés de cinq autres militants du parti d’extrême droite, qui ont été condamnés à des peines allant de 18 mois de prison ferme à six mois avec sursis – son ex-petite amie, qui avait été la première à dénoncer les agissements de la bande, a été dispensée de peine.

Après son expédition pyromane, Adrien Desport avait publié sur son blog une lettre ouverte dénonçant « la montée de l’insécurité » et pointé du doigt la municipalité communiste. Des « gamineries », s’était-il maladroitement défendu à la barre du tribunal correctionnel de Meaux, le 2 septembre. Une « manipulation politique », avait corrigé le procureur de Meaux.

L’ancien militant, qui se plaisait à se présenter comme un cadre du parti chargé de la communication dans le 77, avait admis avoir mis le feu à une seule voiture. Ne se souvenant pas « des douze autres », tout en déclarant « assumer l’ensemble ».

Outre les incendies de voitures, Adrien Desport et ses comparses âgés de 19 à 25 ans – son ex petite-amie, trois étudiants et un commercial – étaient également jugés pour avoir participé à une association de malfaiteurs, dénoncé une agression imaginaire, ou encore consommé des produits stupéfiants.

Le Monde