
Après la perquisition du siège du Front national lundi, la débâcle judiciaire de Marine Le Pen se poursuit. Ce mercredi, c’est son garde du corps, Thierry Légier, et sa directrice de cabinet Catherine Grisetqui, qui ont été entendus par la police judiciaire dans l’enquête sur les assistants parlementaires du FN au Parlement européen.
Le parquet a ouvert le 15 décembre une information judiciaire pour abus de confiance, escroqueries en bande organisée, faux et usage de faux et travail dissimulé dans l’enquête sur ces soupçons de fraude relative à l’emploi par le FN d’assistants parlementaires. Marcel Ceccaldi, l’un des avocats de Marine Le Pen dénonce une « instrumentalisation politique de la justice dans cette affaire ».












