Gérard, retraité jugé à Tulle pour viol et violences

Devant la cour d’assises de la Corrèze, la victime a retracé hier lundi cette terrible nuit de 2015 où, chez elle dans une petite commune de basse Corrèze, elle a été violentée et violée par son ex-compagnon de trente ans son aîné.
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Elle vient de rentrer d’une réunion à la mairie de la petite commune suivie d’un repas chez des proches. Son ex-compagnon Gérard V., dont elle s’était séparée voilà peu et décrit comme enclin à une jalousie maladive, fait irruption chez elle après l’avoir attendue comme un lion en cage sur la place du village. Il est plus de 3 heures.
Il lui reproche de ne pas l’avoir prévenu que la réunion était achevée. Lui reproche aussi d’être allée dîner chez ces connaissances. L’homme massif, agriculteur à la retraite, se met à l’insulter. Des coups fusent dans la maison. Elle parvient à s’échapper, à appeler à l’aide depuis sa chambre où elle s’est enfermée. Mais son agresseur défonce la porte et la rattrape.

Luxembourg : un prêtre jugé pour le viol d’un mineur en France

Ce mardi démarre le procès d’Emile A., ancien curé de la paroisse Belair. L’homme est accusé d’avoir violé un mineur. 

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Il est poursuivi pour le viol d’un mineur en 2008 en France.

Le religieux aurait abusé sexuellement de l’adolescent alors âgé de 15 ans, entre novembre 2008 et avril 2009. Emile A. s’était lui-même dénoncé en 2014 et avait alors avoué ses actions aux enquêteurs du Service de police judiciaire. Temporairement en détention provisoire, il avait été suspendu de ses fonctions pastorales par Jean-Claude Hollerich, l’Archevêque de Luxembourg.

Prescription des faits de la contrainte sexuelle

A l’origine, l’homme d’Eglise était mis en accusation pour contrainte sexuelle et viol, selon l’article 375 du Code pénal. Des faits avérés aux yeux de la loi à partir du moment où «tout acte de pénétration sexuelle a eu lieu». A quoi s’ajoute la circonstance aggravante selon laquelle Emile A. était le tuteur de la victime.

Vu qu’il y a prescription pénale, la chambre du conseil de la Cour d’appel a décidé, en amont du procès, de ne pas dresser d’acte d’accusation. Les faits s’étaient déroulés en novembre 2008 en France et en octobre 2009 en Italie.

Le procès au tribunal d’arrondissement de Luxembourg a débuté ce mardi et doit durer quatre jours. C’est Me Gaston Vogel qui assure la défense du prêtre.

Wort Lu

Il viole une fillette, et se fait décapiter par Michael et Nathan en prison

Mitchell Harrison, 23 ans de Wolverhampton, était incarcéré à vie pour un viol d’enfants à Cumbria, lorsqu’il a été tué en octobre 2011. Michael Parr et Nathan Mann, 32 et 23 ans respectivement, lui ont tranché le cou avec un scalpel fait avec un ustensile de plastique et une lame de rasoir.

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La Cour de Newcastle Crown a entendu dire qu’ils ont commencé à éviscérer leur victime et pensaient manger son foie.

Parr devait faire au moins 32 ans en prison pour meurtre, en plus d’une peine à perpétuité pour tentative de meurtre sur un patient dans un hôpital.

Mann, quant à lui, a plaidé coupable pour homicide involontaire et est emprisonné à vie, avec possibilité de libération après 16 ans suite aux 24 ans qu’il subissait déjà. Harrison avait été incarcéré en janvier 2010 après avoir admis qu’il avait violé une jeune fille de 13 ans.

Ses codétenus l’ont tué dans sa cellule, pourtant sous haute surveillance.

Parr exprimait des fantasmes à propos de décapiter des prisonniers et les éventrer. Mann, quant à lui, est décrit comme un psychopathe selon un psychiatre, avec des envies cannibales, et est l’un des hommes les plus dangereux du système carcéral.

L’inspecteur en chef Steve Chapman de la police de Durham disait que « Mitchell Harrisson était un jeune homme et prisonnier modèle au HMP Frankland. Même si sa famille ne cautionnait pas ses actes, il demeurait leur fils chéri, et le supportaient pendant son incarcération. Sa mort a laissé sa famille dévastée. »

Sud Info

George Tron : une ex-collaboratrice de l’ancien secrétaire d’État, qui l’a accusé de viol serait menacée de mort

Selon « Le Parisien », une des deux ex-collaboratrices de l’ancien secrétaire d’État, qui l’a accusé de viol et d’agression sexuelle, aurait reçu à son domicile plusieurs courriers très menaçants.

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Alors que Georges Tron, actuel maire de Draveil (Essonne), est appelé à comparaître devant les assises pour viol et agression sexuelle, une de ses deux ex-collaboratrices, qui a porté plainte contre lui, aurait reçu chez elle des menaces de mort au début du mois d’octobre, selon les informations du Parisien.

« Le procès va arriver alors si tu veux pas avoir des problèmes, tu arrêtes de faire des problèmes et c’est mieux pour toi », aurait menacé l’auteur d’un premier courrier manuscrit. Dans une autre lettre, la menace se précise : « On sait où tu habites et on peut te fumer et tes enfants aussi ». Des menaces qui auraient été illustrée par un dessin de cercueil.
L’avocat de la plaignante a indiqué que sa cliente était « terrée chez elle », terrorisée par ces courriers mortifères. « Ma cliente s’est installée loin de Draveil et a repris son nom de jeune fille. Quelqu’un a malgré tout eu accès à son hall d’immeuble protégé par un code. C’est ce qui l’inquiète le plus », a précisé son avocat. Malgré cela, cette femme a de nouveau porté plainte contre le maire de Draveil : « La première a été classée devant l’absence de possibilité d’identifier l’auteur. J’espère que l’enquête va cette fois aboutir », a-t-il ajouté.

Le procès de Georges Tron devrait avoir lieu avant septembre 2017, soit après les législatives pour lesquelles il a été investi par le parti Les Républicains.

 RTL

Romain Fournier condamné à 4 ans de prison pour viol et agressions sexuelles

Après un long délibéré vendredi, Romain Fournier a été condamné à quatre ans de prison pour le viol de l’une des quatre jeunes femmes qui avaient porté plainte contre lui.

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À l’issue d’un procès de trois jours et d’un délibéré de plusieurs heures, Romain Fournier a été condamné, dans la nuit de vendredi à samedi, par la cour d’assises des Ardennes. Cet homme de 24 ans était accusé de viols sur quatre femmes et d’agressions sexuelles avec violence sur deux d’entre elles, dans le sud du département, entre 2011 et 2013.

Il a été reconnu coupable de viol sur l’une des quatre jeunes femmes (elles étaient toutes mineures au moment des faits) et atteinte sexuelle sur une autre.

Il a été condamné à la peine de quatre ans d’emprisonnement avec suivi socio-judiciaire pendant quatre ans et une peine supplémentaire de trois ans en cas de non-respect de son suivi qui comporte une injonction de soins, une interdiction d’entrer en contact avec les victimes et l’obligation d’indemniser le préjudice de ces dernières.

Il a, en revanche, été acquitté des accusations de viols sur les trois autres jeunes femmes.

L’Union

Genève : de sa prison, le violeur commande le couteau pour égorger sa future victime

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Pantalon baissé sur les chevilles, l’homme de 39 ans presse le bouton « pause » pour se repasser la séquence. Et tandis que la jeune femme n’en finit plus d’expirer, il se masturbe frénétiquement, en caressant de l’autre main son couteau de chasse à cran d’arrêt. Insoutenable ? Le pire, peut-être, c’est que Fabrice Anthamatten ne se trouve pas dans le secret de son appartement. La scène se déroule à la prison de Champ-Dollon, en Suisse, où il est incarcéré. Voilà d’ailleurs qu’on frappe à la porte de sa cellule. C’est le surveillant, qui fait sa tournée.

M. Alex Baur rapporte : « Le corps d’Adeline M. a été retrouvé la gorge tranchée. Le détenu Fabrice Anthamatten a assassiné la sociothérapeute Adeline M. pour ensuite prendre la fuite. La victime, Adeline M. était une sociothérapeute expérimentée qui avait déjà fait plus de 200 sorties accompagnées avec des condamnés. Reste qu’elle n’était pas criminologue et qu’elle n’avait que peu connaissance du dossier.

Le Nouveau Détective

Royaume-Uni : la police enquête sur un viol commis lors d’une soirée au Parlement

La police britannique enquête sur une accusation de viol au Parlement britannique portée contre Sam Armstrong, un collaborateur de Craig Mackinlay, parlementaire du Parti conservateur, a déclaré mardi un porte-parole de cet élu. La police de Londres avait indiqué lundi en fin de soirée qu’elle enquêtait sur un possible viol qui aurait eu lieu le 14 octobre dans les locaux du Parlement.

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«Un homme âgé de 23 ans a été arrêté le même jour pour une suspicion de viol», a déclaré la police. L’homme a été mis en liberté provisoire en attendant les résultats de l’enquête, a-t-elle précisé. Les enquêteurs n’ont pas révélé l’identité du suspect ni celle de la victime potentielle.

Au Royaume-Uni, difficile de garder secret ce genre d’affaires et différents médias, tel le Daily Mail, ont indiqué que le suspect était Sam Armstrong, un collaborateur du parlementaire Craig Mackinlay, membre du Parti conservateur.

Le viol présumé aurait eu lieu lors d’une soirée au Parlement

Selon les médias britanniques, le viol présumé aurait eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi dernier lors d’une soirée sur une terrasse de la Chambre des Lords entre membres du parti conservateurs et plusieurs invités, dont des femmes.

Une soirée où Sam Armstrong aurait bu plus que de raison au bar du Parlement selon le Daly Mail. Il aurait un peu plus tard dans la soirée agressé sexuellement une femme dans un bureau de travail de Craig Mackinlay à quelques pas de la Chambre des communes. La pièce a été mise sous scellés par les policiers précise le journal The Sun.

Craig Mackinlay a été informé d’une «allégation contre un membre de son équipe» vendredi matin, a déclaré un porte-parole du parlementaire. «A la suite d’une demande de la police et des services parlementaires, il a assuré aux enquêteurs un accès complet à son bureau à Westminster», siège du Parlement, et «il attend de recevoir des informations supplémentaires de la part de la police», selon son porte-parole.

Le Parti conservateur, pour sa part, estime qu’«il serait inapproprié de commenter une enquête policière en cours», a déclaré une porte-parole du parti. Et le Parlement n’a pas voulu non plus en dire davantage : «le Parlement coopère étroitement avec la police dans le cadre de l’enquête».

Le Parisien

Michelle a assisté au viol et au meurtre de sa fillette de 10 ans, car «elle aimait ça»

L’horreur sans nom: une fillette de 10 ans suppliait sa mère de l’aider pendant qu’elle se faisait violer par son compagnon et son cousin sous les yeux de la maman 

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Le DailyMail rapporte un sordide fait divers ayant eu lieu dans le Nouveau-Mexique, aux États-Unis. Michelle Martens a assisté au viol et au meurtre de sa fillette de 10 ans, Victoria. La petite fille a été abusée sexuellement et tuée par deux hommes, le compagnon et le cousin de sa mère. Après les faits, la mère a admis avoir eu des rapports sexuels avec son compagnon, Fabian Gonzales, 31 ans, 20 minutes après le meurtre de sa fille.

La vérité sur les terribles conditions infligées à la petite Victoria a émergé grâce aux très nombreuses contradictions dans la version des faits rapportée par la maman, Michelle Martens.

Le 23 août dernier, la petite Victoria a été droguée, violée et battue à mort par le compagnon, Fabian Gonzales, 31 ans, et le cousin de sa maman. Le corps démembré de la petite fille, tuée le lendemain de son 10 ème  anniversaire, a été retrouvé dans l’appartement de la maman.

Après avoir été auditionnée à trois reprises, la maman de Victoria, qui avait nié toute implication dans le meurtre de sa fille, a admis avoir assisté à son viol et à son meurtre. Comble de l’horreur, Michelle Martens a non seulement assisté à cette scène d’horreur mais a avoué à la police avoir eu des rapports sexuels avec son compagnon, 20 minutes après le meurtre de sa fille.

Michelle a avoué aux policiers qu’elle avait assisté au viol de sa fille, car elle aimait ça. Elle avait permis à deux hommes d’avoir des relations sexuelles avec sa fille, 6 mois avant le meurtre. Elle utilisait des sites de dating pour rencontrer des hommes prêts à avoir des relations sexuelles avec sa fille Victoria.

Martens doit faire face à des accusations d’enlèvement et de la maltraitance d’enfants ayant entraîné la mort. Son compagnon Fabian Gonzales et le cousin font face aux mêmes accusations et seront jugés pour le viol de Victoria.

Leurs procès devraient avoir lieu l’année prochaine. Michelle Martens est mère d’un petit garçon. L’enfant a été confié à des services compétents.