Archives de Tag: Inceste
Georges jugé pour avoir violé sa soeur de 10 ans et ses 2 amies pendant des années
USA : Arrestation d’une mère et sa fille pour mariage incestueux
USA 🇺🇸: Arrestation d’une mère et sa fille pour mariage incestueux en #oklahoma via @FOX8NOLA pic.twitter.com/SmgfJO4n7h
— LesNews (@LesNews) 7 septembre 2016
Australie : Un frère et une sœur vont avoir un enfant ensemble
Un Australien a révélé dans un blogue que lui et sa sœur allaient avoir un enfant ensemble.
«Étrangement, il n’y a rien d’incestueux dans le fait que ma sœur et moi-même allons avoir un enfant ensemble», a écrit Samuel Leighton-Dore dans un blogue publié sur le site Mamamia.
Il s’avère que l’écrivain qui habite à Sydney est gai. Lui et son partenaire, Bradley Tennant, veulent avoir un enfant avec leurs deux combinaisons de gènes. Pour rendre ceci possible, ils se sont tournés vers la sœur de Leighton-Dore, Bronte, pour de l’aide.
« La seule chance pour mon partenaire et moi de retrouver notre génétique dans l’ADN de notre enfant est si ma soeur donne un de ses ovules pour le sperme de mon partenaire, a expliqué le jeune homme de 24 ans dans son blogue. Non, elle ne portera pas le bébé – elle offre simplement le pain qui sera dans le four d’une autre femme. »
Même si le couple n’est pas près d’avoir un enfant, ils voulaient se préparer à l’avance.
Réalisant que la requête donnerait sans doute lieu à une conversation inconfortable, Leighton-Dore a énoncé son idée à sa sœur « lorsqu’on était tous les deux un peu ivre à un évènement familial ». Heureusement, Bronte a accepté instantanément de faire partie de l’aventure.
Depuis qu’il a révélé son plan, l’écrivain a reçu beaucoup de commentaires. Certains croient que lui et son conjoint devraient adopter, alors que d’autres pensent plutôt que sa sœur va un jour regretter sa décision de donner ses ovules.
En réponse aux critiques, Leighton-Dore a simplement écrit : « Au bout du compte, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de donner naissance à un enfant adoré ».
« Je veux avoir un enfant qui pourra voir d’où il vient quand il regarde ses parents », conclut-il.
Australie: «L’inceste m’excite tellement» un père viole son bébé de 10 mois avec son amant
Les deux hommes, âgés de 50 ans, ont été arrêtés dans l’Etat de Victoria après avoir abusé sexuellement de la petite fille et pris des photos d’elle nue pendant environ trois heures en avril 2015. Le bébé était sous la garde des deux hommes lorsque la mère de l’enfant suivait une formation professionnelle en ville pour quelques heures.

Le père qui a violé son bébé avec son amant menotté
La police affirme que le petit ami du père du bébé avait eu une conversation skype avec l’un de ses collègues deux jours après le viol au cours de laquelle il avait déclaré : «Sa mère était sortie un moment. Nous n’avons pas eu le temps de faire tout ce que nous voulions malheureusement.»
Lors d’une discussion précédant l’agression du bébé, il aurait affirmé : «[Le père] et moi auront du temps avec elle. L’inceste m’excite tellement.»
Au cours d’une descente de police dans la maison du couple à Melbourne, la police aurait trouvé de nombreux documents pédopornographiques sur leurs ordinateurs.
L’un des deux hommes fait face à sept chefs d’accusation dont celui d’avoir eu des relations sexuelles avec un enfant de moins de 10 ans et d’avoir utilisé un enfant pour la production de matériel pédopornographique. L’autre homme est poursuivi pour ces mêmes chefs d’accusation, ainsi que pour incitation au viol de l’enfant et diffusion de matériel pédopornographique.
L’inspecteur Peter Yeomans, en charge de l’enquête qu’il a qualifié de «répugnante», a assuré que l’enfant était pris en charge et soigné.
Georges viole sa fille de 12 ans durant plusieurs années
Un habitant de Châtelet a comparu mardi devant le tribunal correctionnel de Charleroi pour attentats à la pudeur et viols sur sa fille, âgée de 12 ans lors des premiers faits. La mère de l’enfant avait surpris son mari sous la douche avec la victime. Le parquet réclame un minimum de 7 ans de prison.
En décembre 2015, Georges S., un habitant de Châtelet, était surpris sous la douche par son épouse alors qu’il procédait à des attouchements sur sa propre fille mineure. Déjà menacée de mort par le passé, la mère de l’enfant a attendu que son mari prenne un somnifère pour se rendre à la police. Auditionnée, l’enfant a précisé que son père abusait d’elle depuis l’âge de 12 ans. Elle s’était d’ailleurs confiée à son petit ami qui lui avait conseillé de décrire son calvaire dans un journal intime, ce que la jeune fille a fait.
Interrogé par les enquêteurs, Georges S. a reconnu avoir touché les seins de sa fille et avoir procédé à des pénétrations digitales. «Cela semblait lui plaire. Elle montrait souvent ses seins, c’était comme une invitation à les toucher. Elle ne disait rien et, comme le dit l’adage, qui ne dit mot consent», s’était-il justifié.
Me Pouossi, conseil de Georges S., a pour sa part sollicité un sursis probatoire pour son client qui reconnaît les viols mais conteste les violences physiques. Jugement le 15 juillet.
Jocelyne jugée pour avoir violé son fils de 10 ans avec son conjoint
A 10 ans, Pierre* aurait été victime d’abus sexuels de la part de sa mère. Un jour au cours de l’année 2009, sa mère alors âgée de 40 ans l’aurait incité à participer à des jeux sexuels alors qu’elle était en train d’avoir une relation intime avec son concubin.
Ce mard 21 juini, Jocelyne ainsi que son conjoint de l’époque, Jackie, sont jugés par la cour d’assises de Seine-et-Marne à Melun pour viol, agression sexuelle et complicité de viol sur un mineur de moins de 15 ans. A l’époque des faits, le couple vivait chez une amie dans le quartier des Mézereaux à Melun. En février 2013, Pierre – placé depuis 2012 dans une famille d’accueil – se confie à sa référente de l’Aide sociale à l’Enfance.
Interrogés, les deux enfants plus âgés de Jocelyne expliquent que leur mère est « incapable de protéger ses enfants et que c’est une personne irresponsable ». Ils ont expliqué qu’elle aurait grandi dans un climat incestueux, à chaque génération et dans différentes branches de la famille… Elle aurait elle-même été victime d’un de ses frères. Déficiente intellectuelle, illettrée, elle a été déclarée partiellement accessible à une sanction pénale, selon un rapport du psychiatre.
Au cours de l’enquête, Jocelyne et Jackie se sont rejeté la faute l’un sur l’autre. Puis elle a reconnu avoir incité son fils à participer. Jackie, lui, a toujours dit que, sans Jocelyne, ces actes n’auraient pas été commis.
Le verdict est attendu ce mercredi à l’issue de deux jours de débats.
Élisabeth Badinter : « La bonne mère est naturellement incestueuse et pédophile »
« Le lien érotique entre la mère et l’enfant ne se limite pas aux satisfactions orales. C’est elle, qui, par ses soins, éveille toute la sensualité, l’initie au plaisir, et lui apprend à aimer son corps. La bonne mère est naturellement incestueuse et pédophile. » Élisabeth Badinter, XY de l’identité masculine, © 1992 Éditions Odile Jacob, Le Livre de Poche, p. 76
Le père incestueux qui a tué sa fille a été déclaré apte à être jugé
Inceste. Parce qu’elle venait de le quitter avec leur fils, Denis Mannechez a tué sa fille en 2014 à Gisors avant de tenter de se suicider. Lourdement handicapé, il n’a toujours pas pu être entendu par le juge mais a été déclaré apte à être jugé…
Elle rêvait d’« une relation amoureuse normale ». D’une vie libre d’emprise. Et d’aller visiter la tour Eiffel « parce qu’elle ne l’avait jamais vue », avait-elle confié à son fils de 13 ans. Virginie Mannechez, 33 ans, n’est plus là pour évoquer ses projets.
Pour expliquer pourquoi elle voulait tant, après dix-sept ans d’un amour incestueux avec son père et compagnon, également père de ce garçon, rompre cette relation passionnelle autant que pervertie. Denis Mannechez l’a abattue le 7 octobre 2014 à Gisors (Eure), dans le garage où elle travaillait. Le gérant de la société, Frédéric Piard, 31 ans, a lui aussi été tué.
Après la fusillade, le père de famille a retourné l’arme contre lui. La balle s’est logée dans son cerveau, sans le tuer. Après des mois de soins, il a été mis en examen pour « assassinats » et incarcéré à l’hôpital de la prison de Fresnes (Val-de-Marne). Mais son état de santé n’a pas permis au juge de l’entendre. Faute de sa version, c’est auprès de l’entourage de ses victimes que les enquêteurs ont reconstitué l’engrenage qui a conduit au drame.
Suède : des jeunes libéraux proposent de légaliser l’inceste et la nécrophilie
Les membres de la Jeunesse libérale (LUF), liés au parti libéral suédois, ont proposé une réforme législative permettant aux gens d’être plus libres dans leur pratiques sexuelles. Leurs ainés politiques n’ont pas approuvé ces idées controversées.
Les initiatives ont été annoncées et votées lors d’une réunion des jeunes libéraux le 21 février, informe le journal britannique The Independant. Selon la présidente de la LUF, Cecilia Johnsson, le mouvement dénonce «les lois de moralité» qui ne protègent personne.
Ainsi, les politiciens en herbe déclarent qu’il faudrait permettre les relations sexuelles consenties entre les frères et les sœurs ayant plus de 15 ans. En outre, d’après eux, il faudrait légaliser les rapports sexuels avec un corps sous la condition que cette personne l’autorise avant sa mort.
Le parti suedois Les Libéraux, fondé en 1938, est actuellement le septième parti du parlement de la Suède en termes d’effectifs. Alors que les membres du parti se prononcent pour l’adhesion du pays à l’OTAN et à la zone euro.
Michael voulait faire un enfant à sa fille de 13 ans
La jeune fille avait disparu en août 2013 avec son père qu’elle venait à peine de connaître. Un avis de recherche national avait été lancé par sa mère et les autorités. Après quatre jours de cavale, le père jugé comme instable avait été retrouvé avec sa fille. Un «enlèvement» qui cachait des agressions sexuelles.
Emilie* avait été enlevée par son père qu’elle venait à peine de rencontrer. Pendant quatre jours, son visage est sur toutes les chaînes de télévision et est immanquable sur les réseaux sociaux qui se mobilisent pour retrouver la préadolescente âgée de 13 ans au moment des faits. Elle a aujourd’hui 16 ans.
Des agressions sexuelles, une mère face à un « appareil judiciaire bloqué »
Le père de famille a aussi été mis en examen pour agressions sexuelles sur sa fille après que la mère de la victime présumée ait fait pression sur l’enquête en «enquêtant de son côté et en rassemblant des preuves». Ces preuves sont accablantes : un projet de voyage en Espagne ressemblant à l’enlèvement d’août 2013 et des conversations Skype où le père évoque son envie de faire un bébé à sa propre fille.
Condamnation de Gaëtan, le frère incestueux et de sa mère qui imposait le silence
En avril dernier, Gaëtan V. a été jugé et condamné à Lille par la justice des mineurs pour une partie des agressions sexuelles sur sa petite sœur. Condamné à deux ans de prison, il purge sa peine au centre de détention d’Uzerches. Lundi, il comparaissait devant la 5e chambre correctionnelle de Lille pour des agressions commises sur sa sœur entre mars et juin 2007 alors qu’il était majeur.
La mère du prévenu et de la victime était également jugée pour avoir « étouffé » les agissements de son fils.
Le président Bertrand Pagès a rappelé qu’une fille aînée avait déjà porté plainte contre son père pour attouchements sexuels, affaire alors classée sans suite. Me Lefebvre a indiqué que cette même fille avait « tranquillement » expliqué aux enquêteurs qu’elle avait imposé des jeux sexuels à son cadet Gaëtan V. À chaque fois, la mère réprimandait et imposait le silence… La benjamine de cette fratrie de six enfants, victime de Gaëtan V., est la seule à avoir porté plainte en 2009.
Gaëtan V. fera six mois de prison supplémentaires, condamné à un an dont six mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans.
Il abusait sexuellement de ses petits frères avec la complicité de sa mère Sylviane
Trois années durant, le grand frère a transformé les petits en objets sexuels. La mère qui batifolait savait. Elle a attendu deux ans avant de porter plainte.
Il faut taire son nom et celui de sa mère pour protéger ce qu’il subsiste de famille. Mère et fils, les deux comparaissaient jeudi, devant le tribunal correctionnel de Laon. La mère pour n’avoir pas dénoncé ce que son aîné faisait subir au reste des enfants. À l’époque des faits, ils sont cinq à s’égayer sous le même toit, trois garçons, deux filles, dans une maison du quartier de Vaux. Le plus jeune n’a que trois ans.
La maman s’absente parfois le soir pour reparaître le matin. Elle va « prendre du bon temps », ironisera plus tard le vice-procureur Haquin. Sylviane a alors 40 ans, neuf enfants au total, issus de trois pères différents.
Roland le grand-père incestueux quitte le tribunal libre
À la barre du tribunal correctionnel du Havre, lundi, l’homme de 79 ans parle à plusieurs reprises de « jeu» pour qualifier les attouchements subis par ses deux petites-filles, entre 1996 et 2006.
Roland C. a d’abord violé ses trois filles, selon elles. Chacune ignorait que les deux autres enduraient les mêmes actes qu’elle. Chacune a tu son secret. Aujourd’hui, les faits sont prescrits pour qu’ils puissent être poursuivis. Mais en 2012, les paroles éclosent.
Une petite-fille de l’habitant de Montivilliers, adolescente, évoque les gestes de son papy quand elle avait entre 5 et 8 ans. À son domicile, Roland la prend par la main pour l’emmener dans une chambre. « Je ne comprenais pas ce qu’il voulait. Je me laissais faire. » Il la déshabille. Il se déshabille. L’adolescente a alors en mémoire une pénétration qui ne sera pas confirmée par l’enquête.
Aussi, Roland vient rendre visite chez les parents de l’enfant. Dans le noir, « j’ai eu le sentiment qu’il me touchait partout ». Ces souvenirs reviennent en mémoire en 2012. Tout comme une scène dans la buanderie. Roland concède cette seconde série de gestes. «J’ai dérapé. » « Tous les mercredis » durant deux années, tandis qu’elle avait 5 et 6 ans, elle est victime d’attouchements dans le grenier.
À jamais, le vice sur ses filles est prescrit. Il n’est reconnu coupable que des gestes sur ses petites-filles et est condamné à quatre ans de prison pour moitié ferme. Quatre mois avaient été effectués en préventive en 2013, avant un placement sous contrôle judiciaire. Aujourd’hui, tout mandat de dépôt est écarté. Le Montivillon quitte donc libre le tribunal.
Michel accusé de viols sur sa fille
À Nîmes, cette famille – trois enfants atteints de surdité et un père omniprésent – vivait visiblement repliée sur elle-même. La bulle a éclaté en août 2011. Clara, 13 ans (les prénoms ont été modifiés), l’aînée de cette fratrie, une adolescente intelligente et solitaire, se confie à l’infirmière du collège nîmois où elle est scolarisée.
Il leur faisait visionner des films pornos
La jeune fille explique avoir été violée par son père. Deux mois plus tard, Clara, accompagnée d’un administrateur ad hoc désigné par le tribunal, renouvelle ses déclarations au commissariat de police. Selon le médecin légiste, les résultats de l’examen gynécologique « sont compatibles » avec les déclarations de la jeune fille. Clara explique avoir été violée par son père alors qu’elle avait entre 5 et 7 ans. Le père de famille faisait également visionner à ses trois enfants des films pornographiques.
Des enfants contre une carte de séjour
Accusé de viols sur sa fille aînée et de corruption de mineurs, Michel, le papa âgé de 72 ans, comparait depuis jeudi devant la cour d’assises du Gard. « Je ne reconnais absolument pas les faits qui me sont reprochés, a déclaré le père de famille. Je les récuse totalement.
« Ingénieur chimiste de profession, Michel, après plusieurs rencontres, a épousé sur le tard Malika, une jeune femme originaire du Maroc, en situation irrégulière. Du donnant-donnant pour l’ingénieur souhaitant avoir des enfants et permettant à son épouse d’obtenir une carte de séjour. Une ancienne maîtresse de Michel décrit « un homme obsédé par le sexe, aux pratiques répugnantes ».
La maman, elle, fait le ménage, ne parle pas un mot de français. Michel dort avec ses enfants, dénigre leur mère. « Depuis que nous sommes tout petits, mon père dit que notre mère n’est pas intelligente. Nous, on le croyait et on la méprisait. » La maman est chassée du domicile conjugal. Michel obtient la garde des enfants. « Quand elle revenait à la maison, on la rejetait. On était violent avec elle. Il m’a fallu du temps pour commencer à l’aimer », poursuit Clara.
L’ADN démontre qu’il est le père de ses quarte enfants, Brigitte violée par son père
Poursuivi pour des viols aggravés sur l’une de ses filles, ce septuagénaire du Lunévillois comparaissait libre.
C’est sa fille, alors âgée de 38 ans, qui a dénoncé les faits en mars 2009. Ce jour-là, entendue dans le cadre d’une audience d’assistance éducative par un juge pour enfants, celle que nous prénommerons Brigitte a assuré qu’elle était violée par son père depuis l’âge de 12 ans. Elle a en effet aussi ajouté que son propre père était celui de ses quatre enfants à elle, nés en 1989, 1993, 2000 et 2003…
Entendu, le septuagénaire a clamé son innocence et ce, quand bien même les analyses ADN sont venues scientifiquement prouver sa paternité.
C’est la seconde fois que le vieil homme quitte la cour d’assises de Meurthe-et-Moselle sans connaître le sort que lui réservent les jurés. En mai dernier, il avait en effet déjà fait un malaise, juste avant la plaidoirie de son avocate…