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«Je n’ai jamais dit vouloir sortir de la zone euro», MLP retourne sa veste sur l’euro à une semaine du second tour

Présidentielle : au FN, personne ne comprend le calendrier de sortie de l’euro https://t.co/y9xofAURlt via @franceinfo
— Bertrand EON (@CelticLeon) 2 mai 2017
Marine Le Pen assure ne jamais avoir dit « vouloir sortir de la zone euro ». https://t.co/eFAdvShjjv
— RTL France (@RTLFrance) 30 avril 2017
Pourquoi Marine Le Pen retourne sa veste sur l’euro à une semaine du second tour https://t.co/sbAnNG5rIe
— Romain Herreros (@Romain_Herreros) 30 avril 2017
MLP a promis la sortie de l’UE et l’€, 6 mois après son élection, sa nièce affirme que ça prendra plusieurs années

Marion Maréchal-Le Pen a affirmé que la négociation souhaitée par le FN sur l’Union européenne et l’euro en cas d’accession à l’Élysée de Marine Le Pen commencerait en 2018 et prendrait « plusieurs mois », voire « plusieurs années ».
Marion Maréchal-Le Pen, députée FN du Vaucluse, a affirmé samedi 29 avril à Paris que la négociation souhaitée par le FN sur l’Union européenne et l’euro en cas d’accession à l’Élysée de Marine Le Pen commencerait en 2018 et prendrait « plusieurs mois », voire « plusieurs années ».
« Marine Le Pen attendra les élections européennes en 2018 dans l’espoir de voir arriver aux affaires nos alliés, notamment en Italie. À partir de là, elle entamera des négociations pour défendre les intérêts de la France sur la suppression des travailleurs détachés par exemple, la primauté du droit français sur le droit européen, la possibilité de faire du protectionnisme et la question de la monnaie », a détaillé devant la presse la nièce de Marine Le Pen.
« À l’issue de ces négociations, elle reviendra devant les Français pour leur laisser le choix (…). De toute façon, quelle que soit la position des Français sur ce sujet, ils auront leur mot à dire et il y aura un long débat, vraisemblablement peut-être de plusieurs mois, ou peut-être plusieurs années avant que nous prenions cette décision historique », a estimé la députée, qui s’exprimait à l’issue d’une conférence de presse commune scellant l’alliance entre la présidente « en congé » du FN et Nicolas Dupont-Aignan, patron de Debout la France.
« Ça sera un long processus »
Marine Le Pen a régulièrement répété que, dès son élection, si elle remportait la présidentielle, elle entamerait une négociation avec l’UE pour « restituer au peuple français sa souveraineté monétaire, législative, territoriale, économique ». À l’issue de cette négociation à laquelle elle accordait six mois, elle prévoyait un référendum sur l’appartenance à l’UE.
Marion Maréchal-Le Pen a rejeté ce délai de six mois: « Je pense que cette position, même sur le plan des traités stricto sensu et du droit, n’apparaissait pas tout à fait réalisable. » « Ça sera un long processus, un processus mûri, ce sera un processus profondément démocratique », a-t-elle estimé. « D’ailleurs, cela ne nous empêchera pas d’agir sur d’autres domaines… que ce soit l’immigration évidemment, l’insécurité ou même en partie l’économie… », selon elle.
« La transition de la monnaie unique à la monnaie commune européenne n’est pas un préalable à toute politique économique », ont affirmé Marine Le Pen et Nicolas Dupont-Aignan, samedi, dans leur projet d’accord de gouvernement, dévoilé lors de cette conférence de presse commune.
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Ce que l’on sait du soldat allemand d’extrême droite qui avait projeté un attentat pour faire accuser les réfugiés
Un militaire âgé de 28 ans s’est fait passé pour un réfugié syrien. Il est soupçonné d’avoir préparé un attentat dans le but de mettre en cause les migrants.

Une « histoire absolument hors du commun ». C’est ainsi que la porte-parole du parquet de Francfort a qualifié, jeudi 27 avril, une affaire impliquant un soldat allemand arrêté la veille lors d’un stage de formation à Hammelburg (Bavière) et soupçonné de vouloir préparer un attentat.
Agé de 28 ans, ce lieutenant du 291e Jägerbataillon, une unité d’infanterie de la Bundeswehr faisant partie de la brigade franco-allemande et basée à Illkirch, près de Strasbourg, avait été repéré, le 3 février, alors qu’il venait de récupérer un revolver dissimulé dans les toilettes de l’aéroport de Vienne, en Autriche. A l’époque, il s’en était sorti avec une simple condamnation pour « infraction à la législation sur les armes », les autorités autrichiennes n’ayant pas jugé nécessaire de le placer en détention.
En s’intéressant à lui, les enquêteurs allemands ont toutefois découvert une tout autre réalité. Le jeune Allemand n’avait pas une mais deux identités, la seconde – totalement inventée – étant celle d’un réfugié syrien qui prétendait avoir dû fuir Damas où, racontait-il, il vendait des fruits et des légumes.











