Archives de Tag: Vols
En garde à vue pour vol et escroquerie en récidive, Émilien réussit à s’évader
Prison ferme pour Joël qui volait et menaçait des élèves devant le lycée des Flandres
2 mois après sa sortie de prison, Kevin commet une vingtaine de vols
Un des deux hommes interpellés à Saint-Julien-les-Villas dans la nuit de dimanche à lundi, suite au cambriolage de la boulangerie La Gerbe d’Or, boulevard de Dijon, était jugé cet après-midi en comparution immédiate.
Placé en garde à vue pour vol avec effraction, Kevin Cantin, 24 ans, a été entendu sur de nombreux faits récents commis dans l’agglomération troyenne. En tout, et après rapprochement des modes opératoires (séries dans la même rue, vol de fond de caisse « uniquement », etc.) et audition du suspect (sorti de prison en août dernier), il s’avère que pas moins de 35 délits au total lui sont reprochés.
Jugé en comparution immédiate cet après-midi au tribunal correctionnel de Troyes, il a écopé de deux ans et demi de prison ferme pour 17 vols ou tentatives commis dans des commerces du centre-ville de Troyes, dans la nuit du mercredi 9 au jeudi 10 novembre. Il a également été condamné pour deux vols à La Gerbe d’Or et à la station Total dans la nuit de dimanche à lundi dernier, boulevard de Dijon à Saint-Julien-les-Villas.
Les autres faits seront jugés lors d’une audience ultérieure.
Les commerces visés : Le Café du midi, L’Afro trois, La Clé de voûtes, Hippopotamus, la boulangerie Petit, Un Brin de design, Le Bardo, Chatman Tatoo, L’Escale, La Blanche Hermie, L’Occitane, Au Point du jour, La Rive gauche, la boutique Multicoach, le traiteur Blanchard, L’Escale des saveurs, le Dolce Italia (tous à Troyes) ainsi que La Gerbe d’Or et la station Total à Saint-Julien-les-Villas.
A peine sorti de prison des Baumettes, Paolo commet un vol et agresse la police
Sorti de la prison des Baumettes samedi, il a été interpellé dès dimanche soir à Nice, sur la coulée verte, rattrapé par ses travers passés et la clameur publique.
IL S’ÉCHAPPE UNE PREMIÈRE FOIS
Ce dimanche donc, une commerçante du Vieux-Nice, rue du Marché, est en train de refermer son magasin de vêtements quand un individu surgit pour lui chiper son sac à main.
La victime crie au voleur et se lance à sa poursuite. Elle doit bientôt stopper sa course mais ses cris, eux, ont alerté les passants. Des témoins se jettent alors sur le suspect et le plaquent sans ménagement à terre, boulevard Jean-Jaurès.
L’échange est viril, et le jeune voleur parvient à échapper à ces courageux témoins.
OUTRAGE, RÉBELLION, MENACES…
Sa course ne le mènera pas beaucoup plus loin. Un équipage de la brigade de surveillante du territoire (BST) le stoppe sur la coulée verte. Là encore, l’épisode est houleux.
Outrages, rébellion, et bientôt menaces de mort contre des policiers: Paolo Da Cruz aggrave son cas lors de son transfert à la caserne Auvare, où l’enquête est conduite par le service du Quart.
RETOUR EN PRISON
Jugé en comparution immédiate, le jeune prévenu défendu par Me Cindy Marafico se montre peu disert. Il écope de 18 mois ferme avec retour en prison, conformément aux réquisitions du parquet.
Emmanuel volait des câbles à la SNCF et les revendait pour s’acheter de l’héroïne
Un prévenu a répondu, mardi, de vols de câbles au détriment de la SNCF et d’une autre entreprise. Celle-ci réclame 67 000 € pour le préjudice subi.
V ous avez compté le temps passé en prison ? » « Ouh là, trop ! » Emmanuel reste nonchalant face aux multiples questions du président, lequel veut faire toute la lumière sur cette affaire. Le dossier en question : des vols de câbles au détriment de la SNCF mais aussi d’une autre entreprise chargée d’assurer les liaisons téléphoniques dans les trains.
Au total, plus de 700 m de câbles avaient été dérobés. La SNCF, trois ans après les vols, n’a toujours pas estimé le montant de son préjudice. L’autre entreprise, en revanche, a fait les comptes : Synerail réclame 67 000 € ! Une somme que le prévenu, actuellement en prison pour une autre histoire, n’a évidemment pas.
Câbles volés revendus en Belgique
Mais l’homme de 33 ans ne se fait pas de bile. Avec déjà 20 mentions au casier, il n’est plus à ça près.
« Vous en faisiez quoi, des câbles volés ? », poursuit le juge. « Je les revendais en Belgique. 4 € le kilo. » L’argent lui servait à acheter son héroïne.
En garde à vue pour vol et violences avec arme, Matthieu met le feu à sa cellule
Le tribunal de Rouen (Seine-Maritime) entendait ce vendredi 28 octobre 2016 et en comparution immédiate un individu accusé de vol à l’étalage et violences avec menace d’une arme.
Ce vendredi 28 octobre 2016, au tribunal de Rouen (Seine-Maritime) a dû s’expliquer un jeune homme, accusé de vol à l’étalage et violences avec menace d’une arme, dans le cadre de la procédure de comparution immédiate.
Repéré par les caméras de surveillance
Ce jour-là, Matthieu Bimont déambule dans les allées de l’hypermarché Super Uau Grand-Quevilly (Seine-Maritime), près de Rouen. Il a l’intention d’y dérober plusieurs objets électroniques qu’il « pourra revendre », dit-il. Il vole une pince coupante pour cacher les blisters des articles, qu’il dissimule ensuite dans ses vêtements.
Repéré par les caméras de surveillance, il est arrêté par deux vigiles après son passage en caisse. Il devient alors agressif, en sortant un couteau de sa poche, proférant insultes et menaces. « J’ai sorti mon couteau uniquement pour menacer », affirme-t-il à la barre.
21 mentions au casier judiciaire
Entendu en garde à vue, le jeune homme met le feu à une couverture de sa cellule, pour inhaler les fumées. Il devra être transporté à l’hôpital. Un casier judiciaire portant 21 condamnations pour vols en récidive, amène le Procureur à affirmer que « l’individu est dangereux et qu’une peine exemplaire s’impose ».
Le tribunal le condamne à 18 mois de prison, dont 10 avec sursis, assortis d’une mise à l’épreuve de deux ans.
Déjà condamné 27 fois, Nicolas agresse et dépouille un octogénaire malvoyant et son épouse
Le SDF, déjà condamné 27 fois, avait dépouillé un homme de 86 ans malvoyant, de retour de courses avec son épouse vendredi à Auchan-Nancy. Le Nancéien de 86 ans violemment agressé dans le hall de son immeuble, vendredi, rue de Saverne, a subi une opération du col du fémur. Sa femme de 83 ans est toujours en état de choc. Leur agresseur a affirmé ne se souvenir de rien, lundi, en comparution immédiate.
« Je suis un monstre d’avoir fait ça ! » a lancé Nicolas Martin, 40 ans, se tournant sur lui-même en faisant mine de quitter le box des détenus. Mais non. Le président du tribunal lui a signifié que ce n’est pas lui qui décide.
27 condamnations au casier
Le tribunal a condamné Nicolas Martin à quatre ans de prison à purger sur le champ.
Ludovic et Patrice agressent une nonagénaire et lui arrachent son sac
Les policiers grenoblois avaient appréhendé samedi après-midi deux hommes qui venaient de commettre un vol à l’arraché au préjudice d’une nonagénaire à Gières, place de la République.
Les deux hommes qui avaient fait chuter la victime en lui arrachant son sac à main avaient été poursuivis et rattrapés par des passants et témoins qui les avaient maintenus sur place en attendant l’arrivée des fonctionnaires.
La victime, blessée avait été prise en charge par les sapeurs-pompiers et hospitalisée. Selon nos informations, elle a dû subir une intervention chirurgicale au bras.
L’affaire sera jugée le 26 octobre
Comme la loi le permet, les deux suspects, Ludovic Curti, 30 ans, et Patrice Pérez, 60 ans, ont demandé un délai afin de pouvoir préparer leur défense. Le procureur adjoint Laurent Becuywe a requis du tribunal correctionnel le placement sous mandat de dépôts des deux hommes en attendant leur jugement le 26 octobre.
L’affaire a été renvoyée au 26 octobre et les deux hommes ont été placés sous mandat de dépôt conformément aux réquisitions du ministère public.
Un individu de «type européen» écume les maisons de personnes décédés repérés dans la presse
L’homme repérerait ses victimes grâce aux avis d’obsèques publiés dans la presse. Un homme de type européen, de forte corpulence et d’une taille évaluée entre 1,70 et 1,80 mètre, a été repéré par les services de gendarmerie. Il semble que cet homme ait plusieurs vols dans des maisons à son actif.
Son mode opératoire ne semble pas changer. Scrutant les annonces de décès dans la presse, il s’introduit au domicile des défunts comme des familles lors des cérémonies d’obsèques.
L’homme circule à bord d’une Renault Clio blanche, nouvelle génération. Sa plaque d’immatriculation affiche le département 87. Vous pouvez composer le 17 pour signaler sa présence sur nos territoires.
Alexandre, le voleur de quad fracture le nez d’un policier
Il purge déjà une peine de 6 mois de prison depuis le mois d’avril pour avoir violemment frappé la tête d’un conducteur de quad avec une barre de fer, à Roissy-en-Brie.
Lundi 2 mai, Alexandre M., 19 ans, comparaissait à nouveau au tribunal correctionnel de Melun pour recel de vol du véhicule et rébellion commise sur un policier lors de son interpellation.
Ce dernier, frappé à coups de poings, avait eu le nez fracturé. L’enquête avait permis de retrouver le quad dans la société du père du prévenu, à Chaumes-en-Brie.
Pour ces nouveaux faits, le jeune homme ultra-violent a écopé de 8 mois de prison dont 4 mois avec sursis et mise à l’épreuve, obligation de travail et d’indemniser ses victimes. Le policier a obtenu 700 € pour le préjudice moral et 600 € pour les frais de justice. L’autre victime, mineure, sera dédommagée à hauteur de 2 254 €.
Arrêté pour vols, Éric sort de garde à vue et récidive
Le 18 février à 16 h 40, les vigiles du super U de Darnétal suspectent Éric D. d’avoir dissimulé sous son manteau divers objets. Ils tentent de l’intercepter. Alors qu’ils lui demandent de les suivre à l’écart dans un local de sécurité, l’homme essaie de prendre la fuite en bousculant un des surveillants, qui chute. Finalement maîtrisé par l’équipe du magasin, l’individu de 31 ans est interpellé par la police.
Les policiers finissent par le libérer le lendemain matin. Quatre heures après, ils sont appelés à intervenir au Simply Market de Rouen. Éric D. vient de récidiver. Le tribunal sera sa prochaine étape.
Condamné 37 fois pour vols, Bruno affirme que c’est pour « faire la guerre au terrorisme »
Bruno Troube est un personnage. Il a 46 ans et une longue carrière de voleur à son actif. Ce qui lui a valu d’être condamné trente-sept fois ! D’où de fréquents séjours derrière les barreaux. Au point de devenir une sorte de taulard institutionnel. Avec un caractère bien trempé et une gouaille de mauvais garçon qui n’aurait pas déplu à Audiard.
Il y a d’abord sa sortie de prison en septembre dernier pour effectuer un travail d’insertion à la mairie d’Ecrouves. « Je n’avais rien demandé moi ! J’étais tranquillement en cellule en train de finir ma peine. Je ne voulais ni indulgence, ni chantier extérieur », lâche le quadra.
Le voleur a alors trouvé une solution pour s’évader du chantier d’insertion : replonger dans la délinquance. En octobre, durant quelques nuits, il s’est saoulé, a pris son vélo et a cambriolé les magasins qui étaient sur sa route. Il en a visité quatorze. « J’ai été dans les paras et je voulais prendre de l’argent pour partir faire la guerre au terrorisme », explique, très sérieux, Bruno Troube. « Vu les butins, vous n’alliez pas partir faire la guerre très loin », ironise le président Bocciarelli.
Jugement : 18 mois de prison.
Poursuivi pour vol de voiture, et vols à la roulotte, Anthony retournera au lycée
Poursuivi pour le vol d’une voiture, et deux vols à la roulotte, un jeune homme de 20 ans a été condamné à quatre mois de prison ferme. Il a été reconduit en prison, mais sa peine pourra être aménagée pour qu’il poursuive ses études.
Anthony G…, qui avait souvent rencontré le juge des enfants à l’adolescence, décide alors de voler une voiture, pour y passer la nuit, puis partir à Narbonne où des amis pourraient peut-être les héberger. Justement, un automobiliste a laissé le moteur tourner le temps d’acheter son pain. Les deux jeunes gens s’emparent du véhicule et farfouilleront dans des voitures ouvertes pour y trouver un peu d’argent. Ils s’emparent alors d’un appareil-photo et de quatre chèques.
Anthony G… a été condamné hier à quatre mois de prison, avec maintien en détention. Une sanction clémente, qui lui permettra d’obtenir un aménagement de peine, et de retourner au lycée.
Le faux policier qui agressait et braquait les automobilistes écroué
Un homme de 41 ans a été mis en examen, ce jeudi, à Versailles, avant d’être écroué. La justice l’accuse d’être le meneur d’un gang de faux policiers qui a semé la terreur sur l’autoroute A 13 en mai dernier.
Au total, les forces de l’ordre lui reprochent d’avoir agressé onze automobilistes dans le nord du département, mais aussi dans l’Oise et le Val-d’Oise.
L’homme et son équipe agissaient la nuit dans des grosses voitures équipées d’un gyrophare, posé sur le toit, obligeant les victimes à se ranger sur le bas-côté de la route. Les imposteurs faisaient d’abord croire qu’il s’agissait d’un contrôle.
Ils faisaient parfois ouvrir le coffre avant d’asperger le conducteur avec du gaz lacrymogène et de prendre la fuite avec sa voiture. Ils ont dérobé des BMW X 5, des Série 5. Mais aussi un fourgon Mercedes Sprinter, des Peugeot 308 et un Citroën Saxo.
Lors de sa garde à vue, le braqueur présumé, déjà connu pour des vols avec arme, a gardé le silence.
Alexis condamné à de la prison ferme pour vols
Un Abbevillois de 19 ans, Alexis Depret, a été jugé par le tribunal correctionnel en comparution immédiate ce vendredi 5 février, à Amiens.
Il comparaissait pour des vols commis le 16 octobre 2015, dans un cabinet de kinésithérapie du centre-ville d’Abbeville, puis, le 15 décembre, d’une voiture, stationnée dans le centre-ville d’Abbeville. Le jeune homme a été arrêté le lendemain par les policiers, abandonnant cette voiture sur place.
Les juges l’ont condamné à 12 mois de prison dont sept ferme. Il est maintenu en détention.