2 détenus Albanais et Grec s’évadent de la maison d’arrêt d’Amiens en sciant leurs barreaux

Comme au mois de novembre, des détenus ont scié leurs barreaux pour s’évader de la maison d’arrêt d’Amiens, dans la nuit de lundi à mardi.

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Deux détenus se sont évadés dans la nuit de lundi à mardi de la prison située avenue de la Défense Passive, au nord d’Amiens. Vers minuit, un Albanais et un Grec ont scié leurs barreaux pour s’échapper.

Selon nos informations, un complice les attendait à l’extérieur du mur d’enceinte. Un mode opératoire déjà utilisé en novembre dernier :  trois détenus s’étaient évadés de la même manière en sciant leurs barreaux. Ils avaient été repris en France et en Norvège. Depuis, les mesures de sécurité ont été renforcées à la maison d’arrêt.

 

France Bleu

 

Eric retourne en prison pour huit mois après son évasion

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Eric Chaminade a réintégré une cellule de la maison d’arrêt d’Epinal. Il y a un peu plus de deux ans, il y purgeait une peine de près de 30 mois. Mais, le 6 juin 2013, à Mirecourt, lors d’une semi-liberté qui lui permettait de passer la pratique d’une formation commencée en prison, il s’est enfui « après une dispute avec le formateur ».

Depuis cette date, il était en cavale. Une évasion qui a pris fin lorsque les policiers spinaliens ont pu mettre la main sur l’évadé recherché. Ce mardi, l’homme a été jugé en comparution immédiate.

Vosges Matin

Jérémy s’évade de prison pour voir sa sœur

Jérémy Guichard a une voix fluette et un physique robuste. Né à Sedan il y a 24 ans et déjà condamné à sept reprises, le jeune homme connaît la prison.

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Le 24 août dernier, un juge d’application des peines autorisait un régime de semi-liberté pour celui qui avait été condamné à deux ans ferme.

Mais en octobre, alors qu’il bénéficiait d’un placement en chantier extérieur dans la région de Reims, Jérémy n’a plus donné signe de vie à son conseiller d’insertion et de probation. Trois jours durant lesquels il a eu l’encombrante étiquette d’« évadé ».

La raison de cette escapade ? Jérémy a, à un moment, demandé à aller voir sa sœur, requête qui lui a été refusée. Suffisant pour l’énerver et le décider à envoyer valser ses obligations.

Reconnu coupable du délit d’évasion, il est condamné à six mois de prison, peine qui pourrait être aménagée par le port d’un bracelet électronique. D’ici là, retour en détention pour purger la fin de ses deux ans de prison.

L’Union

Patrick condamné pour meurtre, s’évade du centre de semi-liberté en ouvrant la porte

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Patrick Henry, condamné en 1977 à la réclusion à perpétuité pour le meurtre d’un enfant, devait purger une partie de sa peine au centre de semi-liberté d’Haubourdin. Le parquet a fait appel de cette décision. Mais hasard du calendrier, nous venons d’apprendre que ce même CSL a été le théâtre d’une drôle d’évasion… 

Le tribunal d’application des peines prévoyait de placer Patrick Henry, 62 ans, condamné en 1977 à la réclusion à perpétuité pour le meurtre d’un enfant, au centre de semi-liberté (CSL) d’Haubourdin, du 4 avril au 4 octobre. Le parquet a fait appel, une décision suspensive.

Dans ce même CSL, le 30 décembre, un détenu d’une trentaine d’années, toxicomane et incarcéré pour violences d’après plusieurs sources, rentre, le soir, après sa journée passée à chercher du travail. Le système est le suivant : les détenus, en réinsertion, sont censés travailler, ou chercher un emploi, le jour, et être enfermés nuitamment dans ce qui semble être à mi-chemin entre une prison et un foyer.

La porte ne ferme pas !

Sauf que la porte ne ferme pas ! « Tous les soirs, un surveillant devait se garer devant pour la condamner.» Cette fois, pas de voiture, et un détenu qui « s’évade », au sens juridique, c’est-à-dire qu’il s’en va. Il sort de détention, en poussant la porte…

La Voix Du Nord

Màj Air cocaïne : Aymeric Chauprade, l’eurodéputé FN « au plus près » de l’opération d’exfiltration ?

7780276952_aymeric-chauprade-eurodepute-front-nationalCet eurodéputé Front national aurait été « au plus près » de l’opération d’exfiltration des deux pilotes français condamnés à 20 ans de prison en République dominicaine.

Selon les informations de BFMTV, « un homme politique français était « au plus près » de cette opération d’exfiltration. Le nom d’un homme se détache dans cette affaire : Aymeric Chauprade. « Cet élu a travaillé durant quatre ans en République dominicaine en tant que conseiller spécial du président de la République, entre 2009 et 2012« , ajoute le site.

L’eurodéputé Front national les soutient « depuis le début », comme il le clame. Il est « convaincu de leur innocence ». Et si tous les regards se tournent vers Aymeric Chauprade, c’est parce que l’eurodéputé a posté une photo, le 21 octobre dernier, avec Pascal Fauret et Bruno OdosIl déclare aussi avoir dîné avec les deux hommes, le samedi 17 octobre, dans un hôtel de la République dominicaine. « Ils avaient retrouvé une forte combativité et j’ai compris alors qu’ils étaient déterminés à rejoindre la France pour pouvoir se défendre. Ils étaient très motivés par la perspective de partir », raconte-t-il à l’AFP. Mais l’un des pilotes a déclaré à son sujet : « Il est dans le comité de soutien à titre personnel. Je ne le connais pas plus que ça ».

RTL


« Air cocaïne » : Pascal Fauret et Bruno Odos condamnés à 20 ans de prison, se sont évadés

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Condamnés en août dernier à 20 ans de prison pour trafic de drogue, les deux pilotes français Pascal Fauret et Bruno Odos ont fui la République dominicaine pour rentrer en France. Laissés en liberté dans l’attente de l’examen de leur appel, ils avaient toutefois interdiction de quitter le pays.

Ils auraient été exfiltrés par une équipe composée de copains marins. Les deux pilotes auraient ainsi bénéficié du soutien de leurs amis militaires et marins qui leur auraient trouvé des passeports. Récupérés puis emmenés sur un bateau, ils auraient ensuite rejoint l’île de Saint-Martin avant de prendre un vol pour la France.

Arrivés samedi 24 en fin d’après-midi à Paris, ils auraient regagné la région de Lyon. Le pilote et son co-pilote auraient été aperçus à l’hôtel Embajador, à Saint-Domingue, avec un proche de Marine Le Pen, Aymeric Chauprade. L’eurodéputé aurait d’ailleurs confirmé qu’ils étaient ensemble avant leur fuite.

Pour rappel, ils avaient été arrêtés dans la nuit du 19 au 20 mars 2013, avec deux autres personnes, alors qu’ils s’apprêtaient à décoller de Punta Cana (République dominicaine) à bord d’un Falcon 50 contenant 680 kilos de cocaïne.

France Soir

Maxime, évadé interpellé deux ans plus tard chez sa petite amie

perquisition fugitif evadé arresstationCela faisait plus de deux ans qu’il avait pris la poudre d’escampette. Un homme de 34 ans, évadé du centre de détention de Villenauxe-la-Grande (Aube) au mois de juillet 2013, a été interpellé, le 16 octobre au domicile de sa compagne à Reims (Marne).

Localisé depuis quelques jours dans cet appartement, le fugitif a été arrêté en début d’après-midi, alors qu’il se trouvait seul à son domicile, par les policiers du commissariat de la ville.

Guère impressionné par l’irruption de la police, Maxime V. a encore tenté de s’échapper avant d’être maîtrisé pour de bon.

Après avoir décliné son identité, il a aussitôt indiqué qu’une arme à feu était cachée sous son canapé. Un pistolet-mitrailleur Skorpio, approvisionné de 10 balles de calibre 7,65 mm a été saisi ainsi qu’un revolver à plomb, relate un enquêteur. Le fugitif a expliqué qu’il avait acheté cette arme à l’étranger, sans donner plus de précision quant à l’utilisation qu’il comptait en faire.

Maxime V. a finalement été reconduit en prison dans l’attente de son jugement pour évasion.

Le Parisien