Deux vieilles dames agressées violemment par 2 individus de « type européen »

Vol arrache sac a main

Vers 15 heures, dans le quartier de la gare, une première victime, 73 ans, doit son salut au fait qu’elle n’avait pas de sac à main. Deux individus se sont approchés d’elle, l’ont menacée avec une arme à feu à la main, factice ou pas. Les agresseurs ont constaté que leur geste n’allait semble-t-il rien leur rapporter. Des passants ont été témoins de la scène, violente.

Quelques minutes plus tard, avec le même mode opératoire, une femme de 89 ans a également été agressée mais rue Raspail à hauteur du numéro 13. Elle porte un sac à la main, les deux hommes s’approchent d’elle, lui arrachent son bien mais elle se débat, elle est frappée et tombe. Sa tête heurte le sol. Les deux individus prennent la fuite. Avec moins de trente €, le fruit du butin.

Selon les renseignements fournis par la Police nationale hier, ils ont entre 20 et 25 ans, sont de type européen, ont les cheveux bruns et courts et mesurent environ 1,70 m. Ils ont été aperçus à bord d’une Citroën C1 blanche.

L’agression est classée par les enquêteurs de la brigade de sûreté urbain (BSU) comme un vol à main armée, avec la circonstance aggravante que les victimes sont des «personnes vulnérables».

La Dépêche

Dominique condamné a 5 ans de prison pour viol, il est libéré 2 mois après

Dominique Trama viol condamne restaurant cuisinier libere

Condamné à 5 ans de prison par la cour d’assises de Lot-et-Garonne, Dominique Trama avait été incarcéré au soir du verdict, au mois de juin.

Il répondait, dans une cour d’assises réunie à huis clos, à une accusation de viol et d’agression sexuelle. Une ancienne employée de ce restaurateur dénonçait avoir fait l’objet d’un viol de la part de son employeur.

Dans la plainte qu’elle avait déposée, la victime expliquait que «ce soir-là, son patron lui aurait fait boire quantité de punch. Malade, elle aurait ensuite été conduite sur un canapé où elle aurait été sexuellement agressée par celui-ci».

L’empreinte génétique du restaurateur a été retrouvée sur les sous-vêtements de la victime. L’accusé, expliquait, lui, que ces empreintes génétiques provenaient de gouttes de sueur tombées sur la jeune femme alors qu’il souhaitait lui venir en aide.

Au soir du verdict, le condamné et son avocate, Me Marie-Thérèse Pibouleau, du cabinet de Me Simon Cohen, à Toulouse, faisait appel de cette décision. En suivant, une demande de mise en liberté était déposée devant les magistrats agenais.

La chambre de l’instruction a examiné le dossier hier matin et a décidé de remettre Dominique Trama en liberté sous contrôle judiciaire.

La Dépêche