L’ex amant de Mateen: «il voulait se venger après avoir découvert que son partenaire avait le sida»

Un homme d’origine portoricaine prétendant avoir été l’amant de Omar Mateen, le tueur de la boîte de nuit homo d’Orlando vient de faire des révélations étonnantes. D’après cet homme, Mateen a seulement voulu se venger après avoir découvert qu’un de ses partenaires lors d’une séance de sexe à trois était séropositif.

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Le témoin connu sous le prénom de Miguel a raconté qu’il avait eu une relation de deux mois avec Omar Mateen, d’octobre à décembre l’année dernière, relate le Dailymail. Omar Mateen était un habitué du Pulse avant qu’il ne tue 49 personnes dans cette boîte de nuit gay.

Miguel raconte qu’ils se sont rencontrés sur le site de rencontre Grindr, ont eu un premier rendez-vous et qu’ensuite ils sont devenus « amis avec des avantages ». Les deux hommes se sont rencontrés plus de 20 fois dans un hôtel d’Orlando

Miguel décrit Mateen comme un gay un peu confus et buveur. Qu’il était plutôt attiré par les Latinos mais qu’il se sentait rejette par eux. Il déclare surtout que le massacre au Pulse était une tentative de vengeance d’Omar contre l’un des deux hommes portoricains avec qui il avait eu une partie à troisIl avait ensuite découvert que l’un des deux était séropositif.

Le témoin raconte encore que malgré que les tests de dépistages étaient négatifs Mateen craignait l’arrivée d’un autre résultat plus précis. Il n’avait pas le temps et il voulait faire payer.

« La chose qui me fait témoigner et raconter la vérité c’est qu’il ne l’a pas fait pour des raisons terroristes » a déclaré Miguel à la journaliste Maria Elena Salinas de la chaîne Univision : « C’était une vengeance, cela n’avait rien à voir avec un acte terroriste. »

Avant le massacre Miguel insiste sur le fait que Mateen était quelqu’un d’« adorable et doux » ajoutant qu’ils pratiquaient souvent du sexe oral et que Mateen « aimait être caressé… et aimait être embrassé. »

« Notre premier rendez-vous s’est déroulé dans un bar à Orlando au Parlement. C’était comme un autre rendez-vous » se rappelle-t-il. Les suivants ont toujours eu lieu à l’hôtel Ambassadeur où ils se sont retrouvés entre 15 et 20 fois entre octobre et décembre 2015.

Univision relate aussi avoir eu le témoignage d’un membre du personnel de l’hôtel affirmant qu’Omar Mateen était un visage familier de l’Ambassadeur et qu’il y était passé au moins 63 fois l’an dernier.

Le FBI a obtenu les images de vidéo surveillance de l’hôtel en question précise encore Uni vision.

Miguel raconte encore que Mateen ne supportait pas de faire des selfies au lit l’obligeant de mettre son mobile par terre. Le jeune homme de 19 ans lui aurait révélé finalement qu’il était marié avec un enfant. Après une dispute il raconte que Mateen s’est excusé auprès de lui et lui a enfin dit que sa femme était au courant de ses rendez-vous gay.

Sur la question : le père de Mateen était-il au courant de l’homosexualité de son fils, Miguel a dit qu’il n’en était pas sûr mais qu’il le pensait bien.

Pendant leurs multiples rencontres Miguel raconte qu’Omar lui parlait de l’Islam, décrivant que c’était une belle religion où tout le monde était le bienvenu gay, trans, bisexuel, hétéro tout le monde./

Mais il est clair que Mateen avait développé une haine profonde pour sa propre sexualité, les Portoricains et les homosexuels…

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La Capitale

Un nouveau visage du FN estime que le « Sida n’existe pas »

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Star des affiches électorales pour les régionales en Ile-de-France, Kelly Betesh s’était lâchée sur Twitter en décembre 2014. Un « tweet maladroit », reconnaît-elle.

Elle est censée incarner un visage souriant et dédiabolisé du FN. C’est pour cela que Kelly Betesh, responsable FN pour les 5e et 6e arrondissements de Paris et vraisemblablement candidate aux régionales en Ile-de-France, a été choisie pour représenter le parti sur les affiches électorales dans les banlieues et les campagnes.

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Mais cela ne l’empêche pas de déraper. Le Lab d’Europe 1 a ainsi retrouvé des messages de la jeune femme sur Twitter, publiés en décembre dernier sous son pseudonyme Kelly Poppy, selon lesquels elle assure que « le Sida n’existe pas ». Ce tweet a depuis été effacé.

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Contactée par Le Lab, Kelly Betesh reconnaît mardi avoir écrit un « tweet maladroit » et admet une « confusion ». « Je voulais expliquer qu’il y a des incohérences sur les modalités de dépistage, que dans un pays on peut être déclaré séropositif et dans un autre non. J’ai écrit trop vite. Ça ne représente pas ma pensée. » 

lexpress

Des prédateurs sexuels occidentaux écument les rues de Séoul

Un reportage  diffusé à la télévision sud-coréenne MBC a déclenché l’indignation de la communauté d’expatriés occidentaux. Les belles Sud-Coréennes sont prévenues. Des prédateurs sexuels occidentaux écument les rues de Séoul, assoiffés de chair fraîche, prêts à abuser de leur pureté et à leur transmettre le virus du sida.

C’est l’avertissement sans nuance lancé par MBC, l’une des principales chaînes de télévision de Corée du Sud, dans un reportage aux relents racistes qui déclenche la fureur de la communauté expatriée. Caméra au poing, témoins floutés, ce documentaire racoleur présente des mâles blancs abusant systématiquement de pauvres jeunes femmes locales, dépeintes en innocentes victimes.

Le point