« Personne ne parle de l’attentat dans la mosquée de #Québec. Ah oui, j’oublie. Le terroriste est blanc »
Chaque matin, l’actualité vue au travers de la presse étrangère. Aujourd’hui : La fusillade dans une mosquée de Québec constitue un réveil brutal pour le Canada multiculturel, ouvert, tolérant et révèle des lignes de fracture qui traversent la société canadienne.
Attentat contre une mosquée à Québec, le choix des mots
Lundi dernier, le Québec tout entier s’est réveillé avec une claque en plein visage : Un attentat terroriste. Et sans doute nous faudra-t-il des semaines sinon des mois de débats, écrit l’éditorialiste du DEVOIR, afin de cerner la pensée du tueur et la toile de ses influences. Mais déjà une question se pose : Pourquoi ce crime haineux, lâche et inédit (dans un pays réputé pour ses efforts d’intégration) a-t-il été aussi peu exposé dans la presse ? Et d’ailleurs, note THE GLOBE AND MAIL, au moment même du drame, déjà, alors qu’un événement majeur était en train de se dérouler, curieusement, les chaînes de télévision (CBC et CTV) ont réagi avec une lenteur inhabituelle en telle circonstance.
Le directeur des relations publiques de RADIO CANADA, lui-même, le confesse aujourd’hui : « une bande défilante pendant l’émission « Tout le monde en parle » aurait été appropriée ». A l’inverse, une fois retrouvée cette fois-ci la vélocité caractéristique des modes de production de l’information à l’ère du numérique, là, c’est un lot entier de réponses tronquées qui ont été apportées à des questions posées à la hâte. C’est ainsi, par exemple, que les médias ont d’abord parlé de « fusillade » et de « déséquilibré ».
Dès-lors, les médias qui essuient à présent moult critiques sur la couverture de cet attentat (pendant et après l’événement) sont-ils coupables de « deux poids deux mesures» ? C’est en tous les cas ce que laisse entendre nombre de messages diffusés sur les réseaux sociaux et que le journal LE TEMPS a compilé dans ses colonnes, notamment celui-ci, probablement le plus explicite : « Personne ne parle de l’attentat dans la mosquée de Québec. Ah oui, j’oublie. Le terroriste est blanc ».
Ou dit autrement, ce que révèle l’acte délibéré de terrorisme perpétré contre le Centre culturel islamique de Québec, c’est que le terrorisme n’a pas de religion, de nationalité ou de couleur. Non, les attaques terroristes ne sont pas l’apanage des musulmans et la folie meurtrière d’un ultra-identitaire tue tout autant que celle d’un fanatique de Daech.
Quand un député du parti Québec Solidaire écrit : « On ne doit pas avoir peur des mots », une journaliste et militante antiraciste, elle, interroge : « Serez-vous #Québec ? Serez-vous mosquée ? Serez-vous musulman ? » Comme on a pu être Charlie, Paris, Bruxelles ou Berlin.
A ce titre, les propos du chef d’antenne de TVA sont assez symptomatiques. « On aurait pu imaginer, a-t-il déclaré, qu’une communauté musulmane ou qu’un groupe extrémiste musulman commette un tel geste, mais que nous, que quelqu’un d’une autre communauté attaque les musulmans, c’est un terrorisme à l’envers, si vous me permettez l’expression.»
Quelques heures plus tard, le journaliste s’est excusé de cette « formulation malhabile », précisant qu’il n’était « aucunement dans son intention de faire quelque amalgame que ce soit entre le terrorisme et la communauté musulmane ». Pour ne rien arranger, on notera également que de très nombreux médias, de RADIO CANADA au DEVOIR de Montréal en passant par le réseau américain FOX NEWS ont laissé entendre, pendant plusieurs heures, qu’un certain Mohammed (arrêté par méprise par les policiers) était le suspect de la tuerie alors qu’il n’avait, non seulement, rien à voir avec cette sordide histoire, mais qu’il avait même porté secours aux victimes. Et qu’en ce sens il était, au contraire, l’un des principaux témoins de la tragédie, a rectifié par la suite RADIO CANADA.
Pour être exact, c’est vrai qu’après avoir été accablée de haine, raconte LA PRESSE, la communauté musulmane de la ville de Québec a été inondée, dès lundi soir, de témoignages d’affection. Des milliers de personnes ont pris part, notamment, à la veillée aux chandelles tenue à proximité du Centre culturel islamique, où six personnes sont mortes sous les balles d’un fanatique, lequel a transformé un sanctuaire en tombeau.
Evidemment, reprend l’éditorialiste du DEVOIR, cet attentat ne prouve pas l’existence d’un racisme et d’une islamophobie systémiques au Québec, une société qui véhicule un message global d’entraide, de solidarité, d’accueil et d’ouverture. Notre société pacifique et inclusive, dit-il, comporte (comme n’importe où ailleurs) sa frange d’écervelés. Mais cette société a aussi ses parts d’ombre, qu’il faut avoir le courage de confronter dans les épisodes déchirants de notre histoire collective.
Les craintes ressenties par les musulmans sur leur sécurité, l’intolérance et la discrimination dont ils se disent parfois victimes ne disparaîtront pas d’elles-mêmes parce qu’elles sont banalisées ou ignorées. Et si les informations qui émergent au sujet du tueur (Alexandre Bissonnette) sont encore parcellaires, une juxtaposition de mots qui nous fournissent une vague impression de son profil psychologique (victime d’intimidation, antisocial, arrogant, antiféministe, timide), il n’y en a pas assez pour esquisser le portrait-robot d’un tueur. Qu’est-ce qui a pu pousser cet homme à agir, arme à la main ? Son geste est d’abord et surtout islamophobe. Et il faut commencer par se l’avouer afin de tirer des leçons de cette tragédie.
En d’autres termes, le contexte dans lequel cet acte barbare a été commis est bien celui de la montée de l’islamophobie, qui se traduit dans les actes comme dans les discours.
Dans les colonnes du JOURNAL DE MONTREAL, cette fois-ci, un animateur de la station FM93 écrit : On parle d’eux souvent. On parle de leur foi, on parle de l’islam, on dénonce l’islam radical. Donc on parle d’eux. Mais est-ce qu’on leur parle à eux ?
Et est-ce que dans notre communauté, tous les efforts ont été faits pour que les musulmans et les autres vivent en paix et en harmonie ? Et le journaliste de préciser encore, en forme de confession : « Je pense que le dialogue a manqué. J’ai manqué. »
Quant à son confrère du DEVOIR, il conclue simplement par ces mots : Il faut répéter qu’ils s’appelaient Azzedine, Khaled, Karim, Aboubaker, Mamadou et Ibrahim. Pour qu’ils ne soient pas morts en vain.
Ping : « Personne ne parle de l’attentat dans la mosquée de #Québec. Ah oui, j’oublie. Le terroriste est blanc » | Xamxam Islam
de la faute de ces merdias qui poussent a l’islamophobie parce que les politichiens leurs disent de le faire,si les victimes avaient étés juives tout ce beau monde aurait été de sa bassesse faire 1 grand messe dans les synagogues fransrael2 y aurait fait 1 émission spéciale a Québec avec comme journaleux vedette pujadas,là c’est 6 musulmans,alors michel field s’en fiche,et l’on parle des fillon qui subtilisent maladroitement l’argent des français,et qui maintenant invective les autres parce qu’il est 1 truand et,qu’il ne veut pas le reconnaitre
J’aimeJ’aime
Exactement Queniartpascal !
J’aimeJ’aime
Les médias eux memes diffusant abondamment l’islamophobie ils ne voient pas ces victimes comme en étant vraiment.
Un passage dans l’article le dit, le journaliste c’est excusé, ils le font inconsciemment, mais nos médias ne voient pas ces victimes comme en n’étant vraiment.
J’aimeJ’aime
Cet attentat qu’on colle sur ce jeune homme est un peu le même scénario que pour Breivnik ou encore pour Oswald dans l’affaire Kennedy. Le Mossad et l’extreme droite utilisent toujours les mêmes procédés depuis des décennies. Pour Kennedy, on a désigné Oswald, qui a finalement été tué par un juif. Ce juif est mort en prison et en se renseignant bien, on voit que le lobby israelien aux USA a tué Kennedy et avait des raisons stratégiques de le faire.
Ici, même scénario. En fait les attentats et attaques de ce genre, comme dans la mosquée ou même dans les autres attentats, sont perpétrés par les services secrets et des mercenaires d’extreme droite. On chope ensuite un jeune naïf sur lequel on remet toute la responsabilité, on diffuse sa photo massivement et on invente une histoire autour de ce suspect désigné. Et dans certains cas, il est tué ou neutralisé (interné, etc) assez rapidement pour qu’il n’y ait aucun imprévu. Breivnik ou ce jeune canadien n’ont pas le gabarit pour ce genre d’attaque et ce genre d’attentat nécessite une logistique et une organisation suffisamment rodée pour etre réalisée que par les services secrets et pas par des petits jeunes comme eux.
J’aimeJ’aime
Ils ont pris un gamin qu’on a mis sur la place publique et c’est tout. En réalité ce sont des groupuscules d’extrême droite liés aux services secrets qui ont commis cet attentat et non pas un jeune garçon isolé. Cela cache le caractère organisé de l’attentat.
J’aimeJ’aime
France : un militaire ouvre le feu sur un homme qui tentait de l’agresser au couteau près du Louvre
J’avais dis cette semaine que SORAL et Dieudonné avaient sortl une vidéo et qu’il se passerait quelque chose
Les attentats coïncident souvent avec l’actualite de Dieudonné et Soral. Comme Soral a sorti sa dernière video le 17 janvier, Dieudonné a eu une représentation le 19 janvier et comme l’investiture de Trump commençait le 19 janvier, comme en plus le 9/11 était le jour de la victoire de Trump, et comme il a donné sa conférence de presse le 11/01, et comme le chifre 11 est un chiffre que nos élites sataniques adorent
Conclusion : Chaos avec l’israelien Trump
J’aimeJ’aime
Quand un musulman tue c’est l’islam. Quand il est tué, sa religion n’a plus rien à voir là dedans. L’auteur de la tuerie en voulait à ces musulmans, pas à leur religion. Si j’ai bien résumé le point de vue français c’est ça.
J’aimeAimé par 1 personne
Soral sort sa video le 17 janvier , Dieudonné avait une actualité le 19 janvier et le 19 janvier il y a eu l’attentat de Berlin
J’aimeJ’aime
Les magasins Leclerc vend des CD NecroPedoSadoMaso ! Une honte ! NecroPedoSadoMaso est un assaut du groupuscule SEWER, un collectif composé de Swagg Man, Amine Mojito et Morsay ! Tapez « NecroPedoSadoMaso SEWER » dans un moteur de recherche et vous trouverez en première image une image de Morsay en train de se rentrer un CD NecroPedoSadoMaso dans le CUL !!! Quant à Amine Mojito il a affirmé il y a peu « je suis le nouveau tueur du Bataclan » tandis qu’il fouettait une franc-maconne avec sa ceinture Gucci !!!! « On va faire pire que Adolf Hittler » disait-il !!! Et les propos de l’album NecroPedoSadoMaso ne sont pas plus flatteurs à en croire le groupe SEWER. « Il faut foutre des godes dans la chatte d’Océane 12 ans et demi » « je sperme mon sperme sur les saloeps francaises » disait Swagg Manb !!!! Cherchez « Swagg Man NecroPedoSadoMaso » et vous verrez bien !!!! Marine 2017, ça urge !!!
J’aimeJ’aime