Quand les réfugiés étaient européens et fuyaient vers l’Égypte et le Moyen-Orient
Ces dernières années, des centaines de milliers de Syriens ont fui la guerre pour chercher refuge en Europe. Mais durant la Seconde Guerre mondiale, ce sont les Européens qui fuyaient les invasions et se retrouvaient dans des camps d’Alep à Suez.
Quand les forces de l’Axe et les forces soviétiques envahissent l’est de l’Europe et les Balkans, dans les premières années de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de réfugiés fuient vers le Sud et l’Est pour échapper au chaos de la guerre.
Beaucoup prennent la mer, passant d’île en île en Méditerranée à la recherche d’un territoire où ils seraient en sécurité.
Pour gérer cet exode, les Britanniques lancent la MERRA (Middle East Relief and Refugee Administration) et installent plusieurs camps en Égypte, à Gaza et à Alep en Syrie, fournissant ainsi un lieu d’accueil à plus de 40 000 déplacés européens.
Au camp El Shatt, à la pointe sud du canal de Suez, des milliers de réfugiés yougoslaves sont installés dans des tentes, plantées dans le sable bitumeux.
La vie dans le désert est difficile, et les conditions sont – au mieux – spartiates.
Pour manger, les résidents du camp reçoivent rarement plus qu’une moitié de ration militaire. Les plus chanceux, qui ont de l’argent, achètent de la nourriture aux cantines dans le camp.
Pourtant, nombreux sont ceux qui décident de combattre la monotonie de cette vie rustique et simple. En utilisant les compétences de chacun, les réfugiés yougoslaves construisent des terrains de jeu pour les enfants, cuisinent, nettoient, bricolent, et lancent même un journal du camp.
Les responsables organisent occasionellement des pièces de théâtre, de danse et d’autres événements de divertissement. De temps en temps, les familles vont se baigner dans le canal de Suez en regardant passer les navires de guerre.
En 1946, après la fin de la guerre, les réfugiés ont pu rentrer chez eux et le camp a été démantelé.
des français se sont tirés vers le maroc et l’algerie,et,cela ne les dérangeaient pas d’aller chez des peuples inferieurs
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A reblogué ceci sur Boycottet a ajouté:
la mémoire c’ est un peu comme les vieux papiers ! tout passe, tout s’ efface … même la vie.
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L’Histoire c’est aussi maintenant.
Et la façon dont on traite les réfugiés aujourd’hui est profondément dégueulasse.
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Ce site est à l’abandon. Il est définitivement décédé. Lol.
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alors les branchards , vous avez pris un coup de tronçonneuse MDR!
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l’avantage c’est qu’ils n’agressaient pas, ne violaient pas, ne dealaient pas, ne braquaient pas, ne faisaient pas d’attentats ect ect ect…….
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Oui enfin il ne faut pas confondre le peuple indigène qui lui est resté pour défendre la terre sacrée de ses ancêtres croyant cette guerre justifiée, et les apatrides blancs communautaro-victimaires migrant au moindre trouble dans leur lieu d’aisance du moment. Ces foulards sur la tête des femelles sont bien révélateur de leur appartenance à la même communauté -dont on ne doit pas parler- qui tient ce site minable.
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lol, il est rigolo ce site. haha trop marrant
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This was a lovely blog posst
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