Laurent, un surveillant de prison risque gros pour avoir facilité un trafic de drogue
Le panier à linge que le gardien de la prison de Nice était censé fouiller le 10 septembre 2014 était une mine d’or pour les détenus: viande, téléphones portables, chargeurs, cartes SIM, bouteilles d’alcool, seringues et… 400 g de résine de cannabis.

Laurent, surveillant de prison, se retrouve dans de sales draps.
Affecté au parloir depuis avril 2013, il était bien noté par sa hiérarchie mais réputé en détention pour être « une passoire ».
150 à 300 euros lui permettaient de fermer les yeux.
Il est jugé depuis ce mardi avec dix autres prévenus. Le jugement est prévu mercredi soir.