Robert Plant condamné à 30 ans de prison pour avoir agressé sexuellement et égorgé Jouda Zammit

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Robert Plant a été condamné hier soir à 30 ans de prison. Plus tôt, la réclusion criminelle à perpétuité avait été requise par l’avocat général de la cour d’assises du Gard, contre le Britannique âgé de 36 ans, accusé de l’agression sexuelle et du meurtre d’une joggeuse à Nîmes en 2013.

Robert Plant a finalement été condamné hier soir par la cour d’assises de Nîmes à 30 ans de réclusion. Lors de son réquisitoire, le procureur a vait dénoncé un «crime d’une sauvagerie extrême».

Une plaie béante de 15 cm sur 7 cm

Le 24 janvier 2013, Jamel Zammit appelle la police vers 18 h 40 pour signaler la disparition de sa femme Jouda, âgée de 34 ans. Elle était partie de son domicile situé dans le quartier de Courbessac à Nîmes, aux alentours de 17h, sans son portable. En effet, la jeune femme avait expliqué qu’elle allait chercher sa fille à l’école tout en faisant son footing. Mais Jouda tarde à rentrer et l’école signale que la mère n’est jamais venue chercher son enfant. Et son mari ne retrouve aucune trace d’elle sur le chemin qu’elle est censée avoir emprunté…

Peu après 22h, c’est finalement le chien d’un militaire de la gendarmerie qui découvre le corps de la jeune femme dans des fourrés et des ronces du Chemin des sangliers, une allée à proximité de son domicile. À côté du corps, un cutter dont la lame est sortie au maximum, sans son capuchon, est certainement responsable de la large «plaie d’égorgement» de 15 cm sur 7 cm qui défigure la victime.

«Jouda Zammit était une plaie béante qui autrefois était une femme» a dénoncé le procureur hier, à Nîmes : elle a été «défigurée», «massacrée», «lacérée» au cutter et à l’aide de pierres et de branches. D’autre part, reposant sur le dos, la victime était vêtue d’un pantalon marron baissé à mi-cuisses, ce qui a également soulevé le caractère sexuel de l’agression initiale.

la Depeche

10 réflexions sur “Robert Plant condamné à 30 ans de prison pour avoir agressé sexuellement et égorgé Jouda Zammit

    • La mort n’est pas une punition puisqu’elle advient.
      La punition c’est de gacher ce qui la précède.
      Les deux se rejoignent d’ailleurs. Gacher la vie est comme une peine de mort. C’est surement une des raisons qui fait l’échec de la réinsertion.

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      • « C’est surement une des raisons qui fait l’échec de la réinsertion. »
        Comme d’habitude notre grand spécialiste en tout à parler, sans avoir eu le besoin d’étudier le sujet car la connaissance l’inonde par immanence…
        Pour info : la majorité des gens qui vont une fois en prison n’y retourne plus jamais !

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      • Vous m’avez dans le nez vous.
        Désolé pour vous, mais pour la énième fois je suis libre de dire mon sentiment.
        Je n’ai pas écrit ce que vous dites.
        Loin de moi l’idée de stigmatiser les prisonniers, c’est meme plutôt le contraire.
        J’ai écris que c’était surement une des raisons de l’échec de la réinsertion. Et pas que l’échec était généralisé. Je parle d’une partie et pas d’un tout. De ceux qui échouent donc et pas des autres.

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      • Ce que j’ai voulu dire c’est que tout le monde n’a pas la force de caractère de surmonter cette période de vie.
        Que d’autres au contraire l’ont, mettent à profit ce temps et réussissent à se projeter malgré tout.
        Que certains ont le sentiment d’avoir leur vie entachée, n’y parviennent pas et en arrivent à penser que foutu pour foutu autant rester dans le meme schéma de vie.

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      • En me relisant il est juste que laformulation qui peut faire aurait été plus juste.
        Mais enfin ça n’enlève rien au fait que vous etes martial lorsque vous intervenez. Contredire n’est pas synonyme d’agresser.

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  1. La mort n’est pas une punition puisqu’elle advient c’est mal formulé aussi.
    La mort n’est pas une punition puisqu’elle doit advenir. C’est mieux.

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