200 ans de prison pour avoir violé un bébé de 18 mois

Eric Master, 29 ans, a commis un acte barbare sur un bébé en 2012. « Vous êtes vraiment un individu cruel », a souligné le juge Mark Trusock. L’individu passera le reste de sa vie en prison, comme le relate le Mirror.

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Eric Master, un ancien garde côtier du Kentucky, a été condamné à 200 ans de prison. Comme le relate le Mirror, il a violé un bébé de 18 mois dans un motel en 2012 avant d’uriner dessus et de filmer l’ensemble de la scène. Il avait attaché les bras et les jambes de l’enfant pour parvenir à ses fins.

« Vous êtes vraiment un individu cruel. Nous devons garantir que vous n’allez plus jamais vivre en société », a souligné le juge Mark Trusock durant le lecture du verdict dans un tribunal du Michigan.

L’enfant toujours traumatisée

La vidéo a été retrouvée par la police américaine et le FBI sur des ordinateurs appartenant à d’autres pédophiles. Le mois passé, Eric Master avait déjà été condamné à 50 ans de prison pour plusieurs atteintes sexuelles sur mineurs dans l’état du Michigan.

7sur7

Jérôme viole sa belle-fille de 10 ans et l’accuse de l’avoir « chauffé » et « allumé »

C’est une histoire sordide qui vient d’être jugée devant le tribunal correctionnel de Tournai. Jérôme B., un Mouscronnois de 42 ans, a avoué avoir violé la fille, âgée de 10 ans, de sa conjointe. Pris de remords, il s’était confié à des proches avant de se rendre à la police. Ce jeudi, le pervers a comparu devant le tribunal correctionnel, détenu, les menottes aux poignets.

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Jeudi, Jérôme B. a écopé d’une peine de quatre ans de prison avec un sursis probatoire pour ce qui excède 18 mois de prison ferme.

Quinze jours avant les faits, Jérôme s’était mis en ménage avec une dame qui, jusque-là, vivait seule avec sa gamine. Il a profité que la maman soit absente pour abuser sexuellement de la petite fille. Il lui caressait les parties intimes, n’hésitant pas à pratiquer des intromissions digitales. Des faits abjects.

Pris de remords, il en a parlé à un ami avant d’aller se confesser au bureau de police, puis devant le juge d’instruction. À celui-ci, il osera dire quand même que la petite fille le chauffait, l’allumait. «  Elle a 10 ans et vous 42  », lui avait fait remarquer le juge correctionnel.

Jérôme devra encore rendre des comptes à la justice, mais française cette fois-ci. Il est soupçonné d’avoir commis un viol dans le Nord de la France.

Violée trois fois, la petite fille a gardé de graves séquelles des agressions selon l’avocat qui était le conseil de sa maman. Ce n’est pas l’argent placé sur son compte jusqu’à sa majorité qui va lui rendre son innocence volée.

Nord Eclair

Etats-Unis : Elle filme le viol de son amie sur Periscope

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Marina Alexeevna Lonina, jeune femme de 18 ans domiciliée dans l’Ohio, a été inculpée mercredi par un grand jury et risque de passer une bonne partie de sa vie derrière les barreaux. La jeune femme est accusée d’avoir retransmis en direct le viol d’une de ses amies via l’application Périscope. 

Selon Ron O’Brien, procureur du comté de Franklin, les deux jeunes femmes ont rencontré Raymond Gates, 29 ans, dans une résidence de Colombus, le 27 février dernier. Au cours de la soirée, l’homme a forcé l’une des deux jeunes filles à coucher avec lui. Au lieu d’aller chercher de l’aide, Marina a sorti son smartphone et s’est mise à filmer l’agression, qu’elle a diffusée en direct sur Periscope. La jeune femme est également accusée d’avoir pris des photos de son amie nue avant qu’elle ne se fasse violer.

C’est une connaissance de Marina qui, après avoir vu la vidéo sur l’application, a alerté la police. La jeune femme et l’auteur du viol sont tous deux inculpés d’enlèvement, de viol, d’agression sexuelle et de diffusion de matériel sexuel impliquant une mineure. «Si Gates et Lonina sont reconnus coupables de ces charges, ils risquent chacun une peine pouvant aller jusqu’à 40 ans de prison», estime Ron O’Brien, le procureur.

L’Essentiel

Un animateur suspecté de viol et d’agressions sexuelles chez les scouts de Perpignan

Un animateur des scouts et guides de France a été mis en examen à Perpignan pour viol et agressions sexuelles sur quatre adolescents.

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Un animateur des scouts et guide de France a été suspendu à titre conservatoire.
Il est soupçonné de viol et agressions sexuelles sur 4 adolescents. L’un d’eux a donné l’alerte en décembre 2014. Une plainte a été déposée. L’animateur âgé d’une trentaine d’années, mis en examen, est actuellement placé sous contrôle judiciaire.

De leur côté les familles des victimes ne remettent apparemment pas en cause le scoutisme. Pour elles leurs enfants ont été victimes d’un prédateur. L’enquête se poursuit. Elle dira s’il y a eu un manque de vigilance de la part de l’association.

En attendant son procès, l’animateur a été suspendu de toute activité au sein des scouts et guides de France. L’ association compte 75 000 adhérents en France.

France 3

Jura : un pompier volontaire mis en examen pour viol d’une lycéenne

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Un pompier volontaire de 45 ans, soupçonné d’avoir violé une lycéenne à Champagnole (Jura) en s’introduisant la nuit à son domicile alors qu’il portait son uniforme, a été interpellé, a-t-on appris vendredi de source judiciaire. Le suspect, un voisin de la victime âgée de 19 ans, a reconnu les faits, a indiqué à l’AFP le parquet de Besançon.

Il était présenté vendredi soir devant le juge d’instruction de Besançon en vue de sa mise en examen pour viol, a précisé le parquet qui a requis son placement en détention provisoire.

Cet adjudant-chef est soupçonné d’avoir agressé en uniforme sa voisine à son domicile, dans la nuit de jeudi à mercredi, en la menaçant avec un couteau de chasse, puis en la ligotant avec des liens en plastique (type serflex), avant de la violer, selon la même source.

L’agresseur présumé a ensuite libéré la lycéenne de ses liens et l’a menacée de mort si elle divulguait les faits. Sous le choc et prostrée, la victime a été découverte jeudi matin à son domicile par des amis qui lui ont conseillé de déposer plainte à la gendarmerie.

BFM

Éric, poste une annonce sur internet pour qu’on lui livre une fillette de 10, 11 ou 12 ans

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Éric Schoof, domicilié à La Fère, a été jugé en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Laon. Il reconnaît tout. Âgé de 37 ans, sans emploi, il s’est vu reprocher la détention d’images de mineures à caractère pornographique, leur diffusion, et une tentative de corruption de mineure d’octobre à décembre 2015.

Le dernier délit a consisté à déposer une annonce sur un site Internet s’adressant à des adultes pour qu’ils lui livrent une fillette, âgée de 10, 11 ou 12 ans. Ses intentions étaient précises : il s’agissait d’obtenir une relation sexuelle. Ce drame ne s’est pas produit. Mais la justice retient à son encontre l’intention. « J’ai peur de savoir où je serais capable d’aller », a-t-il avoué.

« Ce que vous regardez, ce sont des viols d’enfants »

C’est le site hébergeur qui avait alerté la justice, déclenchant une enquête. Pour assouvir ses désirs, le prévenu chassait sur la toile. Il avait eu des relations avec un couple, des hommes, des travestis. Mais son attirance pour les fillettes était plus forte que tout.

L’homme avait déjà été condamné à Laon à trois ans de prison dont deux avec sursis, pour détention d’images pornographiques de mineures en 2006. « Ce que vous regardez, ce sont des viols d’enfants », a remarqué le président du tribunal. Le prévenu a cédé, à nouveau, à cette attraction, depuis des années, après une « période d’accalmie ».

Éric Schoof a été condamné à cinq ans d’emprisonnement ferme, assorti d’un suivi sociojudiciaire de dix ans, et à l’interdiction définitive d’exercer une activité bénévole ou professionnelle avec des mineurs. Le vice-procureur avait requis deux années de moins.

Aisne Nouvelle

Viols : En Centrafrique le sentiment anti-Français est en progression

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Une vidéo prise par notre Observateur montre un convoi de la mission Sangaris qui se fait copieusement huer à Bangui. Nos Observateurs dans la capitale de Centrafrique nous expliquent pourquoi les soldats Français, dont la mission initiale était de mettre un terme aux massacres inter-communautaires, sont aujourd’hui tant critiqués.

Dans la scène, filmée le jour de l’investiture du nouveau président centrafricain, Faustin-Archange Touadéra, des habitants font de grand signes « non » en agitant les bras au passage de militaires à bord de chars arborant le drapeau français.

Les slogans sont variés. Ils vont de ‘On ne veut plus de vous’, à ‘Voleurs de diamants’ ou encore ‘Violeurs d’enfants’ 

Jeudi, de nouvelles allégations visant des soldats français qui auraient forcés des enfants à avoir des relations sexuelles avec des animaux, ont été lancées par une ONG américaine]. D’autres scandaient même ‘On préfère les Chinois’.

Ces slogans, on les a toujours entendus. Mais depuis l’annonce du retrait total de Sangaris, le sentiment anti-Français est en progression. Beaucoup de Centrafricains accusent la France d’être à la base de nos problèmes : d’être intervenus trop tard pour contrer l’avancée de la Séléka, de ne pas avoir participé activement au désarmement des groupes rebelles…

La présence de la Sangaris n’a d’ailleurs par évité des cycles de violence, comme en octobre 2014, ou, plus récemment, en octobre et en novembre 2015. Les espoirs ont été déçus. Entre les Centrafricains et les Français, c’est un peu ‘je t’aime, moi non plus’, et cela concerne toutes les communautés, chrétiens ou musulmans. Ils sont un peu devenus un bouc-émissaire qui réunit les Centrafricains.

France 24

Après avoir dénoncé des récupérations racistes, Caroline De Haas est menacée de viol

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Après avoir dénoncé sur Twitter des récupérations racistes des agressions sexuelles du Nouvel an à Cologne, la militante féministe Caroline De Haas a reçu sur les réseaux sociaux de nombreuses invectives, allant jusqu’à des menaces de viol. Pour que cessent ces pratiques inacceptables, la militante a décidé de porter plainte, révèle le site Buzzfeed.

Après les agressions sexuelles à Cologne le jour de la Saint-Sylvestre, Caroline De Haas s’était exprimée sur Twitter pour dénoncer la récupération raciste que certains avaient pu en faire. « Ceux qui me disent que les agressions sexuelles en Allemagne sont dues à l’arrivée des migrants : allez déverser votre merde raciste ailleurs« , avait-elle écrit une semaine après les événements. Une prise de position qui a lui a valu une flopée de commentaires haineux, et même des appels au viol. Pour ne pas laisser impunis de tels faits, la fondatrice d' »Osez le féminisme » a décidé de porter plainte contre deux de leurs auteurs, l’un sur Facebook et l’autre sur Twitter, révèle ce mercredi 30 mars le site Buzzfeed.

Ces réactions n’ont pas été immédiates, précise l’activiste féministe. « Ivan Rioufol (éditorialiste du Figaro, ndlr) a retweeté mon message quelques jours après, et là je me suis pris une volée de trolls d’extrême droite« , raconte t-elle à . « J’ai eu, en une seule journée, des centaines et des centaines de notifications avec des insultes. J’ai dû me déconnecter pendant trois jours, tellement c’était violent. »

En effet, les propos contre lesquels elle porte plainte sont d’une extrême violence : « Va te faire violer par tes migrants. salope de collabo tu te fera raser la tête pouffiasse« , « qu’elle se fasse violer par ces migrants cette pute de collabo«  ou encore, « effectivement vous êtes bien une sacré connasse que les muzzzz de France vous sodomise à sec » (sic sic sic), ont ainsi écrit les deux internautes visés par la plainte enregistrée le 16 février par le tribunal de grande instance de Paris.

Le précédent Rokhaya Diallo

Ce n’est pas la première fois qu’une personnalité publique décide de ne plus laisser impunies des menaces de ce genre. En 2013, Rokhaya Diallo avait porté plainte pour les mêmes raisons, afin de « rappeler que les lois de la République s’appliquent aussi à Twitter. » L’homme qui l’avait prise à partie (« Il faut violer cette conne de Rokaya comme ça fini le racisme« , sic) a finalement été condamné à 2.000 euros d’amende et 1.000 euros de dommages et intérêts.

Caroline De Haas a d’ailleurs choisi le même avocat que la militante anti-raciste : Me Kevin Grossmann. Celui-ci rappelle dans BuzzFeed que « l’incitation au viol est une des infractions les plus sévèrement réprimées dans la loi sur la liberté de la presse (45.000 euros d’amende et 5 ans d’emprisonnement, ndlr), mais quand on arrive au tribunal, le juge condamne peu« .

Contacté par Marianne, il développe : « Ce sont souvent des primo-délinquants et malheureusement, c’est la raison qui est retenue pour condamner peu« . Il ne faut toutefois pas, souligne-t-il, perdre de vue le plus important selon lui : « Quand on se lance, on y va pour la condamnation de principe« . Un principe simple : la loi de la République interdit ce genre de propos, « in real life » comme sur Internet.

Marianne

9 ans de prison pour Jimmy Teyssier le violeur d’une joggeuse

Après plus de deux heures de délibérations, la cour et les jurés ont reconnu Jimmy Teyssier coupable du viol d’une jeune femme qui faisait du jogging dans un bois de La Ricamarie le 12 avril 2014.

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Après plus de deux heures de délibérations, la cour et les jurés ont reconnu Jimmy Teyssier coupable du viol d’une jeune femme qui faisait du jogging dans un bois de La Ricamarie le 12 avril 2014.

Le jeune accusé de 26 ans, qui avait reconnu les faits dès son interpellation, a été condamné à neuf d’emprisonnement et un suivi judiciaire de cinq ans avec obligation de soins.

Le Progres

Rémi jugé pour viols et agressions sexuelles sur deux garçon

La première affaire jugée depuis hier devant la cour d’assises de l’Ariège met en scène un homme de 27 ans, accusé d’avoir commis, en 2011, des actes de pédophilie sur des enfants âgés de 3 et 6 ans.

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«Oui, je reconnais les faits». Dans le box des accusés, Rémi P., en détention préventive depuis un an et sept mois, n’a pas changé de discours depuis sa dernière audition devant les enquêteurs. Les charges qui pèsent contre lui sont pourtant lourdes et il en est conscient.

Il est en effet accusé d’avoir violé un garçon de 6 ans et d’en avoir agressé sexuellement un autre de 3 ans, dans une commune de l’Ariège. Mais s’il ne nie pas, l’accusé, défendu par Me Emelyne Chevrier, n’est pas loquace pour autant. Décrit comme replié sur lui-même et ayant du mal à trouver sa place dans la société, c’est un homme timide qui entrecoupe ses paroles de longs silences.

L’audience doit se poursuivre jusqu’à demain.

La Depeche

Pédophilie à l’école: Romain Farina l’ex-directeur avait filmé plusieurs agressions

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Il y a un an, le 19 mars 2015, débutait l’affaire de pédophilie de Villefontaine (Isère). Ce samedi, l’avocat de plusieurs parties civiles révèle à metronews que l’ancien directeur de l’école, Romain Farina, 46 ans, a filmé et photographié plusieurs des agressions qu’il est accusé d’avoir commises dans l’enceinte de l’établissement, dans le cadre de ce qu’il avait appelé des « ateliers du goût ». Placé en détention provisoire fin mars 2015, il devrait être jugé au cours du premier semestre 2017.

61 enfants l’accusent

A ce jour sont reprochés à Monsieur Farina des faits commis entre 2012 et 2015. Lui aurait reconnu des viols, mais uniquement sur 2014-2015. Des faits de 2001 ont été révélés en 2015. Désormais, Romain Farina reconnaît des agressions antérieures à 2014-2015.

En mars 2016, il y avait 61 saisines du procureur de la République de Grenoble Jean-Yves Coquillat. Plusieurs faits seraient basés sur des preuves. Outre les images des ateliers, les enquêteurs ont également découvert chez l’instituteur des montages photos dans lesquels il se mettait en scène avec des enfants de sa classe.

Metro News

Un violeur britannique se fait financer en ligne pour combattre Daesh

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Un ancien militaire britannique de 41 ans, Barry Hall, a lancé sur internet une page GoFundMe afin de récolter de l’argent pour « avoir les moyens de combattre l’état islamique », rapporte le Daily Mirror. 

Il se faisait passer pour un membre du « Daesh hunting Club », des soldats occidentaux qui se battent dans le nord de l’Irak contre l’État islamique. La collecte en ligne lui a permis de récolter plus de 2000 euros en quelques jours.

Mais Barry Hall a menti, il ne combat pas l’EI, il est en cavale après avoir été reconnu coupable de deux viols en juillet dernier. Le Tribunal de Derby, près de Nottingham, a annoncé la nouvelle aux 42 personnes qui l’ont financé.

Le Figaro

30 ans après les faits, Nicolas l’étrangleur de Strasbourg devant la justice

Accusé d’avoir violé et étranglé en 1986 une fillette de 10 ans, puis d’avoir tué une adolescente de 17 ans, Nicolas Charbonnier, bientôt 54 ans, comparaît à partir de jeudi à Strasbourg.  Il risque la réclusion criminelle à perpétuité.

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Patrick jugé pour viols en récidive sur son beau fils

Un sexagénaire fécampois est jugé devant la cour d’assises de Seine-Maritime aujourd’hui et demain pour récidive de viol, d’agression sexuelle, et de corruption envers le fils de sa compagne, âgé à l’époque de 17 ans.

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«La diffusion de films pornographiques correspondait à des sortes de préliminaires », relate Me Célia Lacaisse l’avocate de la victime, Julien*, beau-fils de l’accusé. Une diffusion suivie de viols et agressions sexuelles à cinq reprises en 2006. « L’accusé lui faisait des fellations mais aussi l’obligeait à lui pratiquer ces mêmes actes », poursuit le conseil du jeune homme qui avait à l’époque 17 ans.

L’une de ces cinq scènes se serait déroulée en présence de la mère, dans la chambre parentale. L’accusé, jugé aujourd’hui et demain devant la cour d’assises de Seine-Maritime, aurait contraint Julien à toucher sa mère.

Malgré les violences que son beau-père, Patrick L., lui aurait infligé, il continuait d’y aller : « Cela peut paraître paradoxal mais l’accusé le menaçait de s’en prendre à sa mère s’il dénonçait ce qu’il lui faisait », explique Me Lacaisse.

Cet homme, qui a exercé de nombreux métiers comme celui de marin-pêcheur jusqu’à Terre-Neuve, a déjà été condamné à douze ans de réclusion criminelle pour « viol » sur ses deux belles-filles de moins de 15 ans, en 2000 par la cour d’assises de Seine-Maritime.

 

Paris Normandie

Justin Castellanos, soldat américain arrêté pour avoir violé une femme au Japon

Justin Castellanos, un soldat américains accusé d’avoir violé une femme au Japon.

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La police japonaise a arrêté dimanche un soldat américain de 24 ans soupçonné de viol à Okinawa, un fait divers qui pourrait renforcer l’hostilité des habitants de l’île envers la présence militaire des Etats-Unis. Le suspect, basé dans le camp de Marines Schwab, est accusé d’avoir agressé sexuellement une femme le même jour, dans un hôtel de Naha, chef-lieu de ce territoire de l’extrême-sud du Japon, a indiqué ce lundi un représentant de la préfecture de police d’Okinawa.

De son côté, le gouverneur d’Okinawa, Takeshi Onaga, a fait part de son « ressentiment ». « C’est un acte criminel grave qui ne saurait être toléré », a-t-il déclaré, selon des propos rapportés par l’agence Kyodo. D’après les médias japonais, le soldat a trouvé la victime, une touriste en visite à Okinawa, endormie dans le couloir de l’hôtel et l’a amenée dans sa chambre dans cet état avant de la violer.

Le Figaro

La Préfecture d’Okinawa abrite 50.000 forces américaines. Les soldats américains auraient été impliqués dans plus de 1.000 crimes sexuels au Japon entre 2005 et 2013.

PressTV

Un viol toutes les 3 heures dans l’armée américaine

Le problème du viol dans l’armée américaine a longtemps été passé sous silence et continue d’ailleurs à l’être, raconte le quotidien britannique The Guardian, pointant la présence d’une culture de l’ignorance et de la confidentialité chez les militaires

On estime que 37% des agressions sexuelles dans l’armée sont commises sur des soldats. Ce sont bien souvent des héterosexuels qui commettent ce type d’agressions, non par pulsion sexuelle, mais pour «remettre les gens à leur place».

En 2005, Le Congrès avait demandé au département de la Défense de réfléchir aux mesures à mettre en place pour une meilleure prévention de telles pratiques, ce qui donna lieu à la création du Sexual Assault Prevention and Response Office.

En 2007, le département de la Défense avait signalé 2.200 cas de viols dans l’armée; le nombre a augmenté à 3.158 en 2010 (soit un viol toutes les 3 heures). Ce nombre est deux fois supérieur à la moyenne de la population féminine civile américaine, chez qui on répertorie un traumatisme d’ordre sexuel pour une femme sur 6.

Slate