Maxime et ses amis braquent un tabac avec un sabre

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En décembre 2011, quatre individus attaquaient le tabac presse de Villemolaque. Ce mardi, ils comparaissaient devant leurs juges à Perpignan. 

Le 19 décembre 2011, vers 16 heures, trois individus au visage dissimulé font irruption dans le tabac presse de Villemolaque. L’un d’eux brandit un sabre et crie : « La caisse, la caisse ! » Son comparse joint le geste à la parole et s’empare de l’objet de sa convoitise pendant que le troisième larron fait le guet.

L’opération ne prend pas plus de cinq minutes. Le trio s’engouffre dans une voiture conduite par un quatrième homme. Le butin est ridicule : 100 euros ! Bien entendu, la scène n’est pas passée inaperçue et des témoins ont relevé non seulement le signalement des braqueurs mais aussi la plaque minéralogique du véhicule, une Fiat.

Le propriétaire est rapidement identifié. Il a en fait prêté sa voiture à un ami. Ce dernier est placé en garde à vue et il donne une foule d’informations aux enquêteurs. Il a lui même confié le véhicule à un certain Maxime. Il donne également d’autres noms, des gens qui auraient pu participer au mauvais coup. Trois jeunes adultes et un mineur sont alors interpellés.

Le mineur et le « porteur » de sabre » reconnaissent très vite leur participation au braquage, mais les deux autres personnes nient tout en bloc. Tous sont néanmoins mis en examen. Mardi, les trois adultes comparaissaient devant le tribunal correctionnel de Perpignan. Le mineur devant être jugé devant le tribunal pour enfants durant le mois de décembre.

Concernant Maxime, à qui on aurait confié la Fiat qui a servi à la fuite des braqueurs, il refuse de dire quoi que ce soit. Il nie. C’est tout.

Le parquet ne l’entend pas de cette oreille, il requiert contre lui, en récidive légale, 2 ans de prison et 18 mois contre ses coprévenus. Le tribunal le condamne en effet à deux années de prison, peine qu’il purgera à l’issue de celles pour lesquelles il est déjà en détention.

Quant aux deux autres jeunes gens, ils écopent d’une année de prison, mais le mandat de dépôt n’est pas prononcé. Les peines seront donc aménageables.

l’independant

Déjà condamné pour trois meurtres, Lionel arrêté pour deux braquages

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Lionel Cardon, doublement condamné à perpétuité en 1986 pour trois meurtres, a été arrêté par les gendarmes près de Nice, selon La Dépêche du Midi. Il est soupçonné d’avoir commis deux braquages près de Toulouse cet été.

Lionel Cardon, 57 ans, taulard chevronné, aurait repris du service en 2015. Doublement condamné à perpétuité en 1986 pour le meutre d’un policier et d’un couple de médecins près de Bordeaux, il est à présent soupçonné d’être impliqué dans le braquage à main armée d’un bijoutier à Muret en août 2015 et d’une postière, trois semaines plus tard, à Seysses (Haute-Garonne).

50.000 € en or et espèces

Dans les deux attaques, le mode opératoire est le même. La victime est agressée à son domicile par un homme armé et cagoulé et contrainte de conduire son agresseur dans son commerce. Une fois à l’intérieur; l’homme exige de se faire remettre le contenu du coffre. 

Le montant total du préjudice dans ces deux braquages est estimé à plus de 50.000 euros, en or et en espèces.

L’arme des braquages retrouvée au domicile du suspect

Lionel Cardon est interpellé près de Nice le 22 octobre dernier par le GIGN. Un revolver 357 Magnum, l’arme qui aurait servi aux deux braquages, a été retrouvée à son domicile. 

Il a été mis en examen et écroué.

Après 33 ans passés en prison, Lionel Cardon bénéficiait d’une libération conditionnelle depuis fin 2013. Mais il avait disparu depuis quelques mois.

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Richard, multirécidiviste , de nouveau interpelé pour braquage

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Les traits se sont épaissis, les cheveux plus que grisonnants. L’homme menotté, retenu au milieu de la rue Pillet, jeudi matin à Bergerac, quittait le palais de justice de Pau, dûment escorté, déjà, en avril 2008. Mis en examen avec un complice pour la tentative de braquage d’une petite bijouterie bergeracoise, Richard Pujol, 46 ans, n’est pas inconnu au bataillon.

L’intéressé avait été condamné par les assises de Hautes-Pyrénées à treize ans de réclusion criminelle pour une série de hold-up commis dans trois banques des Pyrénées-Atlantiques et du Gers. Il était en liberté conditionnelle depuis 2013 (1).

L’heure du braquage de la bijouterie L’Or et l’Argent, au beau milieu de la matinée, à proximité d’une boulangerie fatalement fréquentée, la fuite au milieu des passants, le coup de feu tiré en l’air et la course-poursuite jusqu’à l’embardée de la BMW dans une rue résidentielle, plaidaient en faveur d’un apparent degré d’impréparation.

Richard Pujol n’en compte pas moins plusieurs braquages à son passif, huit si l’on se tient à ses deux condamnations aux assises des Hautes-Pyrénées.

Sud Ouest

Un couple croate jugé pour 39 cambriolages

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Un couple de Croates sera jugé lundi. Interpellé mercredi matin dans le Lézignanais, ce couple de ressortissants croates sera jugé lundi en comparution immédiate au tribunal de Narbonne. Ils vont devoir répondre de 39 cambriolages commis dans le centre-ville de Narbonne, Béziers, Carcassonne, Castelnaudary ainsi qu’en Haute-Garonne.

Durant sa garde à vue, l’homme mis en cause a reconnu être l’auteur des cambriolages, il aurait agi seul pour 20 d’entre eux. Les 19 autres auraient été commis par le couple. Cependant, son épouse ne reconnaît pas sa participation et son mari la met hors de cause. Ce sera au tribunal d’apprécier la responsabilité ou non de cette dernière dans cette série de cambriolages perpétrés depuis mi-septembre.

L’independant

Stéphane, jugé pour le braquage d’un bureau de poste

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La condamnation de Stéphane L. n’est pas passée comme une lettre à la poste, mercredi 4 novembre au tribunal correctionnel d’Amiens. L’homme répondait du braquage du bureau des PTT d’Esmery-Hallon, le 22 mai.

La guichetière s’était retrouvée vers 17 heures face à un individu, ni encagoulé, ni ganté, mais armé d’une arme de poing (certainement un fusil à pompe). Il s’était fait remettre le contenu de la caisse avant de se faire ouvrir le coffre, dérobant 840 euros. Au passage, il avait pris le portable de l’employée afin de retarder son appel au secours.

Les gendarmes recueillaient rapidement le témoignage de la patronne du bar-tabac, qui se souvenait avoir servi un verre d’eau à un homme qui ne possédait pas assez d’argent pour se payer un paquet de cigarette. Comme le verre n’était pas encore lavé, il partait aussitôt au laboratoire, qui reconnaissait l’ADN de Stéphane, un habitant de Venette (Oise), déjà condamné dans des affaires de stupéfiants.

L’affaire sera jugée le 18 novembre. Dans l’attente, Stéphane reste en prison.

Courrier Picard

Tony arrache son bracelet électronique pour retourner en prison

imageLe parquet le concède. Chez Tony, « il n’y a pas eu la volonté de se soustraire à la justice ». Pourtant, le Havrais de 24 ans est bel et bien poursuivi pour une évasion commise le 30 octobre dernier. Jugé par le tribunal correctionnel du Havre lundi, le prévenu promet qu’il avait une autre motivation que celle de fuir : « C’était un appel à l’aide. Je voulais retourner en prison ».

En mars dernier, Tony est condamné pour l’imposant cambriolage d’un entrepôt.

Paris Normandie

Marc condamné pour deux tentatives de braquage

42249210_b97588959z-1_20130612145338_000_gsgsssc7-1-0Un homme de 19 ans a été condamné hier par la cour d’assises des mineurs de Haute-Garonne à 4 ans de prison dont 22 mois avec sursis et mise à l’épreuve durant 3 ans pour deux tentatives de braquage le 29 août 2013, à Toulouse.

Âgé de 17 ans au moment des faits, Marc a quitté la cour d’assises libre puisque sa condamnation a couvert la période passée en détention. Le 29 août 2013, ce garçon avait d’abord tenté de braquer un buraliste, avenue Albert-Bedouce en exhibant une arme de poing qui s’est avérée être un pistolet avec des balles à blanc.

Il est mis en fuite par le commerçant et deux heures plus tard, il s’attaque à une supérette de l’avenue Jules-Julien où il est maîtrisé par des employés.

Deux échecs retentissants. En rupture familiale et en quête d’argent facile, il avait trouvé deux cibles potentielles, «aidé» et «pris en charge», selon lui, par des hommes plus aguerris qui lui auraient fourni la logistique. Son avocat, Me Raynaud de Lage lui a évité un retour à Seysses mettant en avant un projet de formation à venir pour tourner le dos à la délinquance.

La Dépêche

Jason, recherché pour une série d’home jackings, interpellé en Espagne

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Jason Bodart, un jeune de 19 ans originaire de Charleroi, a été arrêté mardi par les autorités espagnoles alors qu’il débarquait d’un ferry dans le port de Tarifa (Sud), non loin de Cadix.

Le jeune homme faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international parce qu’il avait fait partie, dès l’âge de 17 ans, d’une bande de home-jackers particulièrement violente qui avait sévi en Wallonie et au grand-duché de Luxembourg.

« Le suspect venait de Tanger et s’est comporté de manière très nerveuse pendant le contrôle, de même qu’un peu plus tard, en apercevant des agents », explique la police espagnole.

« C’est pourquoi il a été mis à l’écart de la file et passé au crible via différentes bases de données. Le contrôle d’identité a établi qu’il était recherché en Belgique et au Luxembourg pour de très sérieux délits violents, attaque à main armée et séquestration. »

En compagnie de son amie Laetitia Bellens et du truand Alex Jovanovic, Bodart avait fait partie d’une bande qui avait sévi de fin 2013 à début 2014 en commettant des home-jackings très violents.

Ils menaçaient leurs victimes avec des armes à feu jusqu’à ce qu’elles remettent tous leurs objets de valeur. « Ils attachaient leurs victimes et n’hésitaient pas à les garder en otage si nécessaire », explique-t-on de source policière.

Le trio avait disparu fin 2014 mais, en mars de cette année, Bellens fut arrêtée la première. Deux mois plus tard, c’était au tour de Jovanovic et à présent, avec l’arrestation de Bodart, c’est toute la bande qui se retrouve derrière les verrous.

DH Net

Endetté, Michaël braque le bar de ses parents et blesse sa mère

braquage_14Mais vous vous en rendiez bien compte, tout de même, que ce n’était pas n’importe qui, que vous alliez braquer ? », interroge la juge Stellina Boresi. Ce 31 août 2015, à Istres, Michaël Marquier entre dans le bar PMU, encagoulé, et se dirige vers la caisse, un couteau à la main. La gérante s’interpose et sera blessée de deux estafilades aux mains. À la barre du tribunal correctionnel, elle justifiera d’ailleurs : « C’est mon bar, madame, alors j’ai voulu attraper le couteau ».

Dans le box, le prévenu baisse la tête. Il confirme que la gérante a tenté de saisir le couteau, pour le maîtriser. « Cela ne vous a pas arrêté ? », demande le tribunal. « Non… »Quand il sort du bar, et qu’il réalise qu’un témoin vient de prendre en photo sa plaque d’immatriculation, le braqueur s’approche de la voiture dans laquelle a grimpé le témoin, saute sur le capot et le menace avec son couteau« Cet homme s’est vu mourir, vous avez cogné à sa vitre ! », dira plus tard le procureur.

Pourquoi pas un cambriolage sans blesser personne, car il avait les clés du commerce, suggère le parquet ? « Le cambriolage, cela aurait paru louche. Mon père se serait douté que c’était moi… » Son père, qui lui avait d’ailleurs proposé de gérer un autre PMU, à Fos-sur-Mer. « Ce qui n’a aidé en rien à lutter contre votre addiction… » Avant ces faits, le prévenu et sa mère confirment que celui-ci ne s’était jamais montré violent envers sa maman, ni sa famille.

« Il ne faut pas banaliser ce qui s’est passé », commence Olivier Sabin, pour l’accusation. « Vous avez sorti le couteau alors que vous saviez que c’était votre mère, qui était là », rappelant « toutes les fois où vos parents étaient intervenus pour régler vos dettes ! » 

Concernant ce jeune homme qui n’avait jamais connu les geôles de la République, le procureur rappelle que « la détention ne sera pas positive ». Son casier judiciaire, avant ces faits, était vierge. Il requiert alors deux ans de prison dont 18 mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant 3 ans, comportant une obligation de soins pour en finir avec son addiction aux jeux.

Le tribunal va le reconnaître coupable de violences volontaires avec ITT de 8 jours et de vol avec violences, et le condamner à la peine de 3 ans avec sursis et mise à l’épreuve : durant deux ans, il devra suivre des soins et travailler. La justice lui interdit aussi de fréquenter tout lieu de jeux. À l’issue du procès, il n’a pas été maintenu en détention.

La Provence

Aurélien et Dany, condmanés pour une serie de braquages

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Douze ans contre Aurélien Arbona et six contre Dany Vilain : si l’avocate générale a opéré dans son réquisitoire une distinction du simple au double entre les deux jeunes hommes, c’est que le premier répond de toute la série de braquages dont avait été victime l’Amiénois en mai et juin 2013 (cinq commerces, des voitures et des scooters), quand le second n’est accusé que de deux. C’est aussi qu’Arbona compte, à 20 ans, trente mentions au casier judiciaire quand Vilain n’en a qu’une.

Les aveux, sans les mépriser, elle les ramène à leur juste valeur : « Ils n’avouent que ce qui est dans le dossier. En revanche, ils refusent de donner le nom d’un troisième complice. Pour eux, c’est juste une question de réputation. Juste histoire de dire : « Je ne suis pas une balance ». Ils sont du côté du quartier, pas du côté de la justice, ce qui me fait dire que ce ne sont pas encore des honnêtes hommes. Car le risque de représailles, je n’y crois pas… »

De quoi raviver les souvenirs de Ghislain Fay, qui fut dans une autre vie policier : « J’ai quand même retrouvé un jeune sportif mort étouffé dans une cave parce qu’il avait parlé, et un gardien d’immeuble empalé avec un manche à balai après avoir collaboré avec la justice… »

Ça jette un froid, comme ces écoutes téléphoniques qui révèlent que depuis sa prison, Arbona organisait les pressions sur les témoins et mettait même à l’amende les bavards, afin de financer sa détention. Il faut dire que le jeune homme, qui n’a jamais travaillé, ressent des besoins : les mille euros dérobés à la boulangerie de Poulainvile, il avait estimé que ce n’était « pas grand-chose ».

Courrier Picard

Fabrice et William condamnés pour braquage et tentative de meurtre

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La peine de prison de Fabrice Hornec, jugé en appel par la cour d’assises du Pas-de-Calais pour avoir braqué une voiture et volé une trentaine de kilos d’or sur l’autoroute A1 en 2011, a été alourdie mercredi, passant de 17 à 19 ans, a-t-on appris jeudi auprès du greffe.

Fabrice Hornec, 41 ans – cousin des frères Jean-Claude, Marc et Mario Hornec, considérés comme des figures du grand banditisme de la région parisienne -, avait réaffirmé son innocence lors de ce procès, tout comme l’autre accusé ayant fait appel, William Noël.

Avec deux complices qui n’ont pas fait appel, ils avaient été condamnés par la cour d’assises du Nord le 27 novembre pour avoir braqué deux convoyeurs belges qui ramenaient de Paris une mallette d’or et avoir tenté de les tuer avec leurs armes à feu. Le butin, d’une valeur de 800.000 euros, n’a jamais été retrouvé.

France 3

Noël condamné a perpétuité pour 4 assassinats déjà libéré

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Noël Mariotti a été reconnu coupable de quatre meurtres. Trois perpétrés en 1993 dans une boîte de nuit d’Aix-en-Provence et celui d’un bijoutier, en 2006, dans le quartier de Noailles à Marseille.

C’est en effet au terme d‘une avalanche de bonnes grâces judiciaires que Noël Mariotti a miraculeusement recouvré sa liberté. Pourtant, en mai 2007, Mariotti écope de 5 ans de prison pour association de malfaiteurs ; cinq mois plus tard, la cour d’assises d’appel du Var casse l’acquittement dont il avait bénéficié concernant un triple assassinat en 1993 dans la discothèque aixoise le « Rétro 25 » et le condamne à la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 18 ans de sûreté. En 2010, le sort judiciaire s’acharne et 22 ans de réclusion, dont 11 de sûreté, viennent s’ajouter à son casier, pour l’affaire du bijoutier.

La peine de prison a perpétuité n’existe pas en France. Trente ans de réclusion c’est la peine maximale. Et après en avoir effectué la moitié, un détenu peut demander une libération conditionnelle. C’est ce que vient de faire Noël Mariotti, ancien proche de Francis Le Belge, après 16 ans passés derrière les barreaux.

C’est forcément un choc pour la famille de la victime, assassinée lors d’un braquage dans sa bijouterie en 2006, rue de la Palud à Marseille. Même chose pour ses amis commerçants.

France Bleu

Sylvie avait organisé le braquage de son bar-tabac pour éviter la faillite

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Une buraliste de Tours (Indre-et-Loire) a été condamnée jeudi soir par le tribunal correctionnel à 2 ans de prison avec sursis pour avoir organisé le braquage de son bar-tabac PMU en septembre 2014 afin d’éviter la faillite.

 La mise en scène avait bien fonctionné dans un premier temps et l’assurance La Maison des Buralistes (MUDETAF) avait été bel et bien escroquée. La compagnie a obtenu du tribunal plus de 38.000 euros de dommages et intérêts en remboursement des primes versées.

Les deux complices de la buraliste ont eux aussi été condamnés : 15 mois ferme pour l’auteur du faux braquage, et 18 mois avec sursis pour un homme de main.

Appelée sur les lieux, la police avait retrouvé la buraliste ligotée et en pleurs. Mais les enquêteurs ont vite découvert le pot aux roses en recherchant l’auteur du faux braquage, une connaissance du compagnon de la prétendue victime. Il devait recevoir la moitié du prétendu butin, soit 19.000 euros, mais n’en a jamais vu la couleur.

Pour justifier cette arnaque à l’assurance, Me Jean-Raphaël Mongis, l’avocat de la prévenue, Sylvie Quentin, 53 ans, a expliqué que sa cliente était acculée à la faillite par les charges et les faibles rentrées d’argent de son bar.

Le Parisien

Benoît condamné après une série de braquage

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Mercredi, deux passants se lancent à la poursuite d’un homme qui vient de voler une voiture sous la menace d’une arme dans le centre-ville. Sans le savoir, ils mettent un terme à la série de braquages amorcée par Benoît Stassart : quatre entre le 2 et le 9 septembre.

L’arme est une carabine à la crosse sciée avec laquelle, avant de menacer une jeune automobiliste dans le centre de Croix, il a braqué carrefour Express, rue Louis-Lejeune à Wasquehal le 2 septembre à 8h50 ; Intermarché rue de la Mackellerie à Roubaix le 6 à 11h30, et, une heure plus tard, un café-tabac, rue de Lille à Mouvaux. A trois reprises, il est reparti bredouille sauf à Wasquehal où il a empoché 3500euros.

Benoît Stassart avait un casier judiciaire vierge jusqu’au 27 mars dernier : il a été incarcéré six mois pour avoir volé une vieille dame. Après l’avoir fait tomber, il avait pris sa carte bancaire devant un distributeur. Le procureur ajoutera: « Et maintenant des braquages… On atteint l’échelle la plus haute de la délinquance. »

Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet. Benoît Stassart a été condamné à trois ans de prison avec mandat de dépôt auxquels s’ajoutent six mois de sursis révoqué.

Nord Eclair

Le Francais Jeffrey James Shulman, braqueur le plus recherché du Canada arrété

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Très recherché au Canada, il y est accusé d’avoir commis 23 hold-up depuis cinq ans. Il est même qualifié par les autorités canadiennes de «braqueur le plus recherché» du pays. L’homme a été arrêté par des policiers de la brigade de répression du banditisme de sa voiture dans une rue de Genève.

Le voleur avait sévi pour la première fois dans la région de York, au nord de Toronto, en février 2010. Il avait ensuite ciblé des établissements de Mississauga, Hamilton, Vaughan, Toronto et Ottawa, ainsi que quelques-uns de Calgary.

Une association de banquiers canadienne offrait 100 000 dollars de récompense pour toute information permettant de mener à sa capture.

Le Parisien