Elle saute du premier étage et se brise les talons pour échapper aux coups son époux Anthony

Cinq ans de prison ferme ont été infligés mercredi à un Sanaryen de 35 ans qui a violemment frappé son épouse samedi dans le huis clos familial obligeant celle-ci à se jeter par la fenêtre pour fuir.

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Quelques secondes avant son évasion du tribunal en pleine audience, Anthony F., un homme de 35 ans avait averti avec un regard vide et froid: «Je n’irai pas en prison. Vous aurez ma mort sur la conscience».

L’homme venait d’être jugé en comparution immédiate pour des violences commises sur son épouse samedi soir à leur domicile à Sanary.

Des violences telles que son épouse par crainte de mourir a sauté du premier étage, se brisant les deux talons lors de sa chute.

Mais cette nuit-là, le mis en cause ne s’en est pas arrêté là…

Il est venu chercher sa compagne choquée et gravement blessée à l’extérieur pour l’emmener à nouveau dans le logement dont il a fermé les volets. Et les coups ont continué à tomber sur la jeune femme. Il a porté ses mains autour du coup de la victime pour tenter de l’étrangler tout en lui criant qu’il allait la tuer, ainsi que sa fille âgée de neuf ans (1) avant de se suicider.

« Je l’ai douchée et je l’ai couché e», a-t-il déclaré mercredi aux magistrats. Il va finalement conduire sa femme quatre heures plus tard aux urgences en expliquant qu’elle s’était jetée sur lui, qu’il s’était défendu et qu’elle s’était défenestrée.

Une version impossible à soutenir au regard du certificat établi par un médecin. Transférée à l’hôpital Sainte-Musse où elle est toujours hospitalisée.

Une ITT de 45 jours lui a été accordée , faisant mention de ses talons fracturés et des multiples ecchymoses recensées sur le corps.

EN FURIE, IL SACCAGE LA CHAMBRE DE SA FILLE 

« On est allé en soirée et elle dansait trop près des garçons. Ça ne m’a pas plu. Je lui ai dit ce que je pensais à la maison et elle m’a sauté dessus. Je lui ai mis une gifle ». La présidente lui fait remarquer qu’il a totalement dévasté la chambre de sa fille. Les meubles ont été cassés. Les livres et les jouets éparpillés au sol. « J’étais énervé. C’est pas grave ça. Ça se rachète ».

UNE MARRE DE SANG 

C’est le père de la victime qui a donné l’alerte aux policiers, inquiets de ne pas voir cette dernière venir chercher son enfant qui avait passé la nuit chez eux. Les policiers du commissariat de Sanary ont découvert une mare de sang dans le salon, puis des traces dans l’escalier, à l’étage, dans les toilettes.

Interrogée, la jeune femme va, dans un premier temps, tenter de disculper son époux en expliquant qu’un individu s’est introduit chez elle.

Elle se ravisera ensuite pour mettre en cause le père de son enfant. «Ce qu’il a fait est monstrueux», a déclaré Me Barcelo, l’avocate de la victime. «Des faits extrêmement graves, pour Mme Liard, la représentante du parquet. Avec une absence totale de remise en cause pour un individu déjà condamné à deux reprises pour des violences sur son épouse».

CINQ ANS REQUIS 

Ont été requis cinq ans de prison (dont un an avec sursis) et le retrait de l’autorité parentale pendant cinq ans à titre complémentaire.

En défense, Me Ayral a avoué son impuissance face à de tels faits mettant en avant «certainement un trouble psychiatrique» pour un homme au casier noirci de neuf mentions.

Pendant la cavale du prévenu, la présidente a rendu son délibéré: cinq années d’emprisonnement ferme. Il a été décerné un mandat d’arrêt, avant qu’Anthony Freschi ne soit arrêté en début de soirée par les policiers toulonnais grâce à une collaboration inter-services.

Var Matin

Gravelines : Éric et Jérôme jugés pour avoir décapiter une quarantaine de pigeons

Deux hommes ont été condamnés, dont un à de la prison ferme, pour être entrés par effraction dans un pigeonnier et y avoir massacré les volatiles.

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Éric Vanez et Jérôme T. ont été condamnés pour des faits particulièrement sordides, survenus le 11 octobre 2015, à Gravelines. Cette nuit-là, la police appelée pour le cambriolage d’une maison les a découverts au milieu d’un véritable massacre… de pigeons.

Comme le rapporte la Voix du Nord, les agents de police ont interpellé les deux hommes dans le pigeonnier de la demeure, couverts de sang et entourés de plus de quarante volatiles décapités. Les deux individus ont profité du décès du propriétaire colombophile de la maison, enterré la veille, pour entrer chez lui par effraction. Mais rien n’explique leur geste sadique. Durant leur procès, Jérôme T. rejettera l’entière faute sur Éric Vanez, expliquant aux juges : « Il a arraché la tête des pigeons une à une, avec les mains. Quand il a égorgé les pigeons, le sang a éclaboussé sur moi. » L’accusé ne justifiera pas son acte, expliquant avoir agi « comme ça, pour rien. »

Éric Vanez, déjà condamné à une dizaine de reprises, a finalement écopé de trois mois de prison ferme et 800 euros d’amende. Son comparse, dont le casier judiciaire est vierge, a été sanctionné de six mois de prison avec sursis et 800 euros d’amende.

RTL

États-Unis : un homme arrêté pour avoir démembré et brûlé une étudiante

Ce sont les pompiers qui ont fait la macabre découverte après avoir éteint un incendie. Jacqueline Vandagriff, étudiante en nutrition, avait été vue pour la dernière fois quittant un bar avec un homme considéré comme le suspect.

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C’est le lendemain matin que les pompiers ont été alertés pour éteindre un incendie. L’enquête a rapidement permis de remonter jusqu’à Charles Dean Bryant, arrêté dimanche. Un jour après la découverte du corps démembré et brûlé de la victime, un étrange message a été posté sur son compte Twitter : «Je n’aurais jamais pensé me sentir un jour comme ça». La police a fait savoir qu’elle enquêtait sur ce post ainsi que sur des messages publiés sur Facebook par le suspect, indique KHOU.

Le suspect connu de la justice

Charles Bryant, âgé de 30 ans, a été mis en examen pour meurtre au premier degré. Il avait travaillé notamment dans un bar appelé le Urban Cowboy Saloon, à Fort Worth.

Paris Match

Texas : Davie décapite sa femme et met sa tête au réfrigérateur

A l’arrivée de la police, Davie Dauzat (23 ans) s’était retranché dans la maison avec ses deux enfants. Un négociateur a été envoyé auprès de lui et il a finalement accepté de sortir de son plein grès. Lors de sa reddition, le père de famille était couvert de sang. Les policiers ont fait une découverte macabre à l’intérieur.

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Après la visite de la police, il décapite sa femme et met sa tête au réfrigérateur

Ils ont trouvé le cadavre décapité de Natasha, l’épouse de Davie depuis août 2014. La tête de la victime reposait dans le réfrigérateur. Une autopsie a été ordonnée pour déterminer les causes de la mort.

En fait, c’était la seconde visite de la police au domicile du couple à Bellmead (Texas). Quelques heures plus tôt, les agents s’étaient rendus sur place pour vérifier la situation après avoir reçu un signalement

Breitbart

Benjamin demande sa libération après avoir torturé & violé une femme enceinte dans un squat

Un jeune Perpignanais de 19 ans, en prison depuis mars 2015 pour « viol en réunion sur personne vulnérable”, a  demandé sa remise en liberté avant son procès aux assises. Il dit vouloir « avoir une vie sociale comme les autres ».

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Floride: Austin Kelly Harrouff tue un couple et mange le visage d’une des victimes

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Une scène inimaginable s’est produite lundi 15 août à proximité de Palm Beach en Floride. Un étudiant américain de 19 ans a été interpellé alors qu’il était en train de se repaître du visage d’un cadavre. Le jeune homme, Austin Kelly Harrouff, qui poussait des grognements bestiaux, venait de poignarder un couple de quinquagénaires dans leur domicile. La raison qui a poussé cet étudiant à commettre une telle abjection demeure inexpliquée. Le shérif du comté de Martin, William Snyder a évoqué une agression « déconcertante et inexplicable ». Selon lui, il aurait choisi ses victimes au hasard.

Le suspect se trouvait dans un bar avec sa famille peu de temps avant, rapporte CBS. Manifestant une certaine agitation, il aurait quitté les lieux précipitamment. Inquiets pour lui, ses parents auraient alors prévenu la police, ainsi que les camarades d’université de leur fils pour essayer de le retrouver. L’appel d’un voisin finira par donner sa piste. Cet homme a lui aussi été poignardé en tentant d’arrêter le fou furieux.

Plusieurs hommes pour stopper le cannibale

L’arrestation s’est révélée particulièrement complexe. En arrivant sur les lieux, une policière a voulu taser l’homme pour l’immobiliser, mais l’arme s’est révélée inefficace. Il a finalement fallu attendre l’intervention de renforts pour le stopper définitivement.

En revanche, les résultats concernant les drogues hallucinogènes devraient prendre plus de temps. Pour le shérif, le suspect pouvait se trouver sous l’influence des « bath salts », une drogue pouvant provoquer de puissantes hallucinations.

Wade Harrouff, le père du tueur est un célèbre dentiste respectable en Floride 

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RTL

Saint-Germain-lès-Arpajon : Jérome traîne sa compagne au sous-sol et la brûle vive

Scène d’horreur à Saint-Germain-lès-Arpajon. Au sous-sol d’un pavillon blotti dans un lotissement récent, une jeune femme de 29 ans a été retrouvée, en début de matinée, immolée par le feu. Brûlée à 85 %, elle a été conduite à l’hôpital Percy à Clamart (Hauts-de-Seine). Son pronostic vital est engagé. Jérome, son concubin, désigné à plusieurs reprises par la victime comme étant l’auteur de l’agression, a été interpellé et hospitalisé, souffrant lui aussi de brûlures.

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Quelques heures après le drame, l’effroi régnait toujours dans le voisinage. « Je prenais ma douche, j’ai entendu un cri. Comme une complainte. J’ai cru qu’une voiture venait de renverser une personne ou un animal, témoigne un voisin qui a assisté aux prémices de la dispute depuis sa fenêtre. Ils étaient dans la rue, je l’ai vu la traîner depuis le trottoir jusqu’à chez eux. Elle se débattait ».

Devant à la violence de la scène, le témoin sort immédiatement de chez lui. « Mon autre voisin m’a dit qu’il avait peur qu’il la frappe. Alors j’ai ramassé un objet que la femme avait fait tomber, ça me donnait une excuse pour aller chez eux, et j’ai frappé à la porte, aux fenêtres… J’ai crié. Mais je n’ai entendu aucun bruit à l’intérieur ».

Et pour cause, le couple est au sous-sol. Alertée par la scène de violence qui s’est déroulée en pleine rue, une voisine appelle immédiatement la police. « Ils sont arrivés très vite mais c’était trop tard », reprend le premier témoin, les yeux rougis et embués de larmes.

« A l’intérieur de la maison, un homme, brûlé à la main et au tibia droit, se présente aux policiers », témoigne une source proche de l’enquête. Sourd et muet, tout comme sa compagne, il communique par gestes.

« Il voulait prévenir les secours car sa femme brûlait au sous-sol », ajoute le policier. « Il semble que le couple était sur le point de se séparer », avance le parquet d’Evry. « Ils ont au moins deux enfants en bas âge qui sont en vacances en ce moment, reprend une voisine choquée. Mais on connaît assez peu cette famille : comme les parents sont sourds et muets, ils restaient un peu à l’écart. Ils nous envoyaient parfois des textos pour nous souhaiter de bonnes fêtes ou nous demander un service ».

L’enquête a été confiée à la sûreté départementale de l’Essonne.

Le Parisien

Didier, condamné a 23 ans de prison pour avoir jeté sa compagne du 6e étage

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Le verdict est tombé ce vendredi soir concernant la défenestration de Diana Porson à Melun. Malgré ses dénégations, Didier B. 49 ans, a été reconnu coupable du meurtre de sa conjointe. Il a été condamné à 23 ans de réclusion criminelle.

L’avocat général, Daniel Atzenhoffer, avait requis 25 ans de réclusion, arguant qu’il ne pouvait s’agir ni d’un suicide ni d’une chute accidentelle. La présence de la bombe lacrymogène à ses côtés prouve qu’elle se sentait en danger “, a-t-il relevé.

L’avocate des parties civiles, Me Anne-Catherine Le Squer, a rappelé que l’accusé niait l’évidence : Même avec des éléments incontestables, comme les photos du visage tuméfié de la victime montrées à l’audience, il ne reconnaît pas les violences conjugales et encore moins le meurtre “.

La République

Jean-Pierre Mura, condamné à 20 ans de prison pour le meurtre de Christelle Maillery, 16 ans

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La cour d’assises de Côte-d’Or a confirmé vendredi soir en appel à Dijon la peine de vingt ans de réclusion à l’encontre de Jean-Pierre Mura, 48 ans, pour le meurtre en 1986 au Creusot (Saône-et-Loire) de Christelle Maillery.

Le 18 décembre 1986, le corps de la collégienne de 16 ans, tuée d’une trentaine de coups de couteau, avait été retrouvé dans une cave de sa résidence. « C’est un grand soulagement », a déclaré à la presse la mère de la victime, Marie Pichon, qui a dit « voir le bout du tunnel avec Christelle au bout ».

Au cours de l’enquête, son entourage avait témoigné de l’obsession que nourrissait ce collectionneur de couteaux pour le meurtre de la jeune fille, au point de tenir des carnets – détruits depuis – dans lesquels il compilait des éléments sur l’affaire. Jeudi, rebondissement à l’audience quand a été révélée l’existence d’un courrier envoyé par l’accusé en mars dernier au procureur général de Dijon dans lequel, au milieu de propos incohérents, il écrit : « Elle s’est fait avorter, Michel (l’ancien petit ami de la victime, ndlr), elle a tué ton bébé. J’ai bien fait de lui couper la gueule à cette putain ». Or, Christelle Maillery avait subi un avortement quelques mois avant sa mort.

Ma Commune

18% des Français déclarent qu’ils seraient prêt à exercer eux-mêmes des actes de torture

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Dans le cadre de la publication de son rapport annuel, l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat) a réalisé un sondage sur la manière dont les Français perçoivent la torture. Les résultats sont à la fois surprenants et inquiétants.

36% des Français se disent prêts à accepter le recours à des actes de torture « dans des cas exceptionnels ». C’est aussi l’avis de 32% des catholiques pratiquants. « Un résultat inquiétant, mais pas forcément étonnant », affirme Jean-Etienne de Linares, délégué général de l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (Acat), qui a commandé à l’Ifop une enquête intitulée « Le regard des Français sur la torture, connaissance et acceptabilité », sondage réalisé selon la méthode des quotas, auprès d’un échantillon représentatif de 1500 personnes.

« Fragilisés par un climat social et politique anxiogène, insécurisés par les agressions intérieures et extérieures, les Français – les jeunes en particulier – sont plus perméables qu’avant à l’idée que la torture puisse être une manière de gérer la violence et de s’en protéger. » Ils n’étaient que 25% à le penser dans une précédente enquête CSA publiée en septembre 2000 par Amnesty International.

Le recours aux mauvais traitements apparaît tout de même illégitime à une forte majorité de Français. 64% d’entre eux s’accordent sur le fait que tout acte de torture contre quiconque et quelles qu’en soient les circonstances est « toujours inacceptable » (contre 73% en 2000). Par ailleurs, confrontés à différents comportements assimilables à de la torture, les Français restent sévères. Trois quarts des personnes interrogées estiment que le fait qu’un policier gifle un individu lors d’un interrogatoire (75%) ou le fait qu’un militaire prive de nourriture un soldat ennemi pour obtenir des informations (69%) ne se justifient pas.

A contrario, 18% des Français se considèrent capables eux-mêmes d’user d’actes de torture dans des circonstances exceptionnelles, contre 82% excluant cette possibilité. « Certainement marqués par la Seconde Guerre mondiale et ses conséquences, mais aussi par la guerre d’Algérie, les séniors âgés de 65 ans et plus se sentent les moins capables d’y recourir (11%), contrairement aux sympathisants du Front national qui avec un score de 41% représentent le segment de la population le moins hostile au recours personnel à la torture. »

La Vie

 

Vincent, incarcéré après avoir égorgé sa compagne Nathalie

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Ce mardi, la chambre du conseil va décider de la poursuite ou non du mandat d’arrêt émis à charge de Vincent N., un quadragénaire accusé d’avoir égorgé sa compagne dans la région hesbignonne.

Pour rappel, vendredi, un corps sans vie a été découvert à Meeffe dans l’entité de Wasseiges, en province de Liège. Nathalie Destiné, âgée de 40 ans, a été découverte sans vie dans sa maison qui se trouve dans la rue de la Petite Rhée dans le village de Meeffe. Il est rapidement apparu que la dame avait été victime d’une mort violente.

Une autopsie a rapidement été pratiquée sur le corps de la victime. Il apparaît des premiers éléments de l’enquête que Nathalie Destiné a reçu de nombreux coups de couteau au niveau de la gorge. Des coups portés qui peuvent être qualifiés d’égorgement.

Samedi matin, le suspect a été mis sous mandat d’arrêt. L’homme a été entendu par les enquêteurs. Il est rapidement passé aux aveux d’avoir tué sa compagne, mais a expliqué les circonstances dans lesquelles les faits se sont produits. Le suspect est détenu à la prison de Lantin. Il sera défendu par Me Alexandre de Fabribeckers.

Dernière Heure

Alan décapite sa petite amie, prend un selfie à côté du corps et le publie sur Facebook

Un homme est accusé d’avoir poignardé sa petite amie à mort et d’avoir publié la photo du meurtre sur Facebook. 

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Jennifer Streit-Spears, âgée de 43 ans, a été retrouvée morte chez elle à Plano, au Texas, indique CBS News. Son petit ami, Kenneth Alan Amyx, a été arrêté et mis en examen pour meurtre. Il aurait poignardé sa compagne à mort et publié les photos sur Facebook.

 

Deux clichés particulièrement choquants sur lesquels on voit d’abord la victime, la gorge tranchée, et un selfie de l’homme posant à côté du corps.

Les photos sont restées en ligne environ 36 heures sur le réseau social. Le suspect a été arrêté dimanche après que la police a reçu un appel de la part de voisins. Lorsque les secours sont arrivés, ils ont découvert le cadavre de la quadragénaire, au sol et gisant dans son sang. L’homme, lui, était à côté et présentait une blessure qu’il semblait s’être faite lui-même.

Des « photos effrayantes »

«Les photos n’étaient pas très claires, mais extrêmement effrayantes, a commenté une amie de la victime. J’ai commencé à demander à des amis que nous avions en commun pour savoir si quelqu’un savait quelque chose. C’est difficile de penser que quelqu’un ait pu faire une telle chose et a mis les photos en ligne».

En plus d’être poursuivi pour meurtre, Kenneth Alan Amyx est également poursuivi pour abus sexuel sur un enfant et est détenu en attendant son passage devant le juge.

Paris Match

L’Italie sous le choc: une étudiante brûlée vive en pleine rue par Vincenzo son conjoint

Sara Di Pietrantonio, une étudiante de l’Université de Rome, a été brûlée vive par son ex-conjoint parce qu’elle avait mis fin à leur relation, ont annoncé les autorités italiennes, lundi.

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Selon les enquêteurs, Vincenzo Paduano a aspergé le visage de Sara Di Pietrantonio d’alcool et y a mis le feu avec un briquet

Ce fait divers fait la une des médias italiens. Sara Di Pietrantonio (22 ans) est morte avant l’aube, dimanche, après que Vincenzo Paduano (27 ans) a mis le feu à sa voiture. C’est ce qu’a révélé la procureure Maria Monteleone.

Ensuite, Vincenzo Paduano a poursuivi sa victime sur une distance de 500 mètres. Selon les enquêteurs, il a aspergé le visage de Sara Di Pietrantonio d’alcool et y a mis le feu avec un briquet.

« Jamais vu un crime aussi atroce en 25 ans »

« Je n’ai jamais vu un crime aussi atroce en 25 ans de carrière », a avoué l’enquêteur principal Luigi Silipo.

Vincenzo Paduano a été placé en détention dans le cadre d’une enquête pour meurtre prémédité, a précisé la procureure Maria Monteleone.

7sur7

Vidéo : Gilbert Collard défend l’usage de la torture

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« Si c’est de la torture gratuite, c’est complètement délirant! », assène Gilbert Collard. En revanche, dans d’autres situations, il est prêt à justifier la torture. L’avocat, également député (proche du FN), répondait ainsi à Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFM TV ce jeudi matin, en citant le candidat républicain américain Donald Trump, selon qui « Il aurait fallu torturer Salah Abdeslam pour éviter les attentats de Bruxelles ».

Jean-Jacques Bourdin insiste: « Donc on peut autoriser l’usage de la torture? » Gilbert Collard répond: « lorsqu’on a la certitude que l’individu qu’on tient sait où est posée la bombe qui va tuer des innocents, il faut qu’il nous dise où elle est! »

Ce n’est pas la première fois que le député frontiste défend l’usage de la torture: en 2014, alors qu’était publié par la CIA elle-même un rapport sur le sujet, il avait utilisé le même argument. Le rapport en question montrait pourtant, sans aucune ambiguïté, l’inutilité de la torture dans les faits…

Et la journaliste d’I-télé qui l’interrogeait alors rappelait à M. Collard que le cas qu’il décrit – tenir un poseur de bombe avant que celle-ci n’explose – ne se présente jamais dans la réalité.

Gilbert Collard avait défendu le général Paul Aussaresses, lui-même tortionnaire et défenseur de la torture, notamment pendant la guerre d’Algérie.

Gérard, mystique chretien, mis en examen pour avoir égorgé et démembré José

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Déféré devant un juge d’instruction de Bastia ce mardi matin dans le cadre de l’affaire du cadavre démembré et décapité retrouvé la semaine dernière, le suspect a été mis en examen pour « meurtre précédé accompagné ou suivi d’actes de torture et barbarie » et placé en détention provisoire à Borgo.

Les enquêteurs ont procédé à 30 relevés biologiques sur les onze scènes d’infractions. Des traces de sang ont été retrouvées au domicile, dans le coffre du véhicule et dans le réfrigérateur de Gérard Giorgetti. L’arme du crime serait un couteau.

Dans une conférence de presse donnée ce mardi après-midi au Palais de Justice de Bastia, la substitut du procureur Vanina Lepaul-Ercole a détaillé le parcours judiciaire déjà lourd de Gérard Gorgietti : son casier judiciaire fait état de 9 condamnations, dont 11 ans pour tentative de meurtre dans les Bouches-du-Rhône et 12 ans pour coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner en Haute Garonne

Concernant la victime, José Vicente Grarcia, homme célibataire de 49 ans, n’était pas connu des services de police. Arrivé en Corse en 2011, il vivait du RSA et est défini par la substitut du procureur comme étant « en siuation de semi-marginalité ».

France 3

Carrure de déménageur, épaule gauche tatouée du mot Liberty, le principal suspect de l’affaire du buste du Lancone s’affichait volontiers, avant son interpellation, sur des réseaux sociaux où il partageait clichés de grosses cylindrées, photos de femmes dénudées et signalements d’animaux disparus. Le tout, entre deux commentaires mystiques inspirés par des passages du Nouveau Testament et des vidéos d’exégète amateur des Evangiles.

Corse Matin