Un bénévole américain condamné à 40 ans de prison pour viols dans un orphelinat au Kenya

Un missionnaire originaire d’Oklahoma qui s’est porté bénévole dans un orphelinat au Kenya a été condamné à 40 ans de prison lundi pour avoir violé et agressé sexuellement trois filles et un garçon.

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Matthew Lane Durham, 21 ans, a été condamné à 40 ans de prison par le juge David L. Russell sur quatre chefs d’accusation : «se livrer à des actes sexuels illicites dans des lieux étrangers », selon des documents judiciaires.

« En l’espace seulement de 33 jours » les procureurs ont écrit à la cour que Matthew Lane Durham a « violé trois filles – âgés de 5, 9 et 15 ans,  au moins huit fois. Durant cette même période, il a agressé sexuellement un garçon de 12 ans deux fois. »

CNN

 

Terry Ray Krieger condamné à 50 ans de prison pour pédopornographiques

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Âgé de 59 ans et paraplégique, Terry Ray Krieger a été condamné à 50 ans de prison. Il a été arrêté à la suite d’un signalement d’Interpol.

Interpol avait repéré un internaute répondant au pseudo « Babytoddler123 », basé au Kenya et partageant sur la Toile des contenus à caractère pédophile. Originaire de l’État du Michigan, Terry Ray Krieger avait d’abord clamé son innocence avant de finalement plaider coupable le mois dernier.

Clémence en raison de son handicap

Paraplégique, cloué à son fauteuil roulant, il avait demandé une certaine clémence en raison de son handicap physique. « Les enfants occupent une place particulière dans notre société et leurs droits doivent être protégés », a martelé le juge Joseph Karanja. « L’accusé a volé l’innocence de jeunes enfants et il est inquiétant que ces actes détestables soient passés si longtemps inaperçus », a-t-il ajouté.

Déjà condamné aux États-Unis

L’accusé était un récidiviste. Il avait déjà été condamné en 1992 aux États-Unis pour attentat à la pudeur envers un enfant de moins de treize ans, crime pour lequel il avait purgé trois ans de prison. Si ces faits sont passibles au minimum de six ans d’incarcération selon la loi kényane, le tribunal de Nairobi a opté pour une peine de 50 ans de prison, la plus lourde possible, condamnant probablement l’accusé à finir sa vie derrière les barreaux.

Le Point