La mère qui a égorgé ses 5 enfants.. demande sa libération conditionnelle
Le 28 février 2007, Geneviève Lhermitte, une Belge installée à Nivelles, en Belgique, appelle la police, qui découvre que la mère a égorgé ses cinq enfants, âgés de 3 à 14 ans, alors que leur père était en déplacement au Maroc.
Malgré la défaite subie devant la Cour européenne des droits de l’homme, Geneviève Lhermitte, ou du moins son avocat M e Magnée, essaie de positiver. « C’est terminé, il n’y a plus de recours possible. Elle va à présent se concentrer sur sa demande de libération conditionnelle et se réinsérer dans une société où elle n’est plus dangereuse », commente M e Magnée.
Le 17 juin 2008, elle est inculpée par la chambre des mises en accusation de la cour d’appel de Bruxelles pour avoir volontairement et avec préméditation tué ses cinq enfants. Au cours de l’instruction, un collège de trois experts psychiatres avait établi qu’un état anxio-dépressif sévère avait favorisé le passage à l’acte et altéré profondément, sans l’abolir, le discernement de la mère.
Elle est condamnée, le 19 décembre 2008, à la réclusion à perpétuité ainsi qu’à la destitution de tous titres, grades et fonctions dont elle était revêtue. Elle est également interdite à perpétuité de certains droits.
Déboutée par la Cour de cassation belge, ses avocats ont déposé un recours devant la cour de Strasbourg en invoquant son droit à un procès équitable comme stipulé par la Convention européenne des droits de l’homme, au motif que ce droit avait été violé en raison de l’absence de motivation du verdict du jury sur sa culpabilité et de l’arrêt de la cour d’assises sur la fixation de sa peine.
Elle aurait du se supprimer elle meme au lieu de supprimer ses enfants.
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elle devrait être exécuter elle a pas le droit de vivre la peine de mort pour cette femme
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la peine de mort quel grève et le mot est faible !
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