Loïc Cotta, jugé pour outrages et violences contre des policiers venus l’aider

C’est quand même un dossier très idiot… » L’analyse de cette affaire est unanime : le 31 août, aux Pennes-Mirabeau, un jeune homme marche le long de la route pour aller travailler. « Trois policiers, en moto, se portent à votre hauteur. Ils vous demandent, pour votre sécurité, de vous mettre de l’autre côté de la route », rappelle la juge Boresi qui préside l’audience correctionnelle où comparaît Loïc Cotta, pour outrages et violences contre les policiers.
Il nie toutefois avoir refusé de traverser ou de décliner son identité, encore plus d’avoir tenté de porter un coup de tête à un policier. L’un aura le poignet cassé et une incapacité de travailler d’un mois.