Jessy tabasse sa compagne et menace de la découper car elle n’a pas fait à manger

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«Je supporte mal la pression du quotidien. Je ne connais personne dans la région où me réfugier. Je suis à la maison, geint Jessy.  Ainsi, l’habitant de Bolleville justifie un mal-être et les passages à tabac de sa compagne

omet de la « découper »

Le 13 novembre dernier, la jeune femme demande au père de son fils d’arrêter les stupéfiants. Première réponse, il vide deux packs de bière, enfermé dans la chambre. Puis, il gifle, assène des coups de poing et tire par les cheveux. Aussi, il appuie un couteau sous la gorge.

Jusqu’au dimanche. Il reproche alors à sa compagne de ne pas avoir préparé à manger. Devant leur enfant de 19 mois, il promet de la « découper », de la « planter ». La victime alerte un policier qui avait accueilli sa précédente plainte, en décembre 2013, lorsque Jessy, insatisfait de son cadeau de Noël, avait déjà cogné.

Cette fois, ce sont les gendarmes qui interviennent au domicile. Jessy ouvre la porte, calme. Il réfute des violences. Tout au plus une « altercation ». Les militaires insistent : ils veulent voir la jeune femme. Elle s’est réfugiée dans une chambre. Leur petit dans les bras, « elle est terrifiée ».

Paris Normandie

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