Quand la France interdisait l’avortement… sauf aux femmes noires

Ces femmes étaient noires, et pauvres. Dans la presse, les témoignages se multiplièrent. Citons celui d’une femme enceinte de trois mois, entrée dans cette même clinique pour une douleur au ventre, à laquelle on avait annoncé une opération de l’appendicite, et qui s’était rendue compte au réveil qu’on avait mis fin à sa grossesse et qu’on lui avait ligaturé les trompes. Certaines patientes de la clinique de Saint-Benoît étaient enceintes de six, sept, huit mois.
Bientôt, on évoqua le chiffre de 8000 avortements par an, pour 16.000 naissances annuelles sur toute l’île de la Réunion.
(…)
La politique «antinataliste» conduite à la Réunion reposait sur tout un réseau de médecins rabatteurs, qui allaient chercher les jeunes femmes, et sur des institutions semi-officielles, comme l’Association réunionnaise d’orientation familiale, qui diffusait des tracts où on voyait des Noires pauvres submergées par une misérable marmaille, avec comme seul slogan: «ASSEZ !» Michel Debré recevait des rapports qui décrivaient la population créole comme composée de «femmes débiles, amorales, cyclothymiques» et d’hommes qui ne sont que «paresse, veulerie, éthylisme et violence».
Le vieux cliché raciste du noir fainéant qui fait des flopées d’enfants ne doit pas y etre étranger.
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Encore aujourd’hui il y a cette mentalité raciste.
Les grand remplacement et autre remigration sont basés sur ça. L’Europe blanche submergée par les africains serait donc à terme remplacée à cause de la démographie de ces derniers.
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comme ces enfants réunionnais ôtés a leurs parents pour servir d’esclaves aux paysans arriérés du massif central(creuse) et c’était durant la même période grâce a 1 loi debre
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A gerber…
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