Pour Noël, le président tchèque veut un pays sans «migrants musulmans»
Le président tchèque Milos Zeman a réitéré dans son message de Noël diffusé lundi son refus d’accueillir en République tchèque des «migrants musulmans», au motif qu’ils seraient «difficiles à intégrer sur notre territoire» et que cela «signifierait créer un bouillon de culture (susceptible de créer) d’éventuelles attaques terroristes».
«Presque personne ne doute plus aujourd’hui d’un lien entre la vague migratoire et les attaques terroristes, a-t-il encore estimé. C’est pourquoi je m’oppose à l’idée selon laquelle il serait bon d’accueillir sur notre territoire dans les deux années à venir quelque 6.200 migrants sur une soi-disant base volontaire, ce qui est presque la même chose que des quotas obligatoires.»
Le chef de l’Etat tchèque s’est en revanche prononcé en faveur d’une «aide aux migrants dans leur pays d’origine ou dans des pays voisins», tout comme pour une assistance à l’Italie et la Grèce, des pays qui «font face à la vague migratoire».
Fdebranche 
Une «aide aux migrants dans leur pays d’origine ou dans des pays voisins» ? compte-t-il donner l’argent directement à ceux qu’il considère comme de la graine de terroristes ? ou plutôt ne pense-t-il pas à envoyer de l’argent à Bachar al Assad pour qu’il « aide » ses propres victimes ? Cherchez l’erreur !
Il n’y aucun lien « entre la vague migratoire et les attaques terroristes » car la plupart des terroristes sont autochtones. D’ailleurs le FN n’a toujours pas compris que fermer nos frontières ne les empêcherait pas de rentrer mais plutôt de sortir ! Et on a vu que c’est un peu illusoire. On ne va pas pourrir lavie de millions de concitoyens pour éviter la mort de quelques centaines de personnes alors qu’il y a bien d’autres sources de mortalité beaucoup plus grandes et réellement évitable…
Mais peut-être que le président tchèque compte aussi empêcher de venir dans son pays les Européens trop bronzés à son gout ? Dans ce cas il ferait mieux de proposer de quitter l’UE dont il ne partage décidément aucune valeur : c’est un peu facile d’avoir le beurre et l’argent du beurre.
On a jamais vu une frontière empêcher des attentats terroristes.
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